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8 mai 2020

COVID-19 Alerte : Ne portez vos masques que lorsqu’ils sont obligatoires !

Alerte : Ne portez vos masques
que lorsqu’ils sont obligatoires !

 

Publié le 7 mai 2020 - par  

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Masquesenfants

Le spectacle affligeant du port de masques de personnes seules en voiture, ou à vélo ou faisant seul leur jogging désole et témoigne de la profondeur de la peur panique créée et entretenue par les médias depuis deux mois, et de l’ignorance sur les dangers propres du masque.

Les enfants n’ont pas besoin de masques au moins jusqu’à 15 ans

Les enfants ne sont pas contaminés en dehors de rapports de proximité répétés (confinement en famille, hospitalisations et contacts répétés avec le personnel soignant). Les quelques contaminés l’ont toujours été par des adultes comme le prouvent les études sur plus de 3,588 millions de personnes recensées (OMS Covid situation record 107 du 6/5/ 2020), études qui se confirment chaque jour à partir de publications du monde entier.

Contaminés (très peu d’entre eux), ils ne transmettent néanmoins pas le Coronavirus d’enfants à d’autres enfants, ni aux adultes et devraient donc reprendre l’école sans crainte ni des enseignants, ni des familles.

Les mesures imposées aux écoles, y compris dans les maternelles, complètement inutiles, ubuesques et inapplicables n’ont pour but que de bloquer cette ouverture exigée par le Président, mais très mal vue par certaines familles, syndicats et nombre de politiques de tous bords qui enfourchent la sécurité des enfants pour se faire valoir, alors que leur ignorance de l’absence de danger les ridiculisera à terme sur leur sérieux vis-à-vis des électeurs. Désastre.

Les enfants servent de punching-ball entre politiques et sont les victimes du combat à la mode des émissions télé, des micros-trottoirs. Comment le citoyen désinformé peut-il avoir un avis sur la pandémie, auquel on répète que « c’est comme pour la grippe », les enfants transmettent la maladie et ne doivent pas voir les grands-parents qu’ils aiment tant ? La transmission du Covid-19 est différente de celle de la grippe et les enfants n’y participent pas. Mais il fallait que la panique se poursuive et la vérité n’a pas sa place dans ce scénario. Alors bien sûr la majorité du peuple reste terrorisé et craint l’ouverture des écoles.

Pourtant les enfants ont besoin d’école, tant sur le plan strictement scolaire que relationnel et psychique. Les psychiatres alertent mais leurs mises en garde ne sont pas reprises par les médias et restent ignorées. Des témoignages multiples s’accumulent sur le net. À nous de les rassurer.

On va nous ressortir les vrais et faux Covid-19 du Kawasaki. La crise de nerfs Kawasaki

La récente crise d’angoisse entraînée par la médiatisation large de l’alerte sur le Kawasaki témoigne d’une volonté d’entretenir la panique qui nous maintient, enfermés et soumis aux privations de liberté imposées par les nouvelles lois votées dans le silence.

Il n’y a absolument aucune démonstration d’un lien quelconque de causalité entre le Covid-19 et cette maladie quasiment toujours bénigne, décrite en 1967. Tous les pédiatres en ont vu de multiples cas, par petites épidémies printanières. Le CHU de Montpellier proteste d’une annonce faite par les Parisiens de cas à Montpellier ! Faux, dit-il. Il s’agirait plutôt d’une enquête que d’une alerte. Rétropédalage tardif qui n’enlèvera pas la peur répandue dans les familles avec plusieurs mensonges comme « maladie grave, lien avéré etc. »

Nous sommes habitués aux multiples mensonges de cette crise, mais quand il s’agit d’enfants, les Français avalent tout.
« Même les chiffres parisiens ne sont pas inquiétants. On parle d’une vingtaine de cas pour toute la région parisienne. Eu égard aux chiffres de la population et au fait que ces 20 cas regroupent plusieurs pathologies différentes, je ne pense pas que ce serait une alerte majeure. »

Admettons même, ce qui n’est pas le cas, que ces cas d’infection virale soient en rapport avec ce fameux virus. Ce serait une preuve de plus que ce confinement aveugle ne sert à rien. Il est urgent de sortir les enfants de cet enfermement avec des adultes susceptibles de les contaminer et de les laisser retourner jouer à l’air dans la cour avec leurs camarades retrouvés et sans masques.

Cette rentrée retardée et possiblement annulée parce qu’une circulaire ministérielle impose les distanciations sociales aux enfants, l’absence des contacts etc. Le masque semble avoir sauté en maternelle et primaire et pas en collège où il n’a non plus pas raison d’être.
Cette privation d’école met en péril l’état psychologique, psychique, social et même scolaire des enfants et adolescents, que ne défendent pas suffisamment de professeurs, eux aussi panique par Big Pharma et ses serviteurs. Non, les enfants et les collégiens n’ont pas besoin de masques à l’école ni en ville. Ils ne contaminent jamais un autre enfant, ni un adulte même si contaminé lui-même. L’expérience mondiale cohérente sur plus de trois millions de contaminés analysés devrait rassurer. Les enfants ne transmettent pas le virus, n’ont pas besoin de masques.

Une autre astuce pour maintenir la peur est de recourir aux simulations en faisant croire qu’elles présentent des faits réels. Un exemple récent vient d’Italie ou Marco Ajelli mélangeant les données de deux villes éloignées (Wuhan et Hong Kong) a créé un modèle prétendant que les enfants pourraient participer pour un tiers à la transmission du virus. Mais il s’agit là, comme pour la prédiction de Ferguson que de médecine virtuelle basée sur des hypothèses incertaines que dément l’examen des faits cliniques réels où aucun enfant n’a jamais pu être tenu pour responsable d’une contamination.

Une autre tentative d’alimenter la peur s’appuie sur les tests PCR d’un virologue allemand qui lui-même ne parle qu’au conditionnel à l’issue d’une étude au laboratoire sans lien clinique, sur peu de tests et une charge virale que lui-même relativise. À nouveau une simple hypothèse, mal étayée, mais présentée comme un fait avéré par le NY Times.

Espérons que la fin proche de l’épidémie et l’expérience de l’étranger ramènent nos dirigeants à la raison avant le 11 mai. Le ridicule ne tue pas, mais tout dépend la dose.
Nous avons donc 3 jours pour faire sauter ces mesures iniques et rouvrir la porte de nos écoles aux enfants et adultes, professeurs et personnel, dans la sérénité. Les enfants seront dispensés de masques, mais les professeurs et les personnels devront en porter jusqu’à la fin de l’épidémie.

QUID DES MASQUES POUR LES ADULTES

Nous ne reviendrons pas sur l’aspect marchand de ces masques, la polémique ayant bon train sur internet et dans les médias. Mais qu’en est-il de leur sécurité et de leurs effets secondaires ? Loin de nous de vouloir ajouter de la peur à la panique, mais simplement d’attirer l’attention des utilisateurs sur quelques inconvénients peu soulignés sur les médias où le masque est devenu Dieu-Masque, et inciter à quelques précautions.

En effet, à partir du 11 mai et du début du déconfinement, les masques seront obligatoires dans les transports en commun et dans certains magasins. Dès maintenant et depuis quelques semaines, on voit beaucoup de personnes portant des masques de toutes sortes dans l’espace public, même quand ils se promènent seuls, loin de tous ou pire, seuls en voiture ou à vélo.

Sont-ils utiles ? Quels en sont les inconvénients ?

Des publications rassemblées par une collègue montrent que l’utilité des masques chirurgicaux (en papier et non étanches) est discutée, si ce n’est discutable. Ils n’empêcheraient pas la diffusion des aérosols porteurs de virus chez les patients infectés et ne protègent pas le personnel soignant. Aucune étude n’a évidemment été faite sur les masques maison !

Principe de précaution

Vaut-il mieux porter un masque que rien ? La réponse n’est probablement pas binaire.

Le masque antipanique : il est clair qu’après une panique d’une telle intensité induite par les médias ne parlant que du Covid-19 24/24 h et les messages gouvernementaux volontairement morbides et angoissants, sortir de sa tanière où le gouvernement nous a enfermé sera très anxiogène. Ce masque même inefficace sur le plan viral, peut avoir un grand intérêt de prévention des décompensations psychiques.

Inconvénient sanitaire : une fausse sécurité
Le port d’un masque peut donner un sentiment de sécurité et donc faire oublier d’autres conseils importants tels que le lavage des mains et la « distanciation sociale ».

Effet indésirable : baisse du taux d’oxygène dans le sang après port prolongé

L’effet sur la respiration du port du masque doit être signalé. Une hypoxie chez les personnels soignants à la suite au port du masque prolongé, associé à des maux de tête, ainsi que l’augmentation de la résistance nasale.
Si vous constatez quelques troubles inhabituels après le portage prolongé d’un masque, pensez qu’il est peut-être responsable. Diminuer le temps de portage si obligatoire. Évitez-le partout où il n’est pas indispensable.

Dans la vie courante

Il vaudrait mieux limiter le port du masque aux endroits et aux moments où il sera obligatoire et ne pas devenir fétichiste du masque. Il ne vous arrivera rien, si vous vous promenez en campagne, seul ou avec votre chien sans votre masque et saluer de loin votre voisin. Seuls les transports très encombrés type RER ou les supermarchés très fréquentés méritent cette précaution, dont on a tout de même le droit de remarquer qu’elle arrive en fin d’épidémie. Antistress maintenant plus qu’antiviral.

Il est important de conseiller aux personnes âgées ou affaiblies d’éviter de marcher dans la rue en permanence avec un masque. Or, à force d’avoir répété qu’elles étaient en grand danger du Covid, ce sont ces personnes qu’on rencontre en ce moment se promener avec un masque, alors que l’accompagnant n’en porte pas et que peu de promeneurs en portent. Il y a bien un effet âge, qui risque d’aggraver leurs risques.

Quant aux joggeurs, aux athlètes, aux cyclistes, il ne paraît pas raisonnable de limiter leur apport en air de qualité, en ajoutant une bonne dose de poussières. Les dangers de telles pratiques restent à évaluer dans notre pays ? Risque-t-on d’augmenter les risques d’AVC ou d’infarctus chez les personnes prédisposées ?

Hypoxie entraînée par port prolongé des masques

Étude sur des groupes de chirurgiens
Une étude a révélé une diminution de la saturation en oxygène des pulsations artérielles et une légère augmentation de la fréquence du pouls par rapport aux valeurs préopératoires dans tous les groupes de chirurgiens, diminution étant plus importante chez les chirurgiens de plus de 35 ans.

Attention aux femmes enceintes

Le fait de respirer à travers les matériaux des masques entrave les échanges gazeux et impose une charge de travail supplémentaire au système métabolique des soignantes enceintes.
La balance bénéfices/risques de l’utilisation du masque de haute qualité doit être pesée en fonction des conséquences respiratoires potentielles associées à l’utilisation prolongée du masque.

Maux de tête et masque N95 chez les soignants

Une autre étude attire l’attention sur le risque d’aggravation des maux de tête antérieurs et l’utilisation continue du masque N95 pendant plus de 4 heures. Les soignants peuvent développer des maux de tête à la suite de l’utilisation du masque N95. Une durée plus courte du port du masque facial peut réduire la fréquence et la gravité de ces maux de tête.

Passage de l’air au travers du nez

Les effets du port prolongé d’un masque respiratoire et chirurgical ont été étudiés et conclus à une augmentation de la résistance nasale lors du retrait du masque après 3 heures de port.

Ceci est potentiellement dû à des changements physiologiques du nez. Les résistances nasales n’ont pas été récupérées même après 1,5 heure de retrait du respirateur/masque facial.

Les masques chirurgicaux (simples masques en papier non étanches) ne sont pas suffisants pour les professionnels de santé

Les masques chirurgicaux largement utilisés par les soignants leur feraient courir de graves risques.
L’autorisation de porter un masque chirurgical était plus logique lorsque les scientifiques pensaient au départ que le virus se propageait par de grosses gouttelettes. Mais de plus en plus de recherches suggèrent que le virus se propage par de minuscules particules virales
Des recherches menées début avril, dans deux hôpitaux de Corée du Sud, ont révélé que les masques chirurgicaux « semblent inefficaces pour prévenir la dissémination » des particules de Coronavirus.

Masques pour le public pendant la crise du Covid-19

Le port du masque est-il utile ?
Certains auteurs ont justifié le non-port de masque par quatre raisons principales :

1° ils affirment qu’il existe peu de preuves de leur efficacité ;

2° affirment que des essais ont montré que les gens ne les porteront probablement pas correctement ou systématiquement. Important car la prévention dépend du fait que les gens ne touchent pas leur masque de manière répétée et que tous ou la plupart des gens le portent la plupart du temps ;

3° ils soulignent que les essais ont montré que le port d’un masque pouvait donner un sentiment de sécurité et faire oublier d’autres conseils importants tels que le lavage des mains et la distanciation sociale ;

La réponse n’est pas simple, et trop souvent idéologique.

Il est clair que le conseil à donner actuellement est de ne porter le masque que lorsqu’il est obligatoire et/ou que vous fréquentez un lieu très agité. Favorisez des masques faits main, lavables plutôt qu’un certain nombre de masques fort légers vendus un peu partout.

Nicole Delépine

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Covid-19, que de crimes
commet-on en ton nom !

 

Publié le 1 mai 2020 - par

Le confinement tue les malades chroniques et crée de nouveaux patients : « je suis Covid-19 » crie un jeune en bouffées délirantes.

« Toute la médecine s’inquiète et alerte les ministères de ne plus voir de malades dans les cabinets médicaux, les services hospitaliers et les cliniques privées, alors que ceux-ci sont en situation de fonctionnement ! Les urgences médicales marchent (enfin !) au ralenti : 2 fois moins de visites pour les suspicions d’AVC ou d’infarctus ! » Le Covid a-t-il réglé les problèmes sanitaires du pays ou bien la rigidité du confinement pousse-t-elle chacun à rester chez soi même quand il est en danger sanitaire, au risque de provoquer de futurs drames en série ? Et surtout, comment et quand sortira-t-on de cette spirale infernale ? »

Les morts aidées imposées en établissements sont connues, leur horreur peut-être pas

Le sort scandaleux des personnes âgées des Ehpad a fini par apparaître sur les médias officiels. Combien aura-t-il fallu de décès, sans aucune tentative de traitement curatif au début de leur maladie, puis euthanasiés, sans demande de leur part, par le Rivotril ? Euthanasie active « conseillée » par les circulaires adressées aux médecins et directions des établissements ? Pourquoi tant de crimes qui resteront probablement impunis ont-ils déferlé sur notre pays dans une soumission générale incompréhensible ?

Rien en effet ne justifie réellement d’avoir privé de leurs aidants les résidents des établissements pour personnes dépendantes, des instituts pour handicapés et les malades chroniques à domicile. Suppression brutale d’un jour à l’autre, sans préparation psychologique minimale, ni prise en compte des conséquences. Le lundi, les bénévoles sont là, les familles, le kinésithérapeute, l’orthophoniste prennent soin de leurs patients, devenus petit à petit des proches, des amis parfois et toujours des patients dont on doit prendre « soin ». Le mardi, tout s’arrête brutalement. Imaginons la détresse de ces vieilles personnes brutalement isolées dans une chambre devenue cellule, visitées par de rares soignants sur un bateau qui coule. Comment ont-ils pu, ces aides-soignants ou infirmiers, derniers des Mohicans, expliquer à ces personnes au crépuscule de leur vie que « c’était pour leur bien », pour qu’ils n’attrapent pas le fameux virus dont la télévision leur parle toute la journée ? Invraisemblable scénario qui suscitera probablement beaucoup de récits d’horreur, après la fin de la sidération générale, qui pour l’instant lie les langues.

En effet, comment les Français peuvent-ils admettre que priver des vieillards de 98 ans ou 100 ans de la présence de sa voisine en la laissant à deux mètres, peut avoir une quelconque utilité pour eux ? Choisir entre la mort par Covid non traité (sur décision ministérielle) ou par désespoir, solitude, anorexie, bref glissement, était-ce au gouvernement de décider ?

Mort évitable par Covid-19 dans bien des cas par un antibiotique dès le début des symptômes et un peu de kinésithérapie brutalement interdite ? Pourquoi les soignants, les familles, les intervenants n’ont-ils pas investi les locaux de cette prison brulement imposée par le Premier ministre ? Prison sans visites, sans salle de sport etc.
Certains ont dit que les prisonniers de droit commun ou anciens terroristes libérés par la ministre pour leur éviter le Covid vont bientôt demander à retourner dans leur prison, où le confinement était plus confortable, promenades longues et sans autorisation etc.

Cette soumission généralisée qui a délivré un permis de tuer plusieurs milliers de personnes âgées en établissements, mais aussi beaucoup d’autres anonymes privés de leurs intervenants en ville, prouve à quel point notre société est déjà profondément formatée pour la dictature, pas si molle que cela. Peut-on encore parler de démocrature, quand les familles acceptent sans broncher de ne plus voir leur père, leur mère, y compris lorsqu’il est en train de mourir, de ne pas le revoir avant mise au cercueil, de ne pas toucher ce cercueil et de ne pas l’accompagner au cimetière ?

La souffrance de soignants non préparés à la médecine inhumaine des entreprises que sont devenus nos hôpitaux publics et privés n’a pas été soulignée et pourtant certains ne s’en remettront pas et abandonneront les métiers du soin.

Nous avons été émus par cette infirmière qui parlait à un de ses patients tout juste décédé en lui contant tout l’amour que sa famille a pour lui (elle l’imagine) et qu’elle est la dernière à voir son visage avant de fermer le sac… Personne ne le reverra. Est-ce justifié ?

Cette maladie n’est pas la peste, et traiter simplement les malades au début aurait permis de calmer l’épidémie et d’éviter de nombreux séjours en réanimation. Mais il fallait sûrement que l’épidémie persiste pour continuer d’espérer vendre 7 milliards de doses de vaccins (et si possible deux fois car un rappel ne serait pas inutile) comme le disait le député Touraine, ancien rapporteur de la loi de santé de 1996 sur les grandes voix de Sud radio le 21 avril 2020. Évidemment la désinformation sur l’effet des traitements du Pr Raoult et de bien d’autres (double antibiothérapie etc.) bat son plein car pas question de priver Big Pharma et affidés de tant de milliards de bénéfices et de surveillance électronique bien utile en dictature (puçage etc.).

D’autres témoignages commencent à apparaître bien tard dans la presse : « Sébastien ne comprend pas, trois jours avant, il avait eu un appel de l’Ehpad, son père était tombé, mais il était en forme, seulement 73 ans, et aucune pathologie. Il y avait bien cette petite grippe qui circulait un peu entre les résidents, mais rien de grave, l’avait-on rassuré, et jamais le mot « Covid » n’avait été prononcé. Il ne reste de Bernard qu’une urne qui attend Sébastien sur une étagère des pompes funèbres de la petite ville de Delle. Le fils n’a jamais pu revoir son père, ni même récupérer ses affaires. Cette disparition sans bruit ni rites se transforme en deuil impossible. « Je me dis qu’il n’est pas mort, je ne réalise pas. C’est un choc terrible, un traumatisme. Nous, les familles, nous étions coupées du monde, on ne nous a rien dit. Il n’y a eu aucune communication, aucune humanité. Payer aussi cher pour mourir comme ça, j’ai la haine qui brûle en moi », pleure-t-il au téléphone. »

Ce délire d’enfermement a envahi d’autres pays dans le monde. Et les réflexions intelligentes et tragiques se multiplient.
Un pneumologue canadien commente :
« Ce qui me dérange, c’est qu’on puisse supprimer tous les droits fondamentaux aux personnes âgées. On ne leur demande pas de suivre des consignes et que s’ils les suivent, ils peuvent vivre comme les autres, c’est-à-dire sortir dehors, marcher en respectant toutes les consignes imposées à toute la population. On leur dit non, vous êtes âgés, vous n’avez même plus le droit de sortir de votre appartement, vous êtes enfermés là, vous ne pouvez rencontrer personne, toutes les libertés fondamentales sont suspendues. Vous n’avez le droit de sortir de là que si vous êtes malade ou mort. C’est tout. C’est la seule chose qu’on leur laisse. Moi je trouve que ces personnes-là ne méritent pas ça. »

Vous trouvez que c’est exagéré ?
Je trouve que c’est exagéré. On a mis des consignes publiques, on a fermé plein de choses, on a dit il y a des règles de distanciation sociale, il n’y a plus d’attroupements, mais si elles sont respectées ces règles-là, pourquoi en plus imposer un isolement complet à des personnes âgées qui en général n’ont plus rien que ça à faire de se promener dehors ? S’ils ne sont pas capables, s’ils n’en ont pas envie, c’est normal. Personne ne va les forcer. Mais si c’est la seule façon de s’évader un peu, de sortir et de se garder en santé aussi. Parce qu’à 89 ans comme mon père qui est un homme très en forme, sa forme physique va disparaître dans quelques jours.(…)

Je ne souhaite pas que mon père meure, mais j’aimerais qu’il ne soit pas enfermé comme un prisonnier parce que présentement, les criminels en prison ont plus de droits. Ils peuvent sortir tous les jours. ». Au Canada comme en France !

Soumission invraisemblable d’un peuple tétanisé : « l’attitude de « non-pensée »

Comment ce mardi 16 mars où la France est entrée en confinement total, n’a-t-il pas vu un peuple s’élever en grandes manifestations partout en France ? Il paraît que les réseaux sociaux influencent nos comportements ? Comment le croire quand l’expérience de Taïwan, de Singapour, du Japon ont montré que ce confinement généralisé inspiré de la dictature chinoise serait inutile et que suffisamment d’éléments étaient disponibles sur tous les réseaux ? La première réflexion qui nous interpelle devant un tel carnage organisé, subi et accepté est la tolérance incroyable du peuple qui nous invite à relire Freud et Jung mais surtout Hannah Arendt. N’hésitez pas à vous plonger dans ses textes redevenus d’une brûlante d’actualité.

Les conséquences des décisions gouvernementales d’interdiction de travailler pour les professions du soin sont énormes

Outre les conséquences économiques générales que tout le monde commence à appréhender, nous nous contenterons ici de survoler quelques conséquences médicales méconnues de ce confinement aveugle imposé aux Français. Les multiples domaines sabordés sont tellement nombreux que nous ne pouvons pas tous les citer, mais ne doutons pas que les anthropologues de la santé feront un rapport exhaustif. C’est leur fonction, plus que de donner des directives médicales au Président.

Les chirurgiens-dentistes appellent au secours

Les dentistes ne peuvent plus soigner. Les patients attendent depuis six semaines. La réquisition des masques par le gouvernement empêche les dentistes de soigner leurs patients. Le gouvernement leur promet trois masques, soit un jour ou deux après le 13 mai. Rage de dents, infections évoluent et sont à risque de complications. On a tout connu des décès de septicémies post-abcès dentaire, dans notre jeunesse. Veut-on revenir à l’état de la France avant les antibiotiques ?
Quelle pression des patients ?
« Au début, ils comprenaient qu’on ne pouvait rien faire s’il s’agissait seulement d’esthétique ou de prothèses cassées. Mais le côté conciliant s’est un peu envolé quand l’annonce a été faite d’un report au 11 mai. Et quand on va leur dire que ce 11 mai justement, nous voulons bien travailler, mais que nous n’avons rien pour ». Et pourtant s’il est un domaine où le port de masques est essentiel toute l’année, c’est bien la dentisterie et tous les soins de stomatologie.

La santé mentale : « un coup de tonnerre dans un ciel bleu »

Impactée pour 20 ans ou plus d’après les psychiatres et pédopsychiatres qui appellent au secours de ce confinement inique, depuis son début, dans un silence assourdissant, absents des grands médias. Le retentissement psychologique des mesures de confinement pourrait être très important. Une enquête réalisée entre le 23 et le 25 mars par BVA pour le compte de Santé publique France auprès de 2 000 personnes : « a révélé que 27 % des répondants se trouvent dans un état d’anxiété. Un chiffre « à comparer aux 13,5 % mesurés hors période épidémique » lors du Baromètre santé 2017.

Le Dr Navarre, psychiatre au CH du Rouvray à Sotteville-lès-Rouen, nous rappelle dans un article publié le 25 mars 2020 dans le journal « 20 minutes » ce que chacun sait déjà : « le confinement n’est pas anodin au niveau psychologique (…), certains vont ressentir une impression de vide », et évoque « l’angoisse du confinement ».
Autre exemple : le Dr Bocher, chef de service au CH de Nantes, affirme à FR3 Pays de la Loire le 30 mars « Coronavirus : le confinement va à l’opposé des principes de soin dans les hôpitaux psychiatriques (…) On ne connaît pas les conséquences du confinement sur des personnes sujettes aux angoisses » « Les psychotropes risquent d’entraîner des difficultés respiratoires », alerte le Dr Rachel B. « Du pain béni pour le Covid-19 » ajoute l’article.

« Je suis le Covid » : depuis le confinement, des psychiatres de Seine-Saint-Denis voient arriver à l’hôpital des jeunes sans antécédents atteints de « bouffées délirantes aiguës« , des profils inattendus, chez des personnes sans antécédents, jeunes, des trentenaires. Il y a ceux qui clament « avoir trouvé le traitement contre le Coronavirus », ceux qui pensent que « tout est leur faute », ceux qui « partent dans des délires messianiques ». Et ceux qui affirment carrément « être le virus ». « En psychiatrie, on appelle cela un « coup de tonnerre dans un ciel bleu » : il s’agit de gens qui fonctionnaient très bien et décompensent tout d’un coup.

Ces bouffées délirantes peuvent avoir pour origine des dépressions, mais aussi la consommation ou l’arrêt brutal de drogues, précise Antoine Zuber. « Ces troubles, souvent mégalomaniaques, prennent parfois des allures de délires de persécution « qui traduisent une angoisse massive pour soi et pour son entourage »

Les psychologues ne sont pas considérés comme des personnels de santé. Pas de masques délivrés en pharmacie

Les patients n’ont pas de séances depuis deux mois. Et ne peuvent pas reprendre leur thérapie car on ne délivre pas de masques aux professionnels, ni aux parents, tout en leur disant que c’est obligatoire. On ne peut pas en acheter non plus car les pharmaciens très surveillés et comme chacun sait, les psychologues ne sont pas des soignants. Il y a probablement un peu de préméditation dans cette crise, mais indéniablement beaucoup d’incompétence et une forme de folie. Néanmoins comme ordres et contre-ordres ont varié, les psychologues ont pu maintenir un contact virtuel par Skype, pour les malades les plus à risque, comme les autistes par exemple. Télétravail gratuit au moins les premières semaines.

Les malades chroniques sont abandonnés tant sur le plan médical que social et psychologique

20 millions de personnes seraient atteintes en France de pathologies chroniques, chiffre facile à vérifier car tous ces malades sont pris en charge à 100 % par la sécurité sociale. Plus de 600 000 ont bénéficient de soins réguliers et près de 320 000 suivent chaque année des chimiothérapies, 210 000 des séances de radiothérapie, et plus de 82 000 insuffisants rénaux doivent être dialysés trois fois par semaine.
Qui a pu imaginer ou plutôt ne pas imaginer les conséquences épouvantables d’une cessation brutale de ces soins, d’un jour à l’autre, sans aucune préparation, organisation. Les tableaux Excel de ces technocrates auraient dû remplir la case, prévision… Des patients fragiles, inquiets désemparés, désespérés, silencieux dont on ne connaîtra vraiment l’état qu’après un véritable déconfinement autorisant soignants mais aussi familles à les rencontrer. Mais si le patient est à 105 km, doit-on demander au Premier ministre une autorisation spéciale le 11 mai ? Ce gouvernement aura juré de nous écrire une page très spéciale de l’Histoire que personne n’aurait pu imaginer, même pas Ubu roi.

Les malades de rhumatologie chroniques par définition

Dans tous les cas, les rhumatologues sont inquiets. « Attention à la bombe à retardement, je crains le retour de bâton à la fin de l’épidémie, s’alarme un chef de service. » Il y aura tout de même un moment où les patients se rendront compte que leur problème est important. » Et le jour où les patients réévalueront à la hausse la gravité de leurs symptômes, estime le rhumatologue, « on risque alors d’avoir un peu de mal à gérer la situation ».

Les cardiologues sont particulièrement préoccupés. Les infarctus ont disparu

Le Pr A. Cohen s’inquiète : « les maladies cardiaques et neurovasculaires continuent à tuer. Il y a chaque mois 12 000 accidents vasculaires cérébraux, rappelle-t-il. Or à force de répéter que l’ensemble du système de santé est tourné vers le Coronavirus, les patients minimisent leurs symptomatologies et ne consultent plus ».

Même le journal Libération se réveille sur les victimes indirectes du confinement aveugle, irréfléchi, total avec fermeture des cabinets, des cliniques privées interdites d’opération depuis deux mois tout en ne recevant aucun malade de Covid, sur interdiction des ARS toutes puissantes et menaçantes. « Infarctus, AVC, cancer… De nombreux malades chroniques ne vont plus chez le médecin ou désertent les urgences depuis le début du confinement. Le corps médical s’inquiète de voir exploser le nombre de victimes collatérales à l’épidémie de Covid-19 ».

Deux fois moins d’infarctus, ce n’est pas normal, titre Éric Favreau. Effectivement, à moins que nos grands statisticiens ne remplissent leurs ordinateurs de ces chiffres qui finiront par nous dire que le Covid-19 protège de l’infarctus, comme le tabac d’ailleurs. On n’arrête pas le progrès et la présentation du rôle éventuel du tabac sur la protection du Covid-19 dans les grands médias a donné un peu de joie aux confinés fumeurs, seul bénéfice de cette sortie, pour le moins imprudente.

Les accidents vasculaires cérébraux (AVC) ont aussi disparu !

« On ne comprend pas. On a fait un groupe de travail avec d’autres établissements et d’autres services pour tenter d’analyser ce qui se passe. Car on reçoit beaucoup moins de victimes d’AVC, au moins 50 % en moins. Et en cardio, c’est pareil : deux fois moins d’infarctus. Ce n’est pas normal. C’est inquiétant. Les patients ont-ils peur de gêner ? Pour certains, ils arrivent trop tard ou ils meurent à la maison. C’est vrai que si on attend une demi-heure une réponse du Samu, cela peut être parfois problématique. »

« En France, en temps normal, 12 000 personnes font un AVC chaque mois et 10 000 un infarctus ». Le constat se vérifie un peu partout dans les hôpitaux. Les urgences habituelles, y compris les plus graves, connaissent une chute d’affluence.
Morts d’insuffisance cardiaque, et d’embolies pulmonaires seront classées Covid-19 même sans test, ce qui est autorisé par une circulaire destinée aux médecins.

Les urgences sont vides

Les services hospitaliers privés et publics totalement vides depuis le confinement. Réflexion confirmée par un médecin de Bichat, hôpital parisien. Les urgences hors Covid sont vides ! Il y a une baisse considérable du nombre d’AVC et d’accidents ischémiques transitoires à l’hôpital depuis le début de la crise du Covid-19.
Pas d’urgences, des services vides y compris dans les grands hôpitaux parisiens dont les internes témoignent de leur ennui… Pendant ce temps-là, grand cirque médiatique sur les lits débordés…

Les Ehpad n’appellent plus non plus pour les AVC et les choix entre aînés Covid-19 et AVC que craignaient d’avoir à faire les neurologues ne se sont pas posés. N’oublions pas le décret du 26 mars donnant injonction aux directeurs d’Ehpad de ne pas « encombrer les urgences hospitalières avec les aînés, de les laisser sous Doliprane en cas de suspicion de Covid-19 et surtout de préparer une seringue de Rivotril pour les sédater » en cas de détresse, en termes moins politiquement corrects de les euthanasier. Bien sûr sans traitement initial de la maladie, peut-être une bronchite banale. Alors dans ce contexte de délire et d’isolement des résidents, mais aussi des soignants, l’AVC est sûrement passé inaperçu, trop souvent. La standardiste du 15 (médecin, infirmière, stagiaire ?) a dû répondre Doliprane…

On nous a tellement seriné qu’il ne fallait pas déranger, même si on toussait. Alors pour le reste, et puis 30 mn au téléphone, c’est déjà trop tard, souvent. Combien de cadavres dans les placards à déconfiner… Les vrais comptes que Jérôme Salomon ne fera sûrement pas à la TV et pas avant quelques mois. On verra.

Et le cancer ? Craintes du Covid-19 et pertes de chance du cancer par retard ou inadaptation à la thérapeutique

La mortalité du Covid-19 a été évaluée supérieure chez les patients atteints de cancer. « Un rapport de la mission conjointe de l’Organisation mondiale de la santé et de la Chine, publié le 28 février dernier, indique que le taux de mortalité des patients atteints de cancer et infectés par le virus était de 7,8 %. Ce taux était de 1,4 % dans la population ne présentant pas de comorbidité et de 3,8 % pour l’ensemble des décès liés au Covid-19 ».

Ces chiffres de mortalité globale du Covid-19 sont très surestimés puisque aujourd’hui estimée à 0,1 % des contaminés. Néanmoins, on peut présumer que le rapport entre population normale et cancéreuse reste vrai. Et l’abandon de soins, dans la vraie vie, paraît d’autant plus grave.
L’institut de cancer a communiqué.
« Covid-19 et patients atteints de cancer : pendant l’épidémie, l’Institut national du cancer rappelle aux patients que le lien avec les médecins ne doit pas être interrompu » 17/04/2020.

Si on maintient « le lien », c’est mieux que rien, mais quid du traitement ? On découvre que des cures de chimiothérapie ont pu être espacées ou modifiées (par la bouche au lieu d’intraveineuse). Pire encore, des opérations urgentes ont été annulées, remises à période ultérieure sans précision, comme si le cancer prenait des vacances pendant le confinement.
Certains ont osé demander aux patients de remplacer la chirurgie prévue d’un cancer du côlon par radiothérapie avec chimiothérapie, car les blocs opératoires privés et publics ont été interdits de travailler -hors urgence-pour soi-disant conserver une réserve de lits. Lits vides inoccupés depuis deux mois sous ordre des toutes-puissantes agences régionales de santé, petites dictatures locales qui n’obéissent à personne, même pas au président de la République. Et votre cancer du côlon n’est évidemment pas classé comme urgence autorisée dans la liste imposée aux cliniques par les fameuses ARS.

Le traitement du cancer n’est pas une loterie dans laquelle on tire le billet chirurgie, une autre fois chimiothérapie et la suivante radiothérapie. Quel peut être le vécu du patient en attente de l’extirpation de son ennemi intérieur, la tumeur pulmonaire et auquel on téléphone « opération annulée » ? « Voyez avec votre médecin pour recevoir une chimio, une radiothérapie ou attendre… »

Au-delà des pertes objectives de chances de survie, l’état psychologique du patient laisse craindre des abandons de traitement, des suicides ou intention dont certains ont évoqué la possibilité de façon itérative sur les réseaux sociaux. Ils iront grandir le lot des personnes fortement impactées sur le plan psychologique par l’enfermement policier.

La crise du Covid-19, qui rappelons-le, ne semble pas devoir tuer dans le monde plus de personnes que la grippe saisonnière habituelle met en danger de nombreux patients chroniques, dont les cancéreux au premier plan.
Et même les conditions d’hospitalisation sont perturbées. Avec le #COVID19, plusieurs maisons de parents accueillant les familles d’enfants atteints de cancers ou maladies graves sont fermées. On ne comprend pas bien la logique.

Les malades du cancer connus, mais aussi ceux qui ne connaissent pas leur maladie

Il est curieux de remarquer que les dépistages tellement conseillés à grand renfort de messages postaux et télévisés ont brutalement disparu des radars. À notre avis, cela évitera nombre de surdiagnostics et traitements inutiles. Enfin un effet positif du confinement. Mais comment justifier ensuite à nouveau le matraquage en faveur de cette surmédicalisation moderne. Y renoncera-t-on ?

Sans oublier les retards au diagnostic de nombreux citoyens confinés dont les troubles divers et variés passent souvent pour de la dépression, des douleurs abdominales ou gastriques pour de l’angoisse. Quant aux colères, céphalées tenaces, qui pensera aux signes prémonitoires d’une tumeur cérébrale ? La banale fièvre d’un enfant sera cataloguée Covid-19, même si les formes symptomatiques sont exceptionnelles. Qui osera devant cette fièvre qui dure évoquer un cancer des surrénales appelé neuroblastome, ou une tumeur osseuse de type Ewing qui ont la particularité de se révéler parfois par une fièvre au long cours ? On attendra sous Doliprane que le supposé Covid-19 passe et les métastases pourront proliférer sans encombre. Pas de diagnostic et si l’enfant meurt, ce sera bien la preuve que le Covid est dangereux au journal de 20 h.

Perte de bon sens et disparition apparente de toutes les pathologies habituelles

Ce Coronavirus mis en exergue pour des raisons de gros sous, vente prévue de 7 milliards de vaccins, et de mise sous tutelle de la population, a comme signe clinique majeur la perte de tout bon sens et la mise au placard du serment d’Hippocrate.

Surtout ne pas nuire

Mais toute la profession dans sa soumission aveugle nuit aux patients qu’elle chérit d’habitude. Sidération des peuples, sidération des médecins, il faut en sortir et vite. Chaque journée d’obéissance à ce confinement délétère pour tous est responsable de nouveaux drames et de nombreux décès. Mr Pascal Praud, chaque soir, sur CNews justifie ce cirque par le célèbre « sauvez des vies », mais le compteur n’est pas au point. Les hôpitaux de Paris c’est 74 % d’appendicites en moins sur la période donc ça veut dire concrètement c’est qu’on va avoir des complications de types péritonites à la pelle ».

Problèmes médicaux mais aussi de survie au quotidien

De la maman hospitalisée qui n’a plus droit aux visites de ses enfants. Les reverrai-je avant de mourir, à celle plus pragmatique qui attend un courrier recommandé qui ne peut plus lui être délivré distance de sécurité-délire oblige.
« Maintenant comme en temps normal : on n’a plus d’interlocuteurs de proximité. La cancéreuse, c’est comme la mamie de 85 balais qui ne peut plus conduire : elles se démerdent. »

Les complications gynécologiques

Existent aussi tant l’enfermement est connu pour perturber les cycles des femmes, trouble bien décrit dans les prisons de femmes. Le confinement est un emprisonnement avec ses conséquences classiques retard ou absence de règles, syndrome prémenstruel plus fort qu’à l’habitude et troubles anxieux, agressifs qui peuvent accompagner ces perturbations particulièrement difficiles à vivre dans un espace clos…

Confinement : les effets sur les enfants

Les pédiatres alertent sur la baisse notable et dangereuse de consultations durant la pandémie de Coronavirus. À Gradignan, Catherine Salinier signale que les urgences pédiatriques se multiplient avec des enfants présentant des pathologies avancées.  Paradoxalement, c’est peut-être le moment où parents et enfants auraient eu le plus besoin de consultation pour dédiaboliser cette pandémie, tranquilliser enfants et familles, que les échanges se sont raréfiés.

Les familles, comme les enfants, ne sont pas tous égaux en cas de confinement ! Jardin ou pas, appartement avec ou sans balcon, petit ou grand : mais même dans les conditions apparemment « idéales », l’angoisse de la pandémie écoutée plusieurs fois par jour à la télévision trop souvent allumée va peser sur tous et particulièrement les petits.
Si les nourrissons sont les moins affectés par la situation, les tout-petits et les plus grands vont souffrir de cet horizon brusquement fermé, aux amis, aux grands-parents, aux instituteurs et au grand air des parcs ou forêts.

« De plus, le temps, pour les enfants, ne passe pas de la même façon. Une période de 4 semaines peut leur sembler une éternité », rappelle la psychologue-clinicienne Cécile Rubenthaler.

Déjà 2 mois et certains parents voudraient poursuivre cette prison terrible pour leurs petits, manipulés par la propagande honteuse, répétitive des messages télévisés. Non, ce confinement n’a pas été nécessaire, il n’a pas sauvé de vies, bien au contraire comme le démontrent les mortalités comparées des pays ayant confiné à la française (Italie, Espagne, Belgique), et de ceux ayant, comme toujours dans l’Histoire, isolé et traité les malades (Allemagne, Pays-Bas, Corée du Sud etc.).

L’angoisse qui monte à l’idée d’ouvrir les écoles est liée à l’émotion entretenue quotidiennement sur le comptage des décès (tous mélangés de fait, tous notés Covid-19, la grippe a disparu !) La panique entretenue par les médias et Big Pharma et affidés dont certains au gouvernement ont induit les parents en erreur. Les enfants ne sont pas le vecteur de la grippe, contrairement aux annonces en fanfare du conseil scientifique en mars, l’analogie ayant été faite avec la grippe saisonnière. Les enfants contaminés (rares) l’ont toujours été par un adulte et ils ne transmettent pas eux-mêmes le virus ni aux autres enfants, ni aux adultes. Les mises en scène théâtrales imposées pour la réouverture des écoles qui la rendent de fait impossible, sont iniques car complètement inutiles.
L’association de pédiatres a clairement expliqué qu’aucun geste barrière n’était nécessaire au moins jusqu’à la phase du lycée. Les enfants doivent rejouer ensemble, se toucher, s’embrasser. Seuls les adultes doivent porter un masque, pour éviter les contaminations inter-adultes. Les circulaires sur ces mesures inapplicables viennent bloquer la décision présidentielle d’ouverture des écoles et témoignent d’une guerre au plus haut niveau dont les enfants servent de punching-ball. Un désastre.
« Très tôt, les enfants prennent conscience des changements qui s’opèrent dans leur quotidien. Le confinement peut provoquer chez eux de l’angoisse, de la colère voire des phobies ou des traumatismes s’il n’est pas bien géré par les parents », explique E. Spertino, thérapeute et professeure des écoles. « Premières conséquences du confinement : l’absence de socialisation avec les autres enfants. Ce qui, s’ils fréquentent une crèche ou l’école maternelle, est un changement de vie énorme. Ne plus aller en classe, ne plus jouer dans la cour, ne plus retrouver les copains… tous les aspects de la socialisation du jeune enfant disparaissent du jour au lendemain. Si cela est possible, proposez à votre enfant de retrouver ses meilleurs amis via Face Time, par exemple, pour garder un minimum de contact. »

La crise de nerfs Kawasaki

La récente crise d’angoisse entraînée par la médiatisation large de l’alerte sur le Kawasaki témoigne aussi d’une volonté d’entretenir la panique qui nous maintient enfermés et soumis aux privations de liberté imposés par les nouvelles lois votées dans le silence.

À ce jour, 1er mai, il n’y a absolument aucune certitude d’un lien quelconque entre le Covid-19 et ces enfants atteints de cette maladie bénigne quasiment toujours décrite en 1967 que tous les pédiatres ont vu de multiples cas, par petites épidémies printanières. Le CHU de Montpellier proteste ce jour d’une annonce faite par les Parisiens de cas à Montpellier ! Faux, dit-il, profitant pour rappeler qu’à ce jour il s’agit plutôt d’une enquête que d’une alerte. Rétropédalage qui n’enlèvera pas la peur répandue dans les familles avec plusieurs mensonges comme « maladie grave, lien avéré etc.)
Nous sommes habitués aux multiples mensonges de cette crise, mais quand il s’agit d’enfants, les Français avalent tout.
Voici donc les dernières nouvelles du jour par le chef de service du service de pédiatrie générale et maladies infectieuses pédiatriques au CHU, Éric Jeziorski. : Quésaco Kawasaki ?

FBH : Que doivent en penser les parents de jeunes enfants ?
« Je vais les rassurer parce que le Kawasaki existe déjà. C’est ce qu’on appelle une maladie post-infectieuse parce qu’elle est déclenchée par une stimulation infectieuse quelques jours avant. Que des Kawasaki surviennent après une infection au Coronavirus, ça n’a rien d’inquiétant.
« C’est un phénomène rare, autour de 10 pour 100 000 habitants, environ un par mois au CHU de Montpellier. Ce sont des pathologies qu’on sait très bien traiter. Et même s’ils étaient liés au Coronavirus, la prise en charge ne serait probablement pas différente. On est plus dans un élément de découverte : après une épidémie, observer les épisodes post-infectieux pour savoir s’il y en a plus ou s’il y en a moins.
« Même les chiffres parisiens ne sont pas inquiétants. On parle d’une vingtaine de cas pour toute la région parisienne. Eu égard aux chiffres de la population et au fait que ces 20 cas regroupent plusieurs pathologies différentes, je ne pense que ce serait une alerte majeure. »

Mais, habilement cette « alerte » connue depuis 3 semaines arrive au meilleur moment pour relancer la panique sur l’ouverture des écoles via les médias aux ordres. Admettons même, ce qui n’est pas le cas, que ces cas d’infection virale bien connue d’évolution toujours favorable soient en rapport avec ce fameux virus. Ce serait une preuve de plus que ce confinement aveugle ne sert à rien et qu’il est urgent de sortir les enfants de cet enfermement tassé pour certains entre adultes seuls à même de les contaminer et de les laisser retourner jouer à l’air dans la cour avec leurs camarades retrouvés.

Cette campagne contre la rentrée scolaire induite par les politiques en opposition au chef de l’État, et renchérie par les opposants de trop de partis, trop heureux de marquer des points politiques, est honteuse. Elle met en péril l’état psychologique, psychique, social et même scolaire des enfants et adolescents – ce que ne défendent pas les professeurs ayant intériorisé avec les parents la panique instillée de main de maître par Big Pharma et ses serviteurs.
Espérons que la fin prévisible de l’épidémie et l’expérience de l’étranger ramènent nos dirigeants à la raison avant le 11 mai. Le ridicule ne tue pas, mais cela dépend à quelle dose.

Les personnes handicapées

Leur sort terrible dans cette pandémie mériterait à lui seul un article. Le chroniqueur de France Inter nous alerte sur la situation des personnes handicapées mentales qui vivent le confinement dans un foyer spécialisé ou en famille. « Ces personnes en situation de handicap qui vivent souvent dans des établissements d’accueil, connaissent une situation extrêmement difficile : le confinement bouleverse leur compréhension du temps qui est habituellement toujours bien établi et structuré « Il faudrait qu’il y ait une continuité des soins éducatifs, santé, des possibilités d’échanges avec les familles à distance ; dans les moyens de rassurer les assistants. Le droit des personnes en situation de handicap doit être préservé, notamment dans le soutien des structures d’accueil ».

Non seulement ces droits n’ont pas été respectés, mais des nouvelles terribles ont circulé, comme des malades chroniques assistés de bouteilles d’oxygène qui leur ont été retirées pour les porter en service Covid-19. La privation de leurs soins réguliers de kinésithérapie, psychomotricité, orthophonie selon leurs besoins a été brutale et très douloureuse. Un développement sera nécessaire.

En conclusion

Ce confinement aveugle, décidé à la va-vite sans préparation, a entraîné bien des drames et des morts. Était-ce bien nécessaire ? Rappelons que la grippe saisonnière est responsable de 290 000 à 650 000 décès tous les ans dans le monde, le tabac environ 7 millions/an, les cancers, 9 millions/an.

Nicole Delépine

L'auteur

 

Ancien Interne et ancien Chef de Clinique des Hôpitaux, elle s’est successivement spécialisée en pédiatrie puis en cancérologie. Elle est l’auteur d’une centaine d’articles originaux et a présenté de nombreuses communications dans les congrès internationaux. Les résultats de ses travaux ont été confirmés à l’étranger et inspirent des protocoles thérapeutiques internationaux. La réputation internationale de son équipe médicochirurgicale associant la chimiothérapie de pointe individualisée et la chirurgie conservatrice mise au point et développée par le Dr Gérard Delépine depuis les années 80 est considérable dans le domaine des tumeurs des os et des parties molles. Cette renommée internationale a permis à cette petite équipe créatrice et indépendante de résister au long des décennies aux représentants de la pensée unique et de la médecine purement normative qui ont tenté de la faire disparaitre à plusieurs reprises. Ce n’est que grâce à l’action des associations de parents, des interventions répétées des élus de la région parisienne et autres, des reportages multiples de journalistes, du soutien de nombreux médecins français et étrangers que cette équipe a pu résister à ses détracteurs. Elle publie régulièrement des tribunes dans différents médias. Elle a publié quatre livres chez Michalon : Neuf petits lits au fond du couloir 2000 Ma liberté de soigner 2006 La face cachée des médicaments 2011 Le cancer un fléau qui rapporte 2013

 

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