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11 décembre 2020

Trump déclarera-t-il l’état d’urgence ? S'il ne le fait pas l'Amérique et le monde occidental chrétien vont mourir !

AVEC TRUMP LE ROUGE REPUBLICAIN EST MIS

PUBLIÉ PAR HÉLIOS D'ALEXANDRIE LE 8 DÉCEMBRE 2020
Les gaucho-mondialistes ne reculent devant rien pour s’emparer du pouvoir et transformer, non seulement les États-Unis, mais la face du monde. Ambitions démesurées ou bien folie des grandeurs ? Nul ne le sait, car la puissance et le pouvoir qu’ils détiennent se sont développés et étendus au détriment des États Nations, que par ailleurs ils se promettent de détruire.

 

L’agression soutenue des gaucho-mondialistes

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Il leur fallait absolument écarter l’obstacle incarné par Donald Trump et son mouvement populaire. Ils y ont mis toute leur énergie et y consacré tous leurs moyens. Rien n’a été épargné : espionnage durant sa campagne électorale et après son assermentation, infiltrations d’informateurs anonymes à la Maison Blanche, piège tendu par le FBI contre son conseiller à la sécurité nationale, conspiration du département de la justice en vue d’un coup d’État silencieux, enquêtes bidons interminables, poursuites judiciaires, sabotage de tous genres, tentative de destitution au congrès… Tout cela agrémenté d’une propagande hostile, d’attaques médiatiques incessantes et d’une censure systématique par les réseaux sociaux.

Et pour couronner le tout l’organisation d’une fraude électorale massive avec la complicité des fonctionnaires, des gouverneurs des états et du système de justice. L’objectif ne se limitant pas à la prise temporaire du pouvoir, mais à son maintien permanent entre les mains du gaucho-mondialisme représenté par un parti démocrate nouvelle mouture, dont la transformation radicale n’augure rien de bon pour l’Amérique.

Pour les gaucho-mondialistes et les médias à leur solde, l’élection de Joe Biden est chose faite. Rien ne les empêche de vendre la peau de l’ours, après tout n’est-il pas pris au piège ? Eux seuls ont le droit de tricher, les coups fourrés sont leur spécialité pour ne pas dire leur monopole. Protégés au sein de l’État profond par des remparts administratives et juridiques taillés sur mesure, ils trichent, détournent et volent en toute « légalité »,  sans risque d’être arrêtés et punis. les putschistes du Département de Justice, du FBI et de la CIA s’en sont tirés sans la moindre égratignure, ils le savaient au moment de commettre leurs crimes, l’impunité leur a été garantie.

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La démocratie en péril

L’impunité autorise l’arrogance laquelle rime avec insolence. Certains que le pouvoir est à portée de main, ils aiguisent leurs couteaux en rêvant aux carnages qu’ils réservent à leurs ennemis. Ils se promettent de détruire Donald Trump, sa famille, ses amis et tous ceux qui ont été loyaux à son égard. Ils n’auront pas haï en vain et ils se promettent d’assouvir leur haine et du même coup terroriser l’opposition. Il suffit d’être de gauche pour détenir le droit d’annihiler ses ennemis, les listes sont déjà dressées, les procès politiques ne tarderont pas.

La démocratie a reçu des coups dont elle ne se relèvera peut-être pas, c’était intentionnel. Elle n’est plus une institution, juste une façade ou un outil qu’on se doit de subvertir en vue de gagner le pouvoir. Telle est la réalité à laquelle Trump doit faire face. Deux choix s’offrent à lui : s’incliner devant l’inéluctable et abandonner la lutte, ou prendre le taureau par les cornes pendant qu’il détient les rênes du pouvoir.

Trump se doit de sauver la démocratie, il ne peut y arriver sans mettre ses ennemis hors d’état de nuire. À présent qu’ils ont tiré toutes leurs cartouches, rien de ce qu’ils feront ne pourra l’atteindre. Ils ont commis encore une fois la bêtise de le sous-estimer et de lui fournir sur un plateau d’argent le prétexte plus que légitime de contre-attaquer.

La fraude électorale est plus que massive, pire elle est le résultat d’une conspiration qui réunit le parti démocrate, les médias, les maisons de sondage, les quatre sœurs GAFA qui sont plutôt cinq avec Twitter, Wall Street, les grands bureaux d’avocats avec la complicité des politiciens, des hauts fonctionnaires et des juges. Il est plus que probable que le parti communiste chinois soit impliqué dans cette affaire, les responsables du renseignement le laissent entendre. Xi Jinping  d’ailleurs ne cache pas sa satisfaction, la coalition anti-Trump s’est évertuée à lui tirer les marrons du feu, que pouvait-il souhaiter de mieux ?

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Cette non-sainte alliance entre rapaces n’a rien de légitime, même si elle se cache derrière la feuille de vigne de la légalité. Trump est en droit de s’y opposer au nom de l’intérêt supérieur des États-Unis. Il a en main des informations probantes sur la conspiration dont l’Amérique et son président sont les cibles. Il possède les moyens de s’y opposer.

L’état d’urgence

CHINE CONTRE USA

Trump pourrait fort bien déclarer l’état d’urgence invoquant les dangers qui menacent les institutions démocratiques du pays. Dangers internes comme on le sait, mais également externes, dans la mesure où le parti communiste chinois est associé à la conspiration et en est le premier bénéficiaire.

Reste à deviner ce que fera Trump une fois l’état d’urgence déclaré. Les pouvoirs extraordinaires qui lui seront conférés lui permettront d’outrepasser l’obstruction systématique des fonctionnaires et des juges, en mettant sur pied une commission d’examen de la fraude électorale et de ses ramifications. Les agents de l’État profond qui feront mine de s’y opposer seront congédiés, des militaires seront nommés à leur place, qui auront les moyens d’enquêter sans entraves. Le pot aux roses ne tardera pas à être mis au jour, et ceux qui y ont travaillé n’auront d’autre planche de salut que collaborer à l’enquête. Les vrais responsables seront découverts et, des politiciens tant républicains que démocrates devront répondre de leurs actes. En ce qui concerne la certification des élections, elle devra attendre les conclusions de l’enquête.

Ce scénario aura-t-il lieu ? Trump fera-t-il une fois pour toutes le ménage ? tout porte à le croire, Trump d’ailleurs l’a déclaré il y a quelques heures à peine, il a dit que le dossier de la fraude est on ne peut plus étoffé et que de « grandes choses » se dérouleront dans quelques jours. Tel que nous le connaissons il ne parle pas pour ne rien dire.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Hélios d’Alexandrie pour Dreuz.info.

 

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PUBLIÉ PAR MAGALI MARC LE 8 DÉCEMBRE 2020

 

Même en supposant que les législatures des États-charnière rejettent toutes les poursuites pour fraude électorale de l’équipe juridique de M. Trump; que les juges de la Cour suprême, saisis en appel, se dégonflent; que le Congrès décide que c’est Joe Biden qui est élu président, ce dernier ne sera pas au bout de ses peines. Outre la majorité des Américains qui croient qu’il y a eu une fraude électorale importante et que les médias complices la dissimulent, il y a tous les gauchistes, les BLM, les Antifa, bref tous ceux qui entendent bien être récompensés pour avoir puissamment contribué à la fausse victoire de Joe Biden. Bonjour les dépenses pour faire plaisir et pacifier tout ce beau monde.

 

Les déceptions à venir de Joe Biden

Joe Biden et ses partisans seront certainement déçus si les enquêtes sur la fraude inversent les résultats de cette élection.

Mais de nombreuses déceptions sont à prévoir s’il prend ses fonctions dans le Bureau Ovale.

Il devra faire face à la réalité de ses promesses de campagne et aux grandes attentes des nombreuses factions qui ont œuvré pour l’élire.

Malheureusement pour lui, son recours à la politique identitaire a un coût.

Chacune de ces «identités» vociférantes va devoir recevoir quelque chose du gouvernement fédéral pour répondre à ses exigences.

L’humoriste Will Rogers, qui faisait rire en disant des vérités, avait fait remarquer : « Nos relations en matière de politique étrangère sont un livre ouvert – en fait un chéquier ouvert ».

Joe Biden au pouvoir, va devoir ouvrir ce chéquier afin de tenir ses promesses autant sur le plan de la politique interne qu’avec sa diplomatie. Ça va lui coûter bonbon. On peut entendre le son de la caisse enregistreuse : « Ka-ching, Ka-ching, Ka-ching. »

  • 1. La foule de Black Lives Matter va arriver avec sa liste de demandes et n’acceptera pas de se faire dire non. Les BLM veulent un traitement spécial. Ils veulent des réparations – «Ka-ching, Ka-ching, Ka-ching». Mais les paiements devraient-ils être versés aux immigrés noirs qui ont appuyé le Président Trump ? Quel pourcentage de couleur de peau noire faudra-t-il avoir pour avoir droit à des prestations et comment vérifier ? Si vos ancêtres noirs sont arrivés après l’abolition de l’esclavage ou ont grandi dans des États où l’esclavage n’était pas pratiqué, devront-ils recevoir des allocations ? Si c’est non qui le leur dira? Comment convaincre le reste de l’Amérique qu’on doit compenser des gens qui n’ont jamais été esclaves et prétendre simplement qu’ils ont été victimes du «privilège blanc» ?
  • 2. Il y a la promesse de M. Biden de rendre gratuite pour tous l’éducation universitaire, et la remise de la dette des prêts étudiants – «Ka-ching, Ka-ching, Ka-ching». Qu’est-ce qui empêcherait les universités d’augmenter les frais de scolarité puisque «l’argent gratuit» arrivera bientôt? Combien de temps pouvez-vous aller à l’école et faire payer l’État ? L’État prend-il en charge les frais de scolarité de toutes les grandes écoles, même s’il est peu probable que certaines formations contribuent à une carrière autonome ? Qu’en est-il des non-citoyens – bénéficient-ils d’un enseignement universitaire gratuit ? Comment convaincre les Américains qui ont déjà payé cher leurs études universitaires et qui viennent de finir de rembourser leur dette de payer plus d’impôts pour que d’autres n’aient pas à le faire ?
  • 3. Ne vous inquiétez pas de trouver un emploi bien rémunéré après l’université. Les Démocrates prévoient donner à chacun un revenu mensuel garanti, qu’il travaille ou non. N’apprendrons-nous jamais que les «trucs gratuits temporaires» offerts par le gouvernement ne sont JAMAIS temporaires ? De tels droits ne cessent de croître – «Ka-ching, Ka-ching, Ka-ching». Je ne pense pas que Joe Biden ou tout autre Démocrate sera capable de convaincre les travailleurs américains de donner une grande partie de leur revenu durement gagné à ceux qui ne travaillent pas.
  • 4. Mais n’oublions pas le réchauffement climatique! Si John Kerry est sélectionné pour être le «tsar du climat» de l’Amérique, il n’y aura pas de limite aux dégâts causés à notre économie – «Ka-ching, Ka-ching, Ka-ching». Ils se précipiteront pour signer l’accord de Paris sur le climat, où l’Amérique, soucieuse de l’environnement, paiera cher les « excès maléfiques du capitalisme », tout en laissant à la Chine et à l’Inde plus de temps pour polluer à nos dépens.
  • 5. Les partisans socialistes, menés par AOC et Bernie Sanders, sont déjà contrariés par les nominations prévues au cabinet de Joe Biden. Ils crient à la trahison ! Cela donnera-t-il aux émeutiers et aux pilleurs toutes les excuses nécessaires pour justifier de descendre à nouveau dans la rue ? Leur destruction coûte cher: «Ka-ching, Ka-ching, Ka-ching.»
  • 6. Les fonctionnaires de l’État tentaculaire sont en délire! Les électeurs de Washington DC ont voté pour Joe Biden à 92 %. Nous savons pourquoi. L’État profond est fatigué des coupures de M. Trump. L’État profond veut s’étendre et se développer beaucoup plus profondément. Ils veulent que leurs emplois gouvernementaux bien payés soient garantis. Après tout, avec l’abrogation de toutes les réglementations de M. Trump, leur remise en place par M. Biden nécessitera de nombreux fonctionnaires pour les administrer et punir leur non-respect – «Ka-ching, Ka-ching, Ka-ching».
  • 7. Et n’oublions pas le chèque en blanc nécessaire pour prendre soin des mains tendues des pays étrangers affamés d’aide coupée par le Président Trump. Ils veulent leur aide étrangère – «Ka-ching, Ka-ching, Ka-ching». Après tout, être un «pays en voie de développement» pour toujours est profitable pour les classes dirigeantes corrompues et maintient le citoyen moyen prisonnier de l’aide et de la charité au lieu de la croissance de la libre entreprise.
  • 8. Les enquêteurs spéciaux ne sont pas bon marché et pourraient être une distraction pour l’Administration Biden. De nombreux dirigeants du GOP demandent au Président Trump de nommer un procureur spécial chargé d’enquêter sur un certain nombre de choses : la fraude électorale, la gestion par le Ministère de la Justice de la soi disant conspiration russe de M. Trump et l’implication de Joe Biden dans les paiements d’influence de Hunter Biden. Cela signifie plus d’argent pour les avocats – «Ka-ching, Ka-ching, Ka-ching».

Par ailleurs, les Républicains ayant la possibilité de conserver le contrôle du Sénat et ayant un avantage énorme dans le redécoupage des circonscriptions à la Chambre, cela signifie que les appuis du Congrès aux priorités de M. Biden pourraient être sérieusement limités. Avec un peu de chance, la présidente de la Chambre des Représentants, Nancy Pelosi, fera une demande d’allocation chômage en 2022.

Sachez que la résistance des partisans de M. Trump sera tout feu tout flamme lors des élections de mi-mandat en 2022; ils se sentiront floués, qu’ils aient réussi ou non à prouver qu’il y a eu suffisamment de fraude pour inverser le résultat des élections.

Après quatre années d’attaques et d’obstruction constantes des Démocrates contre le Président Trump, les appels à l’unité de Joe Biden tomberont dans l’oreille d’un sourd. Rappelez-vous simplement que lorsqu’un parti va trop loin, il mobilise d’autant plus le parti qui a perdu le pouvoir.

J’ai presque de la peine pour Joe Biden. Certes, il sait comment gérer les médias et les questions gênantes. Mais je me demande si la Maison Blanche a un sous-sol dans lequel M. Biden va pouvoir se cacher jusqu’à ce qu’il soit viré du Bureau Ovale ?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Source : Townhall

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PUBLIÉ PAR PIERRE REHOV LE 8 DÉCEMBRE 2020

Non, la vidéo du décompte des votes en Géorgie n’a pas été « démystifiée ». Même pas en rêve.

Une équipe de contrôle des faits soutenue par Big Tech a affirmé avoir démantelé des preuves explosives à l’appui des affirmations des républicains concernant les problèmes importants des élections lors d’une audition au Sénat géorgien jeudi. Ce n’est pas le cas. Pas même proche.

Des images de sécurité récemment découvertes dans la State Farm Arena de Géorgie montrent des dizaines de compteurs de votes, de médias et d’observateurs républicains quittant en masse et en même temps la zone de comptage des votes pour le comté de Fulton. Après leur départ, un petit groupe d’environ quatre travailleurs a commencé à tirer des malles contenant des milliers de bulletins de vote de sous une table avec une longue nappe et à les faire passer dans des machines.

Les images confirment les affirmations des républicains selon lesquelles on leur a dit que le comptage avait cessé pendant la nuit, pour découvrir quelques heures plus tard qu’il avait continué. Vous pouvez et devriez regarder la partie de 12 minutes du témoignage de Jacki Pick ici.

Vendredi matin, un groupe appelé Lead Stories a publié une « alerte au canular » prétendant faussement avoir démantelé la vidéo de sécurité. Le Washington Post, Newsweek et d’autres médias ont suivi, critiquant les journalistes non journalistes pour avoir donné une impulsion à la vidéo. En fait, aucune des affirmations des républicains n’a été démentie.

Le « contrôle des faits » de Lead Stories indique que les responsables gouvernementaux leur ont dit que tout allait bien lors du comptage, que les bulletins étaient dans des « conteneurs – pas des valises », et que « les observateurs du parti n’ont jamais été priés de partir parce que le comptage était terminé pour la nuit ».

Laissons de côté la question de savoir si le fait de se fier uniquement et sans critique aux affirmations des représentants du gouvernement constitue une sorte de « vérification » des faits, et examinons l’affirmation selon laquelle les observateurs des partis n’ont jamais été informés que le comptage était terminé pour la nuit. Dans la régurgitation des affirmations des responsables gouvernementaux par Lead Stories, seules les personnes qui ont ouvert les enveloppes de vote par correspondance ont été renvoyées chez elles, tandis que les compteurs et les scanners ont été conservés et ont continué à fonctionner – et personne n’a dit à la presse ou aux autres observateurs qu’ils avaient fini de compter.
Les observateurs républicains et les médias ont-ils dit que le comptage avait cessé pour la nuit ?

Le président du parti républicain de Géorgie, David Shafer, a toujours dit que c’est ce qui s’est passé à la State Farm Arena, quelques heures après l’élection :

Cette affirmation, qu’il n’a cessé de répéter, est étayée par les déclarations sous serment de deux observateurs républicains, qui affirment en outre qu’ils ont été maintenus à une distance déraisonnable des bulletins de vote, même lorsqu’ils se trouvaient à la State Farm Arena, ce qui les a empêchés de faire leur travail de manière significative. (La vidéo, qui montre la salle sous quatre angles différents, soutient pleinement l’affirmation selon laquelle les observateurs du scrutin ont été tenus à l’écart de toute observation significative de la manipulation des bulletins de vote).

Les observateurs disent être arrivés pour leur travail d’observation vers 20 heures. Ils disent que dans la première moitié de l’heure 10, une femme aux tresses blondes qui semblait être une surveillante a « crié » aux personnes présentes dans la salle qu’elles arrêteraient de travailler pour la nuit et qu’elles reprendraient le matin. Les observateurs républicains ont déclaré qu’ils avaient posé plusieurs fois des questions à Regina Waller, porte-parole des élections du comté de Fulton, sur l’état du décompte des voix, mais qu’elle avait refusé de répondre.

Lead Stories, cependant, déclare : « Il n’y a jamais eu d’annonce faite aux médias et aux autres observateurs sur la fin du dépouillement pour la nuit et sur le fait qu’ils devaient partir, selon Frances Watson, enquêteur en chef du Secrétaire d’Etat de Géorgie, qui a reçu des informations de la liaison avec les médias, qui était présente ». Bien que Lead Stories ne nomme pas l’agent de liaison avec les médias, l’agent de liaison qui était présent cette nuit-là, selon les déclarations sous serment, était Regina Waller, la responsable des affaires publiques du comté de Fulton pour les élections.

OK, donc d’un côté vous avez des déclarations sous serment d’observateurs disant que les superviseurs ont dit aux scrutateurs de rentrer chez eux pour la soirée peu après 22 heures et une vidéo montrant tout le monde partant en masse à cette heure. Et d’autre part, vous avez deux fonctionnaires du gouvernement qui promettent que personne n’a été informé que le comptage était terminé. Y a-t-il d’autres preuves à prendre en compte ?

Eh bien, le soir des élections, ABC News a rapporté que les compteurs de votes ont été renvoyés chez eux à l’heure où les observateurs républicains ont déclaré que tout le monde avait été informé que le comptage avait cessé. Leur source ? Regina Waller :

L’histoire des observateurs républicains correspond parfaitement au reportage de cette nuit d’élection. Et ce n’est pas seulement ABC qui a rapporté que le décompte des voix avait été retardé. De nombreux médias ont fait état de retards dans le décompte des voix. Voir, par exemple, « Le comté de Fulton a cessé de compter les bulletins de vote par correspondance pour la nuit ».

Les journalistes locaux de la NBC présents sur place cette nuit-là ont confirmé de manière indépendante « qu’on leur avait dit que le comptage avait été fait pour la nuit » et n’ont donné aucune indication sur le fait que le comptage continuerait avant le lendemain matin. L’Atlanta Journal-Constitution a même fait état d’un « plan » visant à arrêter de scanner les bulletins au moment même où les observateurs du scrutin disaient que les choses étaient arrêtées :

Ils avaient prévu d’arrêter de scanner les bulletins de vote par correspondance à 22h30 et de les récupérer le matin. Aucun fonctionnaire n’a pu expliquer avant l’heure de mise sous presse pourquoi Fulton arrêtait le décompte des bulletins absents à ce moment-là, se contentant de dire que c’était la procédure.

Comme prévu, le comté de Fulton continuera à comptabiliser le reste des bulletins de vote par correspondance au cours des deux prochains jours. Le traitement des bulletins de vote par correspondance exige que chaque bulletin soit ouvert, que les signatures soient vérifiées et que les bulletins soient scannés. Il s’agit d’un processus à forte intensité de main d’œuvre qui prend plus de temps que les autres formes de vote. Le comté de Fulton n’avait pas prévu que tous les bulletins de vote par correspondance seraient traités le jour du scrutin », a écrit la porte-parole du comté dans une déclaration.

Un peu de démagogie, les gars. La vidéo soutient la revendication des affiants.

Soit dit en passant, la plupart des histoires liées à la vidéo font mention d’une importante histoire le jour du scrutin, celle d’un tuyau éclaté retardant le décompte des votes. Certains ont même déclaré qu’il s’agirait d’une conduite d’eau.

Dans une nouvelle déclaration sous serment, ledit Watson a juré : « Notre enquête a révélé que l’incident initialement rapporté comme une fuite d’eau tard dans la soirée du 3 novembre était en fait un urinoir qui avait débordé tôt le matin du 3 novembre ».

Elle a également déclaré que son enquête montre que la presse et les observateurs « sont simplement partis d’eux-mêmes », bien qu’elle ait déclaré plus tard que les travailleurs avaient mis des bulletins de vote sous la table parce qu’ils pensaient que le comptage s’arrêtait pour la soirée. « Cela a été fait parce que les employés pensaient qu’ils avaient fini pour la nuit et qu’ils étaient en train de fermer et prêts à partir », a-t-elle affirmé.
Un observateur de la commission électorale de l’État était-il présent alors que les observateurs partisans étaient partis ?

Un article de Newsweek a cité quelqu’un disant que le bureau du secrétaire d’État Brad Raffensperger a affirmé qu’un observateur électoral désigné était « à cet endroit toute la nuit, tout le temps ». Lead Stories souligne que si des observateurs partisans n’étaient pas présents, un « observateur non désigné du conseil électoral de l’État » était présent :

Un observateur du conseil électoral de l’État, qui a demandé que son nom ne soit pas utilisé pour des raisons de sécurité, a déclaré à Lead Stories au téléphone le 3 décembre 2020 qu’il était présent sur le lieu de dépouillement du vote à partir de 23h52, après être parti brièvement plus tôt dans la soirée. Il est ensuite resté jusqu’à environ 0h45, lorsque le travail de cette nuit-là a été terminé.

L’enquêteur en chef adjoint du bureau du secrétaire d’État était présent à partir de 00h15 le 4 novembre, a-t-il déclaré.

Le contrôleur ne prétend avoir été présent dans la salle de traitement que de 23h52 le soir de l’élection jusqu’à 0h45 le lendemain matin, soit moins d’une heure. Cela signifie qu’il n’y a eu ni moniteur partisan ni moniteur du conseil électoral de l’État pendant plus d’une heure après que les bulletins de vote ont commencé à être scannés à 22h35.

Ce que le « contrôle » des faits montre donc, c’est que le moniteur admet qu’il n’a pas été présent pendant une grande partie du temps en question, contrairement aux affirmations du bureau du secrétaire d’État. Pour ce que ça vaut, le même contrôleur fait l’objet d’une déclaration sous serment d’un autre témoin, consacrée exclusivement aux préoccupations concernant la conduite du contrôleur avant les heures tardives du jour des élections, selon un membre de l’équipe Trump. Il affirme notamment qu’il dormait au travail et fixait son téléphone.

Par ailleurs, le comté de Fulton a eu tellement de mal à gérer les élections au début de l’année qu’il a été condamné à une amende et contraint de conclure un accord de règlement qui prévoyait l’obligation d’un contrôle indépendant, selon l’Atlanta Journal-Constitution :

Pour éviter l’amende, Fulton doit maintenir des niveaux vérifiables de compétence opérationnelle en traitant correctement les bulletins de vote par correspondance, en gardant une force de 2 200 travailleurs électoraux correctement formés, en fournissant au moins 24 sites de vote anticipé, en s’efforçant de traiter 100 électeurs par heure sur n’importe quel site, en ayant un membre du personnel de soutien technique sur chaque site et en créant un audit post-électoral.

L’ordonnance de consentement exige également que Fulton informe régulièrement le conseil d’administration de son effectif de personnel électoral.

La question de l’ordonnance par consentement qui a nécessité le plus de négociations portait sur un observateur indépendant des élections.

Ils se sont mis d’accord sur Carter Jones, qui a passé du temps en Afrique pour aider les pays à améliorer leurs élections…

Le ministère américain de la justice a également envoyé un observateur électoral dans le comté de Fulton.

Contrairement à l’impression des médias selon laquelle un observateur d’État est une surveillance suffisante, la presse et les observateurs partisans sont tout aussi importants, sinon plus. Les fausses allégations du public concernant une pause dans le décompte des voix ont conduit au départ de la presse et des observateurs républicains.

Quant à l’enquêteur en chef adjoint qui est arrivé à 12h15 le 4 novembre, alors que les activités de scannage des bulletins de vote étaient presque terminées, la vidéo montre la personne entrant dans la grande salle, jetant un coup d’œil autour d’elle et parlant sur son téléphone. À aucun moment les « contrôleurs des faits » ou d’autres personnalités des médias n’ont demandé ce qui avait poussé un enquêteur à être envoyé à la State Farm Arena à ce moment-là.

L’équipe juridique de Trump, pour sa part, a déclaré que la situation du comté de Fulton violait les lois de la Géorgie qui exigent que les résultats des élections soient rendus publics. Les déclarations sous serment des témoins indiquent que le refus d’un accès significatif au processus de dépouillement a empêché les observateurs républicains de pouvoir observer réellement ce qui s’est passé. Les observateurs républicains, la presse et le public ont été maintenus dans une zone délimitée, trop éloignée de l’activité de vote pour avoir de l’importance, ce qui n’est pas conforme à la loi géorgienne, disent-ils.
Les revendications de la Géorgie sont beaucoup plus importantes

Alors que les théories de conspiration sur la fraude électorale abondent – allant de l’affirmation du New York Times selon laquelle il n’y a pas eu de fraude électorale dans tout le pays à des allégations dramatiques de conspiration mondiale impliquant des machines de vote – les affirmations officielles de la campagne Trump sont sobres et sérieuses. Le président républicain David Shafer et le président Donald Trump ont déposé vendredi une plainte pénale devant un tribunal d’État concernant des dizaines de milliers de votes qu’ils qualifient de frauduleux.

Trump et Shafer allèguent, par exemple, que les votes provenaient de

  • 2 560 criminels,
  • 66 247 mineurs inscrits,
  • 2 423 personnes qui ne figuraient pas sur les listes électorales de l’État,
  • 4 926 électeurs qui s’étaient inscrits dans un autre État après leur inscription en Géorgie, ce qui les rendait inéligibles,
  • 395 personnes qui ont voté dans un autre État pour la même élection,
  • 15 700 électeurs qui avaient déposé des formulaires nationaux de changement d’adresse sans se réinscrire,
  • 40 279 personnes qui ont déménagé sans s’être réinscrites,
  • 1 043 personnes qui ont déclaré l’impossibilité physique d’avoir une boîte postale comme adresse,
  • 98 personnes qui se sont inscrites après la date limite, et, entre autres,
  • 10 315 personnes décédées le jour de l’élection (dont 8 718 avaient été enregistrées comme décédées avant que leur vote ne soit accepté).

Le procès allègue en outre que les bulletins de vote postaux n’ont pratiquement pas été examinés, car les normes de contestation des bulletins de vote douteux ont été rendues excessivement difficiles.
Une note sur les articles de fond

Le « chèque » des faits a été rédigé à l’origine par Alan Duke et Hallie Golden, bien que le nom de Golden ait été retiré des versions ultérieures de l’histoire. Golden est un écrivain indépendant dont les travaux sont régulièrement publiés dans The Guardian, une publication de gauche. Duke, journaliste de divertissement à CNN, a pris sa retraite après 26 ans de travail dans un journal de gauche.

Les versions précédentes de l’histoire comportaient une erreur mathématique sur la question de savoir si les votes qui ont été comptés après que les observateurs aient quitté la State Farm Arena auraient pu affecter le résultat de l’élection. Les auteurs ont faussement écrit qu’ils n’auraient pas pu, alors qu’ils auraient pu.

Un prétendu « contrôle » des faits a ensuite déclaré qu’il n’était pas vrai que les observateurs républicains aient juré sous serment qu’on leur avait dit de quitter le centre, Lead Stories a faussement déclaré que ces affirmations étaient la « pierre angulaire » du défi lancé par Trump à la Géorgie. En fait, la réclamation légale déposée par l’équipe de Trump ne mentionne qu’une seule fois, sur une page des 64 pages de la plainte, le comté de Fulton disant à la presse et aux autres observateurs électoraux qu’ils allaient arrêter le comptage des bulletins et le reprendre le matin. Encore une fois, ces affirmations ont été corroborées, et non démenties, par de multiples comptes rendus de presse de la nuit des élections. Quant aux déclarations sous serment, elles font la même affirmation – que les fonctionnaires électoraux du comté de Fulton ont faussement dit qu’ils arrêtaient le comptage alors qu’en réalité ils continuaient à compter pendant la nuit après le départ des observateurs. Les déclarations sous serment affirment en outre qu’ils n’ont pas pu obtenir de réponses aux questions de base des fonctionnaires.

Lead Stories affirme être financé par Facebook, Google et ByteDance. Cette dernière est la société liée au Parti communiste chinois et basée à Pékin, connue sous le nom de TikTok. Facebook et Google ont supprimé le journalisme jugé nuisible à l’opposant de Trump aux élections de 2020, Joe Biden. L’administration de Trump a déclaré que les liens de TikTok avec le gouvernement communiste chinois en faisaient une menace pour la sécurité nationale.

NOTE : Dans un esprit kafkaïen, Facebook utilise désormais Lead Stories pour censurer cette histoire critique de Lead Stories.

SPOURCE : Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Pierre Rehov pour Dreuz.info.

https://thefederalist.com/2020/12/07/no-the-georgia-vote-counting-video-was-not-debunked-not-even-close/

 

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PUBLIÉ PAR MAGALI MARC LE 9 DÉCEMBRE 2020

Ça devient cocasse de voir une agence de presse comme AFP pondre un texte, repris fidèlement dans nombre de journaux ou hebdos (Le Figaro, L’Express, La Presse, Le Journal de Montréal, Le Devoir) selon lequel le Président Trump refuse désespérément de reconnaître sa défaite, tandis que des témoins « fantaisistes » fragilisent sa « croisade » contre la fraude électorale qui serait en train de « virer au fiasco ». Et ils appellent ça de l’information ! On est rendu au point où il faut lire les commentaires sous les articles pour constater que bien des lecteurs sont mieux informés que les journaleux qui répètent comme des perroquets les faussetés des agences de presse !

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article d’Arnold Cusmariu, paru sur le site d’American Thinker, le 8 décembre.

Le soi disant manque de preuve de fraude électorale clamés par les gauchistes est une véritable escroquerie

Les gauchistes savent parfaitement que leur mantra souvent répété « il n’y a aucune preuve de fraude électorale » est faux car ce sont eux qui ont perpétré ou encouragé la fraude le mois dernier.

Nous l’apprendrions assez vite de Joe Biden lui-même s’il était possible d’injecter un sérum de vérité dans ses veines au lieu du cocktail de médicaments habituel dont il a besoin pour fonctionner au quotidien. (Un test de dépistage de drogue avant que Biden n’obtienne une habilitation de sécurité ne serait pas une mauvaise idée.) À défaut, je veux expliquer pourquoi la phrase « il n’y a aucune preuve de fraude électorale » est une escroquerie des gauchistes.

Si la notion de preuve a un sens légal, qui distingue entre preuve directe et preuve circonstancielle, elle est relativement récente.

Au 4e siècle avant J.-C., Platon a créé le concept d’épistémologie (la théorie de la connaissance) et les philosophes y réfléchissent depuis lors. Ce que nous avons à dire sur le concept de preuve est très pertinent en rapport avec la controverse qui fait rage concernant la fraude électorale. Notre histoire est en contradiction flagrante avec celle que les gauchistes mettent de l’avant.

Il s’agit d’un cours accéléré, alors excusez-nous d’avancer à toute vitesse.

Les épistémologues ne parlent pas de la preuve comme d’une abstraction, c’est-à-dire comme si la preuve était une chose ou une autre « qui existe ». Il est vrai qu’il existe une notion de « preuve » qu’on peut chercher et trouver (ou non), examiner (par exemple: des empreintes digitales). Cela ne veut pas dire que les preuves sont le genre de choses concrètes qu’est, par exemple, un caillou. Le genre de chose que Joe Biden a dans la tête – bien que selon la rumeur, ils ont passé son cerveau aux rayons X et n’ont rien trouvé.

Premièrement, selon l’épistémologie, une proposition illustre la propriété d’être une preuve – une des nombreuses propriétés épistémiques. Une proposition est ce qu’exprime une phrase d’humeur déclarative, c’est-à-dire une phrase qui dit « un tel est ainsi ». Des exemples de propositions sont « le ciel est bleu », « Joe Biden est un vieil homme sénile », et « le 3 novembre 2020, une fraude électorale massive s’est produite dans des États-charnière ».

Les questions et les ordres n’expriment pas de propositions.

« Quel jour sommes-nous aujourd’hui, Joe ? » et « Retourne dans ton sous-sol, Joe ! » n’expriment pas de proposition.

La raison en est simple : Les questions et les ordres ne sont ni vrais ni faux.

Le fait qu’une personne ait posé une question ou donné un ordre est vrai ou faux, mais la question ou l’ordre lui-même n’est ni vrai, ni faux. La réponse, on l’espère, sera vraie ou fausse – bien que lorsque vous posez une question à Joe Biden, vous n’obtiendrez qu’une autre question ou un autre ordre du genre « Allez, Mec ! »

Ensuite, en épistémologie, il n’existe pas de concept tel qu’« une proposition évidente ». Descartes, au XVIIe siècle, a été le premier à le souligner.

La « proposition évidente » peut ressembler à une « pomme rouge », mais elle ne l’est pas. On ne peut pas dire, simplement en regardant une proposition, si elle est évidente ou non. Les propriétés épistémiques sont des propriétés objectives, contrairement à une greffe de cheveux bizarre ou au fait d’accepter des millions de la part de personnes qui vivent en Ukraine ou en Chine, ou les deux.

Au contraire, une proposition a la propriété épistémique d’être évidente pour une personne. Ainsi, la même proposition peut être évidente pour vous mais pas pour moi, et vice versa. La même proposition peut être évidente pour beaucoup de gens ou seulement pour quelques-uns, par exemple, que les élections de 2020 ont été volées, que Joe Biden est un imbécile et que Bill Clinton est un menteur.

Il y a aussi des propositions en sciences et en mathématiques qui ne sont évidentes pour pratiquement personne. Notre univers est compliqué, plus que ne l’admettront les fans des schémas en forme de courbe vers le haut du réchauffement climatique.

Enfin, des propositions sont évidentes pour une personne à un moment donné. Ainsi, il peut être évident pour Smith qu’il possède une Ford aujourd’hui, mais cela ne sera pas évident pour Smith demain si Jones passe pendant la nuit et vole la voiture.

Peut-être n’était-il pas évident la semaine dernière pour le gouverneur de Géorgie qu’il y avait une fraude électorale dans son État, mais cela devrait être évident pour lui maintenant que des vidéos de surveillance ont été découvertes. Vous devinez aussi bien que moi si lui et son Secrétaire d’État décideront d’agir.

Où cela nous mène-il ?

Le mantra « il n’y a aucune preuve de fraude électorale » est un mensonge selon l’épistémologie et n’est destiné qu’à faire taire les dissidents.

Correctement formulée, cette affirmation se résume à dire que la proposition exprimée comme étant « il n’y a pas eu de fraude électorale le jour du scrutin » n’était pas évidente à l’époque (ou depuis) pour quiconque, ce qui est manifestement absurde. Cette proposition était évidente pour les personnes qui ont falsifié des bulletins de vote, inversé des votes, etc.

Bien sûr, ils ne l’admettent pas. Ils ont été payés pour le faire et pour se taire ou mentir si on leur posait des questions à ce sujet. Il est un peu tard pour qu’un grand jury puisse découvrir la vérité.

« Tout cela est bel et bon, Arnold », répondrez-vous peut-être, « mais vous devez maintenant nous expliquer ce que l’épistémologie a à dire sur l’analyse de « ce qui est évident pour une personne, à un moment donné ».

J’aimerais pouvoir le faire. Je ne peux pas, pas ici, parce que les choses se sont compliquées en épistémologie dans les années 60 à cause de ce qu’on appelle «le problème Gettier». Le mieux que je puisse faire est de recommander un petit volume intitulé « Theory of Knowledge » de Roderick M. Chisholm, qui contient une analyse de « l’évidence pour une personne à la fois », ainsi que des analyses d’autres concepts clés en épistémologie.

Chisholm écrit de façon claire et succincte.

Je ferai deux remarques finales.

Premièrement, le mantra « il n’y a aucune preuve de fraude électorale » est un charabia inconstitutionnel ainsi qu’un mensonge. Nous ne pouvons pas discuter du problème des preuves de cette façon, que ce soit en droit ou en épistémologie. Cela nous oblige à accepter les absurdités du « vainqueur grâce au vote populaire » que la gauche défend dans l’espoir de supprimer le Collège électoral. La seule façon d’examiner la question qui soit conforme à la Constitution est d’examiner un État à la fois. La fraude massive qui s’est produite en Géorgie est évidente pour moi après avoir lu le mémoire de Me Sidney Powell.

Deuxièmement, lorsque la Cour suprême examinera la question de la fraude électorale, espérons qu’elle le fera un État-charnière à la fois et qu’elle ne statuera qu’après avoir fait preuve de diligence raisonnable pour la Géorgie, la Pennsylvanie, le Wisconsin, le Michigan, l’Arizona et le Nevada pris individuellement.

Alors, Mesdames et Messieurs, faites comme si vous étiez des épistémologues. Ignorez les fausses certifications politisées qui arrivent et réalisez qu’il est évident pour vous qu’une fraude électorale massive s’est produite dans ces États. Concluez que la bonne chose à faire est de renvoyer Joe Biden dans son sous-sol, Kamala Harris au Sénat et de garder le Président Trump là où il est. L’avenir de cette nation en dépend.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Source : Americanthinker

 

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PUBLIÉ PAR JEAN-PATRICK GRUMBERG LE 9 DÉCEMBRE 2020

Lundi 7 décembre, peu avant minuit, l’État du Texas a intenté un procès (1) contre la Georgie, le Michigan, la Pennsylvanie et le Wisconsin devant la Cour suprême des États-Unis, au motif que les procédures électorales de ces Etats ont violé la Constitution des Etats-Unis. Et la Cour suprême a accepté d’examiner la plainte.

Contrairement aux autres procès qui ont été portés devant la Cour suprême et qui demandent l’annulation des votes frauduleux, le Texas demande à la Cour suprême d’ordonner aux États de permettre à leurs assemblées législatives de nommer leurs électeurs.

  1. Ces États ont violé la clause électorale de la Constitution parce qu’ils ont modifié les règles et les procédures de vote par le biais des tribunaux ou de l’exécutif, mais pas par le biais des assemblées législatives des États.
  2. Il y a eu des différences dans les règles et les procédures de vote dans les différents comtés des États, ce qui constitue une violation de la clause de protection égale de la Constitution.
  3. Ces faits ont entraîné des « irrégularités de vote » dans ces États.

Le procureur général du Texas, Ken Paxton, a déclaré mardi qu’il avait engagé des poursuites contre la Géorgie, le Michigan, la Pennsylvanie et le Wisconsin, et demandait qu’ils soient empêchés de participer au Collège électoral en raison d’irrégularités contraires à la constitution des Etats-Unis.

Mardi soir, la Cour suprême a accepté la plainte, et a donné à la Géorgie, au Michigan, au Wisconsin et à la Pennsylvanie jusqu’au 10 décembre à 15 heures (heure locale) pour déposer leurs réponses.

Que dit la plainte ?

M. Paxton affirme que les fonctionnaires comme les secrétaires d’État qui ont étendu le vote par correspondance en réponse à la pandémie de coronavirus l’ont fait illégalement, en contradiction avec leurs propres constitutions.

Le Texas demande à la Cour suprême de déclarer que les quatre États ont de plus mené l’élection de 2020 en violation de la Constitution des Etats-Unis.

Le procès affirme également que ces États ont violé la « clause de protection égale » en permettant aux comtés à majorité Démocrate de restreindre l’accès au dépouillement aux observateurs Républicains, et en acceptant que les bulletins de vote d’électeurs de quartiers Démocrates comportant des erreurs mineures.

Pour les États défendeurs qui ont déjà nommé des électeurs, la plainte demande au tribunal d’ordonner aux assemblées législatives des États de nommer de nouveaux électeurs conformément à la Constitution.

Neuf Etats (pour l’instant) s’associent à la plainte du Texas

Plusieurs États ont exprimé leur soutien à la plainte du Texas pour contester les résultats des élections dans les quatre États clés.

Les procureurs généraux de l’Arkansas, de l’Alabama, du Missouri et de la Louisiane ont publié dans un premier temps des déclarations en faveur de la motion présentée par le Texas, demandant à la Cour suprême l’autorisation de poursuivre la Pennsylvanie, la Géorgie, le Michigan et le Wisconsin afin de protéger l’intégrité des élections de 2020.

Très vite, huit Etats ont rejoint la plainte du Texas : la Louisiane, l’Arkansas, l’Alabama, la Floride, le Kentucky, le Mississippi, la Caroline du Sud et le Dakota du Sud.

Et au moment de réunir les éléments pour la rédaction de cet article, un neuvième Etat, le Missouri, rejoignait les précédents (4), pour atteindre maintenant le chiffre impressionnant de dix, avec le Texas.

Plaidoyer de la Louisiane

Le procureur général de Louisiane, Jeff Landry, a déclaré que « seule la Cour suprême des États-Unis peut en dernier ressort décider des cas de réelle controverse entre les États en vertu de notre Constitution ».

M. Landry a déclaré que les Américains partagent « de profondes préoccupations » quant à la manière dont les élections générales de 2020 ont été menées.

La Louisiane avait précédemment déposé un « mémoire d’ami de la Cour » (2) auprès de la Cour suprême des États-Unis, exhortant les juges à se saisir d’une affaire voisine mais distincte – Parti Républicain de Pennsylvanie contre Boockvar – qui conteste une ordonnance de la Cour suprême de l’État permettant aux responsables des élections d’accepter les votes par procuration reçus jusqu’à trois jours après le 3 novembre.

« Des millions de citoyens de Louisiane, et des dizaines de millions de nos concitoyens dans le pays, ont de profondes inquiétudes concernant la conduite des élections fédérales de 2020 », a écrit M. Landry. « Le fait que certains États semblent avoir mené leurs élections au mépris de la Constitution américaine est profondément ancré dans ces préoccupations ».

« En outre, de nombreux Louisianais sont devenus plus frustrés, car certains dans les médias et la classe politique tentent de contourner des questions légitimes par opportunisme », a-t-il ajouté.

Critiques de l’Alabama

Le procureur général de l’Alabama, Steve Marshall, a également exprimé des préoccupations similaires, déclarant que

« Les actions anticonstitutionnelles et les votes frauduleux dans d’autres États n’affectent pas seulement les citoyens de ces États, ils affectent les citoyens de tous les États ».

« Chaque vote illégal compté, ou chaque vote légal non compté, avilit et dilue le libre exercice du droit de vote par les citoyens », a déclaré M. Marshall.

Il a ajouté qu’il décidera de la manière de procéder dans la « lutte de l’État pour assurer l’intégrité des élections » après que la Cour suprême aura décidé si elle entendra l’affaire.

Arkansas et Missouri au diapason

De même, le procureur général de l’Arkansas, Leslie Rutledge, a exprimé son soutien au Texas en soulignant l’importance de l’intégrité des élections dans une déclaration faite en fin de soirée mardi.

« Après avoir examiné la requête déposée par le Texas devant la Cour suprême des États-Unis, j’ai décidé de soutenir cette requête de toutes les manières légalement appropriées. L’intégrité de nos élections est un élément essentiel de notre nation et elle doit être maintenue », a déclaré Mme Rutledge.

Le procureur général du Missouri, Eric Schmitt, a déclaré mardi dernier qu’il « aiderait à mener l’effort de soutien à la requête du Texas » auprès de la Cour suprême, ajoutant : « Le Missouri est dans le combat ».

Pour mémoire, le Texas avait refusé les machines de vote de Dominion, considérant, après examen par des experts informatiques, qu’elles n’apportaient pas la sécurité nécessaire que l’on peut attendre pour assurer l’intégrité d’une élection démocratique.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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  1. https://www.texasattorneygeneral.gov/news/releases/ag-paxton-sues-battleground-states-unconstitutional-changes-2020-election-laws
  2. http://agjefflandry.com/Files/Article/10808/Documents/2020-11-09-RepublicanPartyofPa.v.Boockvar-AmicusBriefofMissourietal.-FinalWithTables.pdf
  3. https://www.supremecourt.gov/search.aspx?filename=/docket/docketfiles/html/public/20a98.html
  4. https://thetop10news.com/2020/12/09/missouri-joins-fight-alongside-texas-to-challenge-election-before-supreme-court/
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