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16 décembre 2020

ELECTIONS PRÉSIDENTIELLES AUX USA RIEN N'EST ENCORE JOUE POUR JOE BIDEN DÉCLARE DÉJÀ VAINQUEUR PAR LES DÉMOCRATES ?

PUBLIÉ PAR JEAN-PATRICK GRUMBERG LE 16 DÉCEMBRE 2020

La sénatrice Amanda Chase, candidate Républicaine au poste de gouverneur en Virginie, a demandé au président Trump de déclarer la loi martiale pour empêcher Joe Biden de prêter serment en tant que prochain président.

« Joe Biden n’est pas mon président et ne le sera jamais »

Dans un message sur Facebook publié tôt dans la matinée ce mardi, Mme Chase a déclaré que Joe Biden « n’est pas mon président et ne le sera jamais », en faisant référence à un article du New York Times détaillant la manière dont le Collège électoral avait certifié la victoire électorale de Joe Biden.

Elle a fait écho à l’affirmation de Trump – appuyée par de multiples preuves de fraude massive, y compris la publication de l’examen informatique des machines à voter de Dominion dans le Michigan qui ont révélé que le taux d’erreur des scanners était de 68% – que Biden a « triché pour gagner » et elle a déclaré qu’elle et de nombreux autres Américains « n’accepteront jamais ces résultats ».

« Des élections équitables, nous pouvons les accepter, mais tricher pour gagner ; jamais. Ce n’est pas encore fini. Heureusement, le président Trump a du cran et refuse de céder. Le président Trump devrait déclarer la loi martiale, comme l’a recommandé le général Flynn », a écrit M. Chase.

  • Les médias mentent et font de la désinformation, ils affirment que les États-Unis n’ont jamais déclaré la loi martiale, qui donne aux militaires de larges pouvoirs en temps de crise, au niveau fédéral. La loi martiale a été déclarée au moins 68 fois (1).
  • Mais elle a été utilisée dans certains cas au niveau des États et au niveau local lors de catastrophes ou de périodes de troubles, comme à Hawaii après l’attaque de Pearl Harbor.
  • Bien que parfaitement légale, il s’agit d’une zone d’ombre juridique, et toute tentative de Trump d’utiliser l’armée pour redresser les résultats des élections pourrait être contesté par le Congrès ou la Cour suprême. De plus, l’armée ayant refusé de le suivre lors des émeutes de Portland, et parce qu’à l’époque, il n’a pas fait tomber les têtes des forces Démocrates incrustées au Pentagone, il n’est pas du tout certain qu’il soit obéi dans ses ordres.

Les contestations juridiques de Trump concernant l’élection ont été largement rejetées par les tribunaux – pas toutes mais presque – y compris la Cour suprême, parce que les juges ne veulent pas décider d’une élection. Le président et sa campagne n’ont pas été en mesure de faire examiner leurs preuves de fraude massive par un juge – qui aurait été obligé de les constater et de rejeter des votes, et renverser des résultats.

Le Collège électoral et les États ont certifié cette semaine que Biden était le vainqueur. Les votes sont scellés jusqu’au 6 janvier, date où le Congrès, réuni sous la houlette du président du sénat, le vice-président Mile Pence, confirmera le décompte des voix du Collège électoral, et Biden prêtera serment le 20 janvier. A moins que Mike Pence entende les votes contestataires en faveur du président Trump exprimés par les grands électeurs de 7 Etats.

Les remarques de Chase révèlent qu’une partie des plus fervents partisans de Trump insistent sur le fait que l’élection a été volée. Un sondage national confirme que près de la moitié du peuple américain pense également que les élections ont été volées.

L’appel de Chase fait écho à un nombre croissant de voix à droite qui recommandent au président de déclarer la loi martiale, afin que l’armée conduise de nouvelles élections honnêtes, et respecte la vraie volonté du peuple. Ainsi l’avocat Lin Wood, ainsi le général Michael Flynn ou encore Roger Stone.

Qu’est-ce que la « loi martiale » ?

En bref, la loi martiale peut être imposée lorsque le régime civil échoue, étant temporairement remplacé par l’autorité militaire en temps de crise.

Bien que rares, il y a eu un certain nombre de cas notables aux États-Unis où la loi martiale est entrée en vigueur, notamment en temps de guerre, de catastrophe naturelle et de conflit civil – dont il n’y a pas eu pénurie en 2020.

La loi martiale peut être déclarée par le président et par le Congrès. Les fonctionnaires des États peuvent également déclarer la loi martiale, selon le Brennan Center for Justice (2), cependant, « leurs actions en vertu de la déclaration doivent respecter la Constitution des États-Unis et sont soumises à un examen par la cour fédérale ».

Tout au long de l’histoire des États-Unis, les fonctionnaires fédéraux et des États ont déclaré la loi martiale au moins 68 fois (1), selon Joseph Nunn, un expert du Brennan Center for Justice.

Les limites de la loi martiale
  • La loi du Posse Comitatus, adopté le 18 juin 1878, a empêché les troupes fédérales de superviser les élections des Etats confédérés pendant la Reconstruction.
  • Bien qu’initialement elle ne s’appliquait qu’à l’armée, elle a été modifiée pour inclure le département de la Défense et, bien sûr, les autres branches.
  • Une exception au Posse Comitatus, cependant, est l’Insurrection Act, qui autorise l’utilisation de troupes de service actif ou de la Garde nationale pour l’application de la loi fédérale dans les cas où « la rébellion contre l’autorité des États-Unis rend impossible l’application des lois des États-Unis par le cours normal des procédures judiciaires », selon le Commandement Nord des États-Unis (3).
C’est l’Insurrection Act, imbécile !

Si le président Trump décidait d’ordonner aux forces armées régulières des États-Unis de prendre le contrôle de villes qu’il pense être engagées dans une vaste fraude électorale, c’est pour faire appliquer la loi, pas pour la remplacer.

Et la façon dont cela peut se produire est par l’utilisation de la loi sur l’insurrection. Pour invoquer la loi sur l’insurrection, le président « doit d’abord publier une proclamation ordonnant aux insurgés de se disperser dans un délai limité, 10 U.S.C. § 334.4. Si la situation ne se résout pas d’elle-même, le président peut émettre un ordre exécutif pour envoyer des troupes », selon un rapport du Congressional Research Service de 2006 (4).

« L’une des choses importantes à retenir de la loi sur l’insurrection est qu’il ne s’agit pas de la loi martiale », a déclaré Bill Banks, un professeur de Syracuse spécialisé dans le droit constitutionnel et de sécurité nationale.

« Le but de l’utilisation des mécanismes de l’acte d’insurrection est d’appliquer la loi, pas de la remplacer ».

SOURCE  : Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

 

  1. https://www.brennancenter.org/our-work/research-reports/guide-declarations-martial-law-united-states
  2. https://www.brennancenter.org/our-work/research-reports/martial-law-united-states-its-meaning-its-history-and-why-president-cant
  3. https://www.northcom.mil/Newsroom/Fact-Sheets/Article-View/Article/563993/the-posse-comitatus-act/
  4. https://www.everycrsreport.com/files/20060814_RS22266_c6617a8c1fc8c51828f9ab4d4a42de8366358c24.pdf

 

 

PUBLIÉ PAR PIERRE REHOV LE 15 DÉCEMBRE 2020
Lundi, lors d’une apparition à l’émission « Lou Dobbs Tonight » de FBN, le député Mo Brooks (R-AL) a juré de ne pas se laisser abattre sans se battre, malgré le fait que les États aient certifié les résultats du Collège électoral plus tôt dans la journée, ce qui a ouvert la voie à Joe Biden pour devenir le « président élu ».

Brooks a parlé à l’animateur Lou Dobbs de ses efforts pour contester le Collège électoral, ce qui s’est produit aussi récemment qu’en 2017 après la victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle.

« Eh bien, cela s’est produit à de nombreuses reprises dans le passé », a déclaré M. Brooks. « Apparemment, certaines personnes n’ont pas appris leur histoire. A titre d’exemple, les démocrates de la Chambre ont essayé en 2017 lorsqu’ils ont tenté d’invalider les votes de l’Alabama pour Donald Trump. La Géorgie, de la même façon, les démocrates de la Chambre ont essayé de le faire. Barbara Boxer a essayé d’invalider l’Ohio pour George Bush en 2005, ce n’est donc pas inhabituel. La loi est très claire, la Chambre des représentants en combinaison avec le Sénat des États-Unis a l’autorité légale d’accepter ou de rejeter les soumissions de vote du Collège électoral des États qui ont des systèmes électoraux si défectueux qu’ils ne sont pas dignes de notre confiance ».

Et dans ce cas, avec ce qui s’est passé au niveau national, je suis tout à fait convaincu que si nous ne comptions que les votes légaux exprimés par les citoyens américains éligibles, Donald Trump a gagné le Collège électoral, et que nous ne devrions pas compter des votes illégaux et mettre en place un président des États-Unis illégitime », a-t-il poursuivi.

Le membre républicain du Congrès de l’Alabama s’est également engagé à ne pas faire partie de ce qu’il considère comme le « caucus de la reddition » avec le GOP, ajoutant qu’il a besoin qu’un sénateur américain se joigne à son défi au Collège électoral pour que celui-ci soit couronné de succès.

Eh bien, notre pays est avant tout une république, et le fondement d’une république est un système de vote honnête et précis. Et si vous n’avez pas un système de vote honnête et précis, alors vous pouvez tout aussi bien rejeter l’affirmation selon laquelle vous êtes une République. Vous avez perdu ce droit. Vous avez perdu le contrôle de votre gouvernement, et dans ces circonstances, ceux qui peuvent voler le plus de votes, qui peuvent se livrer à la plus grande fraude électorale et s’en tirer à bon compte vont être ceux qui dirigent le perchoir à Washington, D.C. Ce n’est pas ce que nos pères fondateurs voulaient. Ce n’est pas ce que voulaient les millions d’Américains qui ont perdu la vie dans des guerres, nous donnant cette République, cette démocratie où nous pourrions contrôler notre propre destin et notre propre destinée.

J’ai donc le choix, soit je reste assis et je me rends et je fais partie du caucus de la reddition, soit je me bats pour notre pays. Et c’est ce que je vais faire. Ainsi, le 6 janvier, je vais m’opposer aux propositions de vote du collège électoral de divers États qui, à mon avis, ont des systèmes électoraux tellement défectueux que leur décompte des voix est indigne de notre ratification au Congrès des États-Unis. Ce dont j’ai besoin, c’est d’un sénateur des États-Unis qui se joindra à moi. Si nous avons un membre de la Chambre des représentants et un sénateur, alors, bon sang, cela oblige à un vote de la Chambre et à un vote au sol sur l’acceptation ou le rejet de ce système électoral systématiquement défectueux. Je veux le rejeter afin que nous puissions avoir une élection honnête, juste et précise ».

https://www.breitbart.com/clips/2020/12/15/mo-brooks-trump-won-the-electoral-college-i-can-be-a-part-of-the-surrender-caucus-or-i-can-fight-for-our-country/

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Pierre Rehov pour Dreuz.info.

 

 

PUBLIÉ PAR MAGALI MARC LE 16 DÉCEMBRE 2020

L’équipe de Joe Biden, le Parti Démocrate, les médias de masse, les géants du Web, la Chine et d’autres étrangers se croient autorisés à affirmer que Joe Biden a remporté les élections. Joe Biden (toussant beaucoup et n’ayant pas l’air joyeux) a prononcé un discours de «victoire» plutôt colérique critiquant le fait que Donald Trump continue de contester le résultat des élections. Les Grands Électeurs républicains de la Pennsylvanie, de la Géorgie, du Michigan, du Wisconsin, de l’Arizona, du Nevada et du Nouveau-Mexique se sont mobilisés et ont enregistré leurs votes pour le Président Trump afin de préserver ses recours juridiques.

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article d’Andrea Widburg, paru sur le site d’American Thinker, 15 décembre.

******************

Les Grands Électeurs créent un événement historique

Il est assez facile de critiquer les Républicains. Souvent, ce sont des types qui préfèrent se montrer conciliants. Ils ne veulent pas faire de vagues. Ils cèdent. Ils négocient volontiers. Ils reculent. S’ils sont vraiment mauvais, ils deviennent des NeverTrumpers. Et parfois, ils nous surprennent.

Lundi (le 14 décembre), sept États, en plus de laisser voter leurs électeurs démocrates supposément victorieux, ont autorisé les électeurs républicains à voter afin de consigner officiellement leur appui au Président Trump.

C’était beau à voir.

Je suis sûre que d’autres écrivains décriront avec plus de talent ce qui s’est passé lundi, mais voici ce que j’en pense.

Lundi est le jour où les États ont désigné leurs électeurs afin qu’ils déterminent qui est élu président. À la fin de la journée, l’effrayant et confus Joe Biden avait obtenu 306 votes électoraux.

Les Démocrates sont en extase, croyant que maintenant la Maison Blanche leur est irrémédiablement livrée, destinée, que l’affaire est réglée.

Ce n’est pas le cas

En ce moment, la Cour suprême semble être une institution de lâches. Beaucoup pensent que la SCOTUS essaie de dire que, si les candidats démocrates au Sénat gagnent en Géorgie, donnant la Maison Blanche et le Congrès aux Démocrates, elle approuvera tout ce que les Démocrates voudront faire. De cette façon, les juges espèrent éviter que le nombre de juges à la Cour soit augmenté (NdT: le «court packing» promis par les Démocrates), ce qui aurait pour effet de diminuer leur prestige et leur cachet.

Mais ils pourraient avoir une surprise ?

En outre, de nouvelles preuves de fraude massive continuent d’apparaître. L’audit des machines d‘Antrim Dominion montre qu’elles ont été programmées pour la fraude et presque certainement utilisées comme prévu. Il existe également des déclarations sous serment signées sous peine de parjure par des témoins oculaires et des experts à travers l’Amérique, concernant la fraude et les indices de fraude.

Il y a la tristement célèbre vidéo de la Géorgie (et il se pourrait que d’autres vidéos voient le jour, (c’est en tout cas ce que j’espère).

Et bien sûr, il y a la redoutable Me Sidney Powell, qui dit avoir des preuves documentaires que des votes ont été envoyés à l’étranger et manipulés là-bas. Cela, dit-elle, pourrait déclencher l’application du Décret de 2018 du Président Trump, imposant des sanctions au cas où il y aurait la preuve d’une ingérence étrangère dans une élection. A l’époque, ce décret semblait être une réponse au canular de la soi disant collusion avec la Russie, mais M. Trump regardait peut-être vers l’avenir et non vers le passé.

Le directeur du renseignement national, John Ratcliffe, publiera son rapport le 18 décembre. S’il est vraiment prouvé qu’il y a eu une fraude massive ou une ingérence étrangère, les élections pourraient être annulées.

Afin de se préparer à ces éventualités – soit un courage des tribunaux, soit une fraude tellement massive que l’élection s’en trouverait annulée – sept États ont fait quelque chose d’inhabituel et de courageux.

La Pennsylvanie, la Géorgie, le Michigan, le Wisconsin, l’Arizona, le Nevada et le Nouveau-Mexique ont tous sélectionné deux listes électorales : Une liste accepte une victoire démocrate, mais l’autre liste prévoit un retournement de situation, que ce soit sur le plan judiciaire ou en raison de preuves tellement accablantes de fraude ou d’ingérence étrangère que la «victoire» de Joe Biden se changera en défaite.

Dans le Michigan, il y a même eu un drame supplémentaire. La police d’État (NdT: sur ordre de la Gouverneure, la Démocrate Gretchen Whitmer) a tenté d’empêcher les électeurs républicains d’entrer dans le Capitole de l’État du Michigan, mais ces efforts ont été déjoués.

Selon Reuters*, si les États sélectionnent des listes électorales différentes, la Chambre et le Sénat peuvent simplement ignorer l’une de ces listes.

Cependant, si la Chambre et le Sénat choisissent des listes différentes de celles des États, on ne sait pas ce qui se passe ensuite, d’autant plus que la loi sur le décompte des voix (qui ne peut pas l’emporter sur la Constitution) est confuse :

Les universitaires ont esquissé plusieurs scénarios. Selon l’un d’eux, le vice Président Mike Pence, en tant que président du Sénat, pourrait rejeter les deux listes électorales d’un État. Un autre scénario envisage que la Chambre des Représentants finisse par choisir entre Biden et Trump. [Ce scénario donnerait une voix à chaque État et, puisque les Républicains ont plus d’États à majorité républicaine, le président Trump serait probablement le vainqueur]. Il existe même un scénario selon lequel la présidente de la Chambre, la Démocrate, Nancy Pelosi, pourrait devenir présidente par intérim. (pris sur le site de Gateway Pundit **)


Sir Austen Chamberlain, s’exprimant à Birmingham, a cité une vieille malédiction chinoise dont l’existence est incertaine. Chinoise ou pas, elle semble pertinente pour l’élection à laquelle nous sommes confrontés : « Puissiez-vous vivre une époque intéressante. » Espérons que tout le poids de la malédiction retombe sur les tricheurs, et non sur ceux qui ont été floués.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Sources :

TrumpBiden

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