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14 mars 2021

L'inflammation est le mal du siècle

 

 

inflamation
a) En décembre 2019, le monde entier ignorait la circulation d'un terrible virus amené à se propager sur la planète, occasionnant bientôt trois millions de décès, avec un désordre mondial que l'on n'a pas connu depuis 1945. C'est en décembre 2019 que fut publié dans Nature medecine un article passé inaperçu comme la plupart et pourtant s'avérant prémonitoire, alertant non pas sur le virus mais sur un mal du siècle qui ne peut plus être passé sous silence depuis la crise sanitaire du Covid en 2020. Lors des deux dernières décennies, la médecine a fait une découverte ou disons un constat devenu d'une grande importance car il concerne les enjeux de santé publique. Le système immunitaire et les réponses inflammatoires ne sont pas seulement impliqués dans quelques pathologies bien identifiés ; leur dysfonctionnement est constaté pour un nombre conséquent de désordres pathologiques. La liste est étendue, y figurent des maladies cardio-vasculaire chroniques, cardiopathies, ischémies, athérosclérose, pouvant s'amplifier et occasionner des accidents, infarctus, AVC, le diabète de type II, des pathologies rénales, des désordres métaboliques, souvent constatés chez les sujet en surpoids, les pathologies dégénératives, neuronales ou autres, les polyarthrites, ainsi d'autres syndromes causés par une auto-immunité excessive, et last but no least, des maladies chroniques causées par une infection virale mal résolue. Au final, les pathologies associées à une inflammation déficiente et chronique occasionnent plus de la moitié des décès selon les auteurs de cette étude (Furman, 2019). Les revues sur les pathologies inflammatoires se comptent en centaines.

L'inflammation est un procédé physiologique conservé par l'évolution, permettant de protéger l'organisme contre des agents infectieux, bactéries, parasites, virus, des toxines, des stress de natures diverses, coupures. Ce procédé possède un tropisme, il est localisé sur un tissu, un organe ou alors il est systémique. Lorsque le tropisme est ciblé sur un organe, le syndrome devient typique, par exemple une fatigue chronique en cas de neuro-inflammation, ou alors dans les dermatoses avec des altérations observées sur la peau. Les cliniciens distinguent parfaitement les deux types d'inflammation, aiguë, violente et rapide lorsqu'une perturbation exogène affecte l'organisme, ou chronique, de basse intensité, lorsque des facteurs endogènes stimulent durablement les mécanismes activant une réponse inflammatoire qui le plus souvent, est de basse intensité. Une infection virale ou bactérienne produit une violente inflammation, causant douleurs, fatigue, fièvre, puis se résorbant aussi vite qu'elle est apparue, avec des signaux moléculaires constatés dans les analyses sanguines. Taux de CRP, ferritine, cytokines.

Pour faire simple, l'inflammation est en quelque sorte le bras armé de l'immunité. 
Elle permet l'élimination des cellules devenues étrangères ou hostiles à l'organisme, des cellules pouvant être infectées par un virus ou tout simplement être dégradées et dysfonctionnelles, abimées. En amont, le système immunitaire dispose d'une batterie de détecteurs permettant de signaler une anomalie dont l'interprétation par le système immunitaire conduira au déclenchement des réponses inflammatoires et immunitaires, avec les cellules tueuses et les signaux cytokiniques. Lorsqu'un virus infecte un hôte, avec par exemple un ADN simple brin, celui-ci est reconnu par une molécule détectrice spécifique pouvant activer un système relais. Lorsqu'un virus à ARN infecte une cellule (grippe, corona...) la phase de réplication passe par un ARN double brin, lui aussi détecté par un récepteur couplé lui aussi à un système d'activation. La séquence est simple dans son principe. Après détection d'une anomalie et interprétation, une série de signaux cytokiniques sont activés, incluant les interférons dont l'effet est de simuler l'expression de dizaines, voire centaines de gènes. En cascade, les cellules responsables de l'inflammation sont mobilisées. Les deux schémas antiviraux ci-dessous explicitent quelques mécanismes de la réponse innée intervenant en amont de la réponse acquise au cours de laquelle des cellules T et B se divisent pour relayer la réponse immunitaire et inflammatoire et générer une mémoire.
Anomalie → détection, interprétation → cytokines → réponse inflammatoire

ADN → GAS → STING → Interféron-I → Cytokines, NF-kB → Cells

ARNds → TLR3 → TRIF → Interféron-γ → Cytokines→ Th1, macrophages
L'inflammation est donc une composante essentielle du système immunitaire dont le rôle est de maintenir l'organisme en état de fonctionner, en corrigeant s'il y a lieu toute anomalie pouvant être détectée par les dispositifs adéquats que sont les récepteurs intracellulaires capables de détecter une intrusion virale ou alors les récepteurs membranaires des cellules compétentes, T et B activées dès qu'elles constatent des anomalies à la surface des membranes cellulaires dans les tissus et organes. L'immunité n'est pas réservée aux seules infections. Elle prend en charge des dommages consécutifs à une plaie ou une brulure amenées à cicatriser. L'immunité détecte alors les cellules endommagées et déclenche un processus d'élimination. Elle intervient aussi pour éliminer les cellules mortes après une réponse face à une infection, en détectant les déterminants antigéniques liée aux dommages (DAMPs) après avoir détecté les antigènes des agents pathogènes (PAMPs). Il n'y a en réalité qu'une seule immunité organisée avec le doublet surveillance immunitaire et réponse inflammatoire. Cette immunité se décline alors en plusieurs voies selon le type de dommages, le type de détection, l'interprétation et l'intensité requise avec une dynamique ajustée à la progression de l'infection s'il y a lieu.

b) L'immunité est permanente, l'inflammation aussi et du reste, un seuil acceptable d'inflammation est le signe d'un bon état de santé. On peut même concevoir une inflammation asymptomatique. L'inflammation devient pathologique et chronique lorsqu'elle atteint un seuil suffisant pour produire des syndromes chez le sujet. Elle est alors le signe d'une défaillance physiologique qui le plus souvent, passe au travers des analyses, bien que quelques signes aient été observés, par exemple un taux de CRP significatif dans quelques pathologies auto-inflammatoires. Le Covid-long entre dans ce cas de figure. Il échappe aux investigations cliniques. Les imageries cérébrales n'ont pas montré de lésions et signes particuliers. Les cliniciens de l'hôpital de la Timone ont cependant effectué des mesures par tomographie visant à mesurer la consommation de glucose et cette fois, le Covid-long a montré sa signature sous forme d'un désordre métabolique. Ce qui confirme la présence d'une inflammation qui souvent, cause des désordres dans le métabolisme mitochondrial (Guedj, 2021). Et pour le Covid-long, ce désordre se situe au niveau cérébral, ce qui est cohérent avec la fatigue chronique des patients. La cause de cette inflammation reste inconnue bien que la piste auto-immunitaire puisse être envisagée.

L'auto-immunité consécutive à une infection serait causée par des anticorps possédant des épitopes immunogènes, ou alors des cellules B et T circulantes et identifiées comme immunogènes par le système immunitaire. La science ignore pourquoi et comment ces processus émergent lorsqu'un organisme se met à diriger ses mécanismes inflammatoires contre ses propres composants. Nous pouvons juste constater une immunodéficience caractérisant le système immunitaire dit adaptatif puisque cette déficience devient chronique et durable. Les données cliniques obtenues sur les infections virales et leurs conséquences dévoilent les deux types de déficiences immunitaires lors de la réponse à l'infection puis longtemps après, lorsqu'une auto-inflammation de bas niveau devient la cause de symptômes gênant ou alors invalidants. C'est le cas pour une infection aigüe comme la mononucléose causée par l'herpès mais aussi pour les infections causées par le SARS-CoV-2.

La pandémie de Covid a placé l'auto-inflammation sous les projecteurs des sciences biologiques avec deux constats. D'abord l'inflammation pré-Covid qui paraît maintenant déterminante dans l'étiologie des formes graves, affectant les sujets présentant des déficiences auto-inflammatoire. Puis l'inflammation post-Covid, causée par une auto-immunité consécutive à la réponse antivirale. 
L'inflammation chronique se dessine résolument comme le mal du siècle. 
Elle passe parfois sous les radars des analyses car elle n'a pas une signature cytokinique marquante bien qu'elle soit symptomatique. En revanche, lors d'une inflammation aiguë, les marqueurs explosent dans les analyses et la signature cytokinique est accentuée. Si l'on compare la réponse inflammatoire à une arme biologique, bras armé de l'immunité, utilisée par l'organisme, alors la signature cytokinique représente un langage moléculaire adressé à l'armée des cellules inflammatoire pour mener la guerre immunitaire contre les anomalies et les invasions infectieuses ou toxiques. Ce langage est très élaboré car la réponse doit être adaptée à la complexité de chaque situation. C'est beaucoup complexe qu'un signal hormonal ordinaire comme peut l'être l'adrénaline. Une seule molécule peut activer diverses fonctions, métaboliques, cardiaques, vasculaires, neuronale, pour augmenter la puissance mécanique d'un organisme, puissance nécessaire à la survie, lorsqu'il faut fuir un prédateur notamment.

Les investigations sur les biomarqueurs et la signature cytokinique n'ont pas donné des résultats convaincants. Tout au plus quelques marqueurs ont été trouvés fréquemment. La protéine C réactive, un classique pour ainsi dire, avec l'IL-6, Il-1β et le TNF-α. Le processus inflammatoire est bien plus complexe et requiert un effort scientifique conséquent (Furman, 2019)

c) Les sciences médicales et l'immunologie fondamentale devront relever ce défi que représente l'étude des processus immunitaires avec un regard appuyé sur les réponses physiologiques après une infection, ainsi que l'étiologie et l'impact de l'inflammation chronique systémique (SCI). La pandémie de Covid n'a fait que renforcer la nécessité de relever ces défis. Ce défi s'organise autour de trois pôles, (i) comprendre les réactions inflammatoires après une exposition à un agent infectieux, ces réponses étant le plus souvent locales, y compris pour le Covid aggravé qui n'est pas en règle générale causé par un orage cytokinique systémique mais une hyper-inflammation au niveau pulmonaire. (ii) comprendre les facteurs et l'étiologie de l'inflammation systémique chronique dont on sait qu'elle est à la fois un facteur de mauvaise santé et de morbidité accrue et un terrain miné favorisant les déficiences immunitaires face aux agents infectieux. Ce fait ayant largement été constaté et trop peu commenté depuis la pandémie de Covid. (iii) Inversement, un agent infectieux peut conduire vers un état inflammatoire pathologique et durable. Ces faits ont été observés lors d'infections diverses et constatés pour une partie non négligeable des patients infectés par le SARS-CoV-2, même ceux qui ont été affectés par une forme bégnine ou asymptomatique.

Bien que l'inflammation chronique puisse recéler de nombreuses zones d'ombres moléculaires, son étiologie est accessible avec les observations par les cliniciens. Les facteurs favorisant ou réduisant ce syndrome sont connus. Voici quelques indications extraites de cette revue sur le SCI (Furman). Ces notes n'incluent pas les déterminants génétiques pouvant influer sur l'étiologie de cette pathologie.

1 Le grand âge. La sénescence cellulaire produit des composants immunogènes susceptibles de déclencher des détections auto-immunes et donc de produire un état inflammatoire à bas bruit, ce qui fragilise les personnes âgées mais cela, nous le savions depuis des lustres

2 L'alimentation. Les mauvaises habitudes alimentaires favorisent un état inflammatoire. Sont mis en cause les aliments transformés par l'industrie, l'alcool et toutes ces substances introduites pour altérer le goût, édulcorants, émulsifiants. N'oublions pas que l'inflammation peut aussi être déclenchée par des molécules dont la toxicité est plus ou moins avérée, appartenant à la grande famille des xénobiotiques. En revanche, une alimentation saine réduit les risques inflammatoires

3 La dysbiose. L'altération du microbiote modifie la perméabilité de la barrière intestinale. Plusieurs facteurs influencent le microbiote, parfois une infection mais aussi et surtout une alimentation non appropriée (comme cela est signalé dans le point 2)

4 Sédentarité ou exercice. Le mode de vie sédentaire est connu pour favoriser les états pathologiques chroniques et notamment le SCI. En revanche, les sujets pratiquant un exercice physique régulier, sans pour autant être sportifs, sont protégés de cette pathologie. Les scientifiques l'expliquent après avoir noté que le muscle squelettique est aussi un organe endocrine produisant des cytokines et des myokines circulant dans le sang et dont l'effet est de réduire l'inflammation systémique.

5 Hygiène de vie. Des facteurs environnementaux et sociaux sont aussi suspectés de favoriser l'inflammation chronique. Les polluants atmosphériques sont sur les radars mais aussi d'autres critères comme le mode de vie urbain avec le stress accumulé et le sommeil fortement perturbé. Ce mode de vie moderne est foncièrement différent de la vie à l'ancienne avec le sommeil calé sur les rythmes diurnes. L'homme urbain a perdu le lien avec ses horloges biologiques et le problème ne se résume pas à la qualité du sommeil. La nutrition est aussi impactée à la fois dans la qualité des aliments que le rythme des repas. Nombre de nutritionnistes en sont encore à recommander expressément un copieux déjeuner le matin avant de partir à l'école ou au travail. Si bien que beaucoup mangent le matin des céréales et autres tartines nutéllisées alors qu'ils n'ont pas faim. En fait, deux repas quotidiens suffisent. De plus, le grignotage à toute heure participe aux mauvaises habitudes nutritionnelles. Le foie n'a plus le temps pour se reposer.

En conclusion, s'il n'y a pas de solution miracle pour se doter d'une immunité robuste et fonctionnelles, pas plus la vitamine D que le régime idéal, en revanche, on connaît un nombre certain de facteurs pouvant altérer l'immunité et causer des pathologies inflammatoires le plus souvent indétectables dans les analyses. On ne peut qu'être consterné par les mesures sanitaires d'enfermement des populations. Pour freiner une épidémie, les autorités causent un problème de santé publique collatéral et massif.

d) L'étude des défaillances et déficiences immunitaires est d'un grand intérêt, que ce soit pour comprendre l'étiologie des états de santés dégradés que pour expliquer le développement de formes graves après une infection virale. Les défauts de l'immunité causent des dizaines de maladie, certaines ayant une signature cytokinique et cellulaire. Des cliniciens ont sauté sur l'occasion du Covid-19 pour publier une revue faisant le point sur le syndrome d'activation des macrophages (MAS) accompagnée d'un désordre cytokinique et observé dans deux pathologies chroniques caractérisées comme systémique, l'arthrite juvénile idiopathique désignée aussi comme maladie de Still et cette même maladie affectant des adultes, aussi rare qu'elle est invalidante. Chez ces patients, le taux de ferritine est élevé, signe d'un désordre inflammatoire conséquent, avec des douleurs et une fièvre importante. Les patients gravement touchés par le Covid-19 présentent aussi une signature hyperinflammatoire si bien que le syndrome d'activation des macrophages a été pressenti comme une possible signature du Covid aggravé tout en précisant que ce caractère impose des investigations supplémentaires (McGonagle, 2021)

En fait, aucune pathologie inflammatoire ne ressemble à une autre. Si tel était le cas, il n'y aurait que quelques maladies or il en existe des dizaines, voire des centaines, ce qui conduit l'un des auteurs de l'article mentionné, McGonagle, à proposer un schéma de classification des maladies liées au système immunitaire et/ou inflammatoire, en distinguant d'une part l'immunité inné et l'immunité acquise et en différenciant d'autre part l'auto-immunité de l'auto-inflammation. Le syndrome MAS aurait deux causes, ou bien une perte de fonction dans l'immunité innée, ou bien un gain de fonction dans l'immunité acquise liée aux cellules B + T et plus précisément, aux antigènes détectés par le complexe d'histocompatibilité de classe II (McGonagle). On comprend pourquoi ce genre de travaux concerne de près l'étude du Covid dont l'étiologie passe par ces hypothétiques pertes ou gains de fonction dans les deux classes d'immunité. Tout en notant que l'immunité innée est plus robuste chez les jeunes alors que l'immunité acquise, responsable des formes graves chez les seniors, est plus développée avec l'âge. Étant plus développée, un gain de fonction du système immuno-inflammatoire peut engendrer les désordres constatés pour le Covid et localisés dans les tissus pulmonaires avant de devenir chez certains un désordre systémique. En revanche, les quelques cas de Covid avancé observés chez les très jeunes enfants semblent relever d'une autre étiologie, apparentée à celle de l'arthrite juvénile et sans doute liée à une perte de fonction de l'immunité innée. Ce Covid atteignant de jeunes enfants a également été comparé à la maladie de Kawasaki, elle aussi d'origine inflammatoire. Enfin, des cas de syndrome inflammatoire multisystémique (MIS) ont été observés aux États-Unis ces dernières semaines que l'on ne sache s'il existe un lien avec l'épidémie de coronavirus.

Au final, le SARS-CoV-2 produit un spectre étiologique conduisant à un spectre clinique étendu, autrement dit, il n'y a pas un mais des Covid-19. Ce spectre s'explique par la diversité des réponses immunitaires et inflammatoires, à la fois dans les formes infectieuses se développant après avoir contracté le virus et les formes post-infectieuses causées par une auto-immunité sans que l'on sache exactement quelle en est la cause, sans doute des clones réactifs. Le spectre élargi du Covid reflète le spectre encore plus diversifié des maladies dont l'étiologie se place sur une échelle compliquée avec une prédominance auto-immune ou bien auto-inflammatoire, conformément à la classification proposée par McGonagle. Des investigations supplémentaires sont nécessaires pour clarifier ce spectre étiologique et clinique provoqué par le SARS-CoV-2, un virus au triple tropisme, voire plus.

L'inflammation combinée à l'immunité devrait être déclarée cause de santé publique majeure et doit être étudiée en utilisant non seulement les technologies d'analyses mais aussi les modèles théoriques qui semble-t-il, ne sont pas encore à la hauteur de l'enjeu scientifique et le défi que représente la compréhension de ces phénomènes en mobilisant les théories des systèmes ou en les inventant. Notamment la biologie sémantique.

Références:

Furman, D., Campisi, J., Verdin, E. et al. ; Chronic inflammation in the etiology of disease across the life span ; Nat Med 25, 1822-1832 (2019). https://doi.org/10.1038/s41591-019-0675-0

Guedj, E., Campion, J.Y., Dudouet, P. et al. ; 18F-FDG brain PET hypometabolism in patients with long COVID ; Eur J Nucl Med Mol Imaging (2021). https://doi.org/10.1007/s00259-021-05215-4

McGonagle, D., Ramanan, A.V. & Bridgewood, C. Immune cartography of macrophage activation syndrome in the COVID-19 era. Nat Rev Rheumatol 17, 145-157 (2021). https://doi.org/10.1038/s41584-020-00571-1
Articles Liés

 

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Les assureurs crachent le morceau :
le vaccin anticovid est expérimental

 

Publié le 12 mars 2021 - par  
Traduire la page en : 

La vérité sort de la bouche des assureurs [1] : le vaccin est expérimental

 Expérience biomédicale, cas d’exclusion 

En cas de décès dû au vaccin, comment réagira votre compagnie d’assurances ?

Il vient d’apparaître, dans les échanges entre tweetos, une vérité bien concrète : si vous avez un capital décès sur une assurance-vie, le capital ne sera pas viré à votre bénéficiaire si vous décédez par suite d’un « vaccin » thérapie génique ou même classique, mais en cours d’expérimentation. Il semble que ce soit comparable au décès en cas de suicide.

Apparemment certaines assurances (au moins car toutes n’ont pas encore répondu) [2] considèrent que vous avez participé volontairement à une expérimentation. Ce qui est vrai, consciemment ou non, en fonction de ce que vous aurez accepté d’apprendre et de lire ou écouter sur ces médicaments en cours de tests et mis curieusement sur le marché avant que la phase 3 pré-commercialisation théorique ne soit terminée.

 Quelques autres témoignages : « mon père a appelé son assurance, on lui a clairement dit : “Monsieur, si vous faites le choix de vous porter volontaire, nous ne prendrons rien en charge. Personne n’a de recul sur ce vaccin, nous sommes désolés”. Voilà la réponse claire de son assureur de + de 20 ans. C’est limpide.  L’assurance ne fonctionnerait pas apparemment car ledit “vaccin” est considéré comme expérimental. Tenez-le-vous pour dit. ! » (discussion sur Twitter à la suite du post ci-dessus. « On a juste des réponses faites à des assurés par des assurances confirmant qu’en cas de problème pas de paiement car on est dans une expérience biomédicale, cas d’exclusion ».

L’indemnisation revient à l’État qui a dégagé firmes et professionnels de toute responsabilité médicolégale

D’autres témoignent de la logique de la réponse des assurances : l’AMM conditionnelle à durée déterminée en principe courte a été donnée en même temps que l’État a protégé les laboratoires de toutes poursuites en cas d’ennuis et secondairement a accordé le même privilège aux médecins et autres personnels qui injecteront le fameux vaccin. À la source de cette ARNaque, Pfizer a reçu des milliards de $ de la Grande-Bretagne, des USA et Israël, une avance pour trouver un vaccin. « Pfizer a accepté, mais décline toute responsabilité. très vite ils adaptent le mARN, destiné aux vaches. nos chefs jubilent, achètent, sans aucune garantie. C’est fou ! » précise un autre twittos.

Et maintenant, bien que l’épidémie soit en voie de disparition, il faut bien les vendre très vite dont l’invraisemblable folie promotionnelle y compris via le ministre alors que les médicaments remboursés par la Sécurité sociale sont interdits de publicité. Mais Véran a tous les droits et les maires suivent BFM TV [3] mais eux ne seront pas protégés des tribunaux.

Incroyable mais vrai, alors que des professionnels sont poursuivis pour des erreurs médicales potentielles ou un résultat insuffisant, vous êtes ici dispensé de toute responsabilité sans vérification que le minimum vital a été fait. L’interrogatoire sur les antécédents familiaux, personnels sur votre état actuel etc. ne sera probablement pas réalisé dans l’officine entre la vente de deux médicaments et de toute façon ce n’est pas le métier du pharmacien. Le Français a-t-il perdu tout son bon sens ?

 Démontrer la responsabilité du vaccin, un parcours du combattant [4]

Le cobaye se rassure en pensant qu’en cas d’accident, voire de décès, il pourra comme prévu se retourner vers l’ONDIAM, l’organisme de solidarité qui assurera les indemnisations (avec vos impôts). Mais bien sûr il vous faudra (ou à vos héritiers) établir le lien de cause à effet entre la piqûre et l’accident ou le décès. Si la mort est survenue dans les quelques heures suivant l’injection, ils y arriveront peut-être mais si le délai est plus long, ce sera un parcours du combattant. 20 ans minimum.

Certains déjà attendent depuis 10 ans pour être dédommagés dans le cadre de la vaccination contre le H1N1 et de la lourde complication qu’est la narcolepsie (phase d’endormissement brutal et incontrôlable des sujets atteints rendant toute vie normale impossible et sans traitement connu), plus de 800 personnes en France dont la vie est fichue pour une soi-disant pandémie terrible qui n’a touché que quelques centaines de personnes en France. Merci Mme Bachelot et sa visite des réas sous l’œil des caméras.

Et pourtant les assureurs ont raison :  les vaccins sont expérimentaux 

Les médias qui suivent l’AFP mentent avec elle.

l’AFP prétend que l’utilisation actuelle des vaccins anti covid-19 ne serait pas expérimentale et qu’elle serait conforme au code de Nuremberg. Ces deux affirmations sont mensongères !

Les vaccins anticovid-19 actuels sont tous expérimentaux

Un traitement est expérimental tant que les essais phase trois n’ont pas été terminés, analysés, publiés et validés par les agences sanitaires et des médecins indépendants des firmes pharmaceutiques.

Actuellement aucun des vaccins anticovid-19 mis sur le marché ne satisfait à ces exigences de sécurité et ils sont donc expérimentaux.

Le plus avancé, celui de Pfizer, aura son essai phase 3 [5] terminé dans deux ans, en 2023, d’après le site gouvernemental américain qui enregistre tous les essais sur l’homme (clinical trials.gov à https://clinicaltrials.gov/ct2/home).

Ces vaccins expérimentaux ont été mis sur le marché avec une autorisation temporaire dite conditionnelle qui ne deviendra définitive qu’après l’examen par les agences des résultats définitifs des résultats des essais phase 3.

L’utilisation d’un médicament expérimental constitue une expérience biomédicale, même si elle est autorisée par les agences du médicament

Les essais thérapeutiques sont très encadrés : les promoteurs expliquent que le malade sera beaucoup plus surveillé que s’il prend un traitement classique. Ce qui est vrai et les cancéreux inclus dans les essais vous raconteront leur IRM ou/et Petscan mensuel (au lieu de trimestriel par exemple). Et les promoteurs contractent des assurances pour les volontaires cobayes sains ou malades consentants, pour les dédommager en cas d’accident.

ESSAI SAUVAGE SANS LES GARDE-FOUS HABITUELS DES ESSAIS CLASSIQUES

La différence avec les essais habituels est que la vaccination à grande échelle du vaccin anticovid qui se déroule actuellement n’offre pas les précautions normalement prises en cas d’essai validé par les comités de protection des personnes.

D’où la confusion entre expérimentation et prescription normale, ce que pensent beaucoup de naïfs puisque le médicament est autorisé et remboursé.

Les vaccinés ne sont pas enregistrés comme faisant partie d’un essai et ne bénéficient pas d’une surveillance médicale renforcée comme cela est obligatoire dans les essais cliniques officiels. Leurs complications ne sont donc pas recensées de manière systématique et les résultats de cette vaccination ne sont pas évalués, ni publiés obligatoirement contrairement aux essais traditionnels. Les sources de recensement des effets secondaires se font sur la base du volontariat par envoi d’information aux sites des agences du médicament comme l’EMA en Europe. Mais en conséquence elles ne peuvent assurer l’exhaustivité des évènements indésirables ni leur précision dans la description médicale et donc la mise en cause des résultats.

Vaccin expérimental sans l’urgence qui le justifierait.

Il est certes admis par la Convention d’Helsinki [6] [7],  que faute d’interventions avérées, le médecin peut recourir à une intervention non avérée si, selon son appréciation professionnelle, elle offre une chance de sauver la vie – dans tous les cas, le consentement éclairé du patient est indispensable – ou préserver la santé du patient. Les nouvelles informations doivent être enregistrées et, le cas échéant, rendues publiques.

Or il existe des traitements curatifs en début de maladie manifestement efficaces et reconnus dans les parties du monde un peu plus indépendantes de Big Pharma mais niés en France contre toute évidence, car pour obtenir l’AMM conditionnelle pour nos fameux vaccins, aucun traitement curateur ne doit être reconnu par les autorités de l’État.  Ne rappelons pas la saga chloroquine qui se répète avec la saga ivermectine (entre autres).

Pas de débat démocratique sur les bénéfices risques des vaccins versus traitements précoces

Les informations concernant les vaccins sont sévèrement censurées en France [8],[9] et leurs complications ne sont découvertes que si les médias indépendants les révèlent. C’est uniquement par les journaux que l’on a appris la mort, après vaccination, de nombreux pensionnaires d’Ehpad en France et à l’étranger. Pour tenter d’en savoir plus, beaucoup d’entre nous tentent d’explorer les bases de données officielles, mais c’est un parcours du combattant (décès classés par maladie, par tranche d’âges, etc.) [10] et ne tient compte, comme on l’a vu, que des cas déclarés volontairement. Les vaccinés hors essai calibré, surveillé sont « bénévoles » et non soumis à surveillance stricte.

Un vaccin expérimental injecté sans consentement éclairé reprend l’attitude de certains médecins nazis

Xavier Bioy, professeur d’Université à Toulouse-1 s’insurge à l’AFP de cette comparaison. “C’est très fort : on compare des scientifiques avec des médecins nazis qui mettaient de l’acide dans les plaies des pauvres détenus qui se faisaient torturer dans les camps”.

Il a manifestement oublié que les médecins nazis, eux aussi scientifiques, ont pratiqué de très nombreux essais sur les vaccins :

– vaccination contre le paludisme (février 1942 à avril 1945 à Dachau : 1 100 cobayes humains et nombre inconnu de victimes),

– vaccination contre le typhus par Eugen Haagen au camp de Natzweiler,

– vaccins contre le typhus exanthématique, le paludisme, la fièvre jaune (485 cobayes humains), la gangrène gazeuse (15 victimes), la dysenterie, l’hépatite, la tuberculose menées par Erwin Ding-Schuler et Waldemar Hoven au camp de Buchenwald.

Comment un universitaire spécialiste de l’éthique peut-il avoir oublié ces faits historiques qui ont précisément conduit à l’élaboration du code de Nuremberg ?

En 1947, les médecins nazis plaidaient pour leur défense : « dans un État totalitaire en temps de guerre, il n’y a pas de responsabilité personnelle ; c’est la nécessité de l’État qui se substitue à la volonté individuelle, et il n’y a pas de consentement qui vaille : ni des médecins expérimentateurs, ni des sujets ; dans ces circonstances, l’intérêt de la science au service de la défense de la Nation prime sur celui de l’individu. »

Mais l’absence de consentement éclairé des vaccinés a valu à ces scientifiques nazis la condamnation à mort ou emprisonnement.

Depuis mars 2020, nous sommes, paraît-il, en état de guerre selon le chef de l’État, dans un État de plus en plus totalitaire et la défense des médecins vaccinateurs sans consentement éclairé du citoyen n’est pas plus recevable aujourd’hui qu’hier.

Dans les Ehpad, le consentement n’est pas toujours libre et éclairé

Or, dans les Ehpad, le consentement éclairé n’est manifestement pas la règle absolue, d’autant que se précise le chantage d’autorisation de sortie liée à la vaccination totalement incompatible avec un consentement libre que définit ainsi la déclaration d’Helsinki :

« Pour être valide, votre consentement doit être libre et éclairé. Il doit donc être obtenu sans aucune forme de pression ou de menace. Cela signifie également que vous avez reçu toute l’information nécessaire pour prendre vos décisions et qu’il vous a été possible de poser vos questions avant que les soins soient prodigués. Les renseignements doivent vous être fournis dans un langage simple et compréhensible. »

Et encore : « lorsqu’il sollicite le consentement éclairé d’une personne pour sa participation à une recherche, le médecin doit être particulièrement attentif lorsque cette dernière est dans une relation de dépendance avec lui ou pourrait donner son consentement sous la contrainte. »

 Et certains réclament une obligation vaccinale en commençant par les soignants !

Les soignants sont globalement mieux informés que la population.

Ils ont appris avec inquiétude les effets secondaires éprouvés par leurs collègues des hôpitaux bretons qui ont eu le douteux privilège d’être les premiers vaccinés et dont 25 % à 40 % ont été contraints d’arrêter de travailler avec retenue de salaire car une journée de carence leur a été prélevée sur leur salaire et suppression de la prime. Ils ont par ailleurs appris que le Premier ministre australien avait été hospitalisé dans un état grave le lendemain de sa vaccination par AstraZeneca. L’utilisation de ce dernier vient d’ailleurs d’être suspendu dans neuf pays d’Europe.

Ils ont aussi  eu connaissance des résultats paradoxaux des pays champions de la vaccination qui d’après les courbes de l’OMS ont partout subi de fortes augmentations (parfois transitoires) des contaminations (incidence journalière multipliée par 2 à 4) et de la mortalité.

 Leur préjugé favorable à la vaccination s’est ainsi transformé, pour plus de 60 % d’entre eux, en refus éclairé d’un vaccin expérimental. Mais les médias se démènent pour cacher cet énorme fiasco et l’opposition à cette politique totalitaire de nombreux Israéliens. Les personnels de santé ayant refusé la vaccination et licenciés autoritairement ne font pas la une de l’actualité, pas plus que le paradoxe du faible nombre de cas covid en Palestine non vaccinée contiguë. Question taboue !

Autre exemple : aux Émirats arabes unis, la campagne de vaccination a été suivie d’un accroissement considérable de la mortalité.

Le covid-19, prétexte de lois sociales régressives, ne doit pas nous faire oublier les leçons d’éthique de la dernière guerre mondiale et vouloir par peur imposer une vaccination et se comporter comme certains médecins nazis. 

Oui la comparaison est juste avec la médecine nazie, et Alain Jocaerd, Xavier Bioy et l’AFP se sont trompés ou ont menti !

Le vaccin anticovid, quelle que soit la marque, est expérimental. Vous serez un cobaye consentant non couvert par vos assurances pour le capital décès.  En France tant que la Sécurité sociale ne sera pas complètement démantelée, vous serez soigné.  Aux USA, des compagnies d’assurance refusent d’indemniser les soins.

Un médicament comme les autres ?

 

Nicole Delepine-806

Nicole Delépine

Ancien Interne et ancien Chef de Clinique des Hôpitaux, elle s’est successivement spécialisée en pédiatrie puis en cancérologie. Elle est l’auteur d’une centaine d’articles originaux et a présenté de nombreuses communications dans les congrès internationaux. Les résultats de ses travaux ont été confirmés à l’étranger et inspirent des protocoles thérapeutiques internationaux. La réputation internationale de son équipe médicochirurgicale associant la chimiothérapie de pointe individualisée et la chirurgie conservatrice mise au point et développée par le Dr Gérard Delépine depuis les années 80 est considérable dans le domaine des tumeurs des os et des parties molles. Cette renommée internationale a permis à cette petite équipe créatrice et indépendante de résister au long des décennies aux représentants de la pensée unique et de la médecine purement normative qui ont tenté de la faire disparaitre à plusieurs reprises. Ce n’est que grâce à l’action des associations de parents, des interventions répétées des élus de la région parisienne et autres, des reportages multiples de journalistes, du soutien de nombreux médecins français et étrangers que cette équipe a pu résister à ses détracteurs. Elle publie régulièrement des tribunes dans différents médias. Elle a publié quatre livres chez Michalon : Neuf petits lits au fond du couloir 2000 Ma liberté de soigner 2006 La face cachée des médicaments 2011 Le cancer un fléau qui rapporte 2013

[1] Patrick Schmitt Spinosi twitter 10 mars

[2] déjà une compagnie suisse et des compagnies américaines

[3] Carlo Brusa a déposé une plainte contre BFM TV pour publicité interdite par la loi ;  voir son site reaction19fr

[4] Penser aux victimes du médiator, de la Dépakine, du vaccin H1N1 et bien d’autres. TERRIBLE, LA MÉMOIRE COURTE !

[5] Les candidats vaccins qui semblent suffisamment efficaces après les essais animaliers et les essais humains phase1 et 2 poursuivent leur développement en phase III. À ce stade, le nouveau vaccin est comparé à l’absence de vaccin. Les personnes reçoivent, de façon aléatoire, soit un placebo supposé inerte, soit le vaccin en cours d’évaluation afin de mesurer son efficacité et sa toxicité

[6] L’Association médicale mondiale (AMM) a élaboré la Déclaration d’Helsinki comme un énoncé de principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains, y compris la recherche sur du matériel biologique humain et sur des données identifiables.  La Déclaration est conçue comme un tout indissociable. Chaque paragraphe doit être appliqué en tenant compte de tous les autres paragraphes pertinents.  Conformément au mandat de l’AMM, cette Déclaration s’adresse en priorité aux médecins.

[7] https://www.espace-ethique.org/ressources/charte-declaration-position/declaration-dhelsinki

[8] Il y a 3 jours, une de nos vidéos a été supprimée de YouTube alors qu’elle ne faisait état que d’informations vérifiées et accessibles ; et mon épouse fait l’objet d’une plainte par le Conseil de l’Ordre parce qu’elle ne répétait pas la propagande de l’État. C’est le cas de nombreuses vidéos de lanceurs d’alerte, du site Reinfocovid en particulier

[9] Je viens d’être bloqué douze heures sur Twitter pour communication d’une vidéo sur les bénéfices risques des vaccins, comme de nombreux autres. C’est le tarif actuel.

[10]  http://www.adrreports.eu/fr/index.html

 

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La cour pénale internationale a accepté la plainte pour violation du code Nuremberg du gouvernement israélien

 Publié le 13/03/2021 à 11:17 - Mise à jour à 11:21
La cour pénale internationale a accepté la plainte pour violation du code nuremberg du gouvernement israélien
FranceSoir
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Auteur(s): FranceSoir

D’après un article de Database Italia, la plainte déposée la semaine dernière devant le tribunal de La Haye accusant le gouvernement israélien de violer le code de Nuremberg a été confirmée. Une décision est maintenant attendue.

Une plainte a été déposée au Tribunal de La Haye par les avocats Ruth Makhacholovsky et Aryeh Suchowolski le week-end dernier concernant des violations du code de Nuremberg par le gouvernement israélien et d'autres parties. Nous rappelons que l'organisation People of Truth a déposé une plainte contre le gouvernement israélien, qui mène des expériences illégales sur des citoyens israéliens au travers de la vaccination Pfizer. « L'organisation comprend des avocats, des médecins, des militants publics et le grand public, qui ont choisi d'exercer leur droit démocratique de ne pas recevoir de traitement médical expérimental (vaccin Corona), et se sentent soumis à de grandes et sérieuses pressions illégales de la part du gouvernement israélien, parlementaires et ministres, hauts représentants du public, maires, etc. » 

Par conséquent, et en tenant compte de ce qui précède, ils demandent :

1.     L’arrêt immédiat de l'expérience médicale et l'administration de vaccins au public israélien.

2.     Demander au gouvernement d'adopter toutes les procédures législatives qui ne violent pas le principe du consentement éclairé d'une personne à recevoir le traitement médical décrit ci-dessus, qui nie le statut juridique en Israël et dans la démocratie israélienne, notamment en évitant la création d'un passeport sanitaire , en accordant le noms des personnes non vaccinées aux autorités locales ou à tout autre législateur compétent.

3.     Prendre les mesures les plus sévères contre toute entité publique, commerciale ou d'emploi qui enfreint la législation du travail de l'État ou d'autres questions nécessaires pour empêcher la coercition ou la sollicitation de vaccins, ainsi que la discrimination, contre ceux qui choisissent de ne pas recevoir les soins médicaux innovants susmentionnés.

4.     Attirons votre attention sur le fait qu’une copie de ce document sera également transmise aux médias du monde entier pour violation du Code de Nuremberg. Pertinent dans tous les pays du monde libre. 

5.     Et comme dernière remarque, il convient de noter que ce n'est que récemment qu'une décision du Conseil de l'Europe a été prise le 27/1/21, dans laquelle toutes les autorités sont ordonnées de ne pas exercer de pression ou de sollicitation sur les personnes pour qu'elles prennent le vaccin Corona de quelque façon . Par conséquent, tout ce qui est bon pour les pays européens avancés l'est certainement aussi pour Israël - et l'équilibre est évident ».

L'avocate Ruth Makhachovsky a déclaré à Israel News:

« L'expérience que Pfizer mène dans l'Etat d'Israël a été menée en violation du Code de Nuremberg, qui appartient au droit pénal international et est sous la juridiction du tribunal de La Haye.  

Nous attendons maintenant une décision ».
 

Lien vers la cause:    https://israel-news.co.il/archives/24845

Lien vers les observations du Conseil européen: https://pace.coe.int/en/files/29004/html

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