« Il est probable qu'une épidémie de grippe apparaîtra d'ici la fin de l'année 2020, comme chaque année. Ce virus sera, comme par hasard, considéré comme un proche parent du Sras-Cov-2, qui présentera peut-être des « caractéristiques supplémentaires terrifiantes ».Nous voici 7 mois plus tard. Comme on pouvait s'y attendre, de nouveaux variants sont apparus, les décès dus au Covid-19 d'origine humaine s'accumulent, le passeport vaccinal a déjà été adopté par plusieurs pays et les vaccinations ont commencé partout dans le monde.
Nul besoin toutefois de désespérer, car à ce moment-là, les pouvoirs publics auront préparé un vaccin. C'est l'une des raisons pour lesquelles l'hydroxycholoroquine a été interdite. Si un traitement sûr et efficace existe déjà, qui acceptera un vaccin précipité et inconnu ? Un vaccin qui protégera prétendument les gens contre le Covid-20, mais qui sera en réalité conçu pour « annuler » les changements bénéfiques induits par la souche mutée du Sras-Cov-2.
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Il est probable que la vaccination ne sera pas obligatoire. N'oubliez pas que les pouvoirs publics sont devenus pour le moment « plus affables et plus dociles ». Au lieu de recourir à la force brute, ces autorités publiques sont plus susceptibles d'exercer un chantage moral : « Faites-vous vacciner pour protéger les autres ! », combiné à un chantage social : « Pas de vaccin = pas de travail, pas de shopping, pas de voyage, pas de socialisation ! ». En gros, vous êtes libre de choisir entre le passeport d'immunité ou une peine de prison à vie dans une cellule isolée. »
En théorie, les médicaments, vaccins compris, sont approuvés et utilisés parce que leurs bénéfices dépassent de loin leurs risques. En ce sens, le médicament idéal présenterait un risque zéro et une efficacité totale contre une maladie incurable et mortelle. Nous verrons dans le présent article que les « vaccins » Covid-19, en particulier celui de Pfizer, sont quasiment à l'opposé du médicament idéal. Ils sont dangereux, inefficaces et ciblent une maladie bénigne pour laquelle des traitements efficaces et sûrs sont déjà connus.
Où est la pandémie ?
Le taux de létalité
Selon l'OMS, en octobre 2020, environ 750 millions de personnes, soit environ 10 pour cent de la population mondiale, avaient été infectées par le Sras-CoV-2 et un million de personnes étaient mortes du Covid-19. Ces chiffres conduisent à un taux de létalité de 0,13 pour cent (0,13%), qui correspond au taux typique de la grippe saisonnière. Lorsqu'il est traité correctement, comme à Marseille où le protocole de l'hydroxychloroquine et le diagnostic clinique précoce sont utilisés, le taux de létalité tombe à 0,05 pour cent (0,05%).
À Singapour, où l'utilisation de l'hydroxichloroquine est très répandue et où aucun confinement national n'a jamais été imposé, le taux de létalité du Covid-19 est le même que celui de Marseille, soit 0,05 pour cent (0,05%) seulement (29 décès sur 59 000 cas).
Quel type de pandémie présente un taux de létalité égal ou inférieur à celui de la grippe saisonnière ?
Les véritables décès du Covid
Les chiffres ci-dessus sont basés sur les données officielles publiées par l'OMS. Ces chiffres, en particulier le nombre total de décès par Covid, sont largement exagérés grâce à diverses supercheries :
1/ Comorbidité
94 pour cent (94%) des personnes qui sont mortes du Covid-19 présentaient des facteurs de comorbidité. La majorité d'entre elles présentaient non pas un mais plusieurs facteurs de comorbidité, notamment l'hypertension, l'obésité, les maladies pulmonaires chroniques, le diabète et les maladies cardiovasculaires. Par exemple, un patient britannique atteint d'un cancer avancé, d'une insuffisance rénale et d'un diabète, et dont le test s'est révélé positif dans les 60 jours précédant son décès, verra sa mort automatiquement attribuée au Covid-19. Au Royaume-Uni, au moins 30 pour cent (30%) des décès attribués au Covid-19 sont en fait dus à une comorbidité.
2/ Faux positifs
De nombreux décès ont été attribués au Covid-19 uniquement sur la base d'un test PCR positif. Selon les mots de son inventeur Kary Mullis, prix Nobel de chimie 1993 :
« [les tests PCR] ne peuvent pas du tout détecter les virus infectieux en circulation [...] Les tests peuvent détecter des séquences génétiques de virus, mais pas les virus eux-mêmes »Par conséquent, les questions évidentes sont les suivantes : combien d'autres virus affichent des séquences virales similaires à celles du Sras-CoV-2 et sont ensuite détectés et sont étiquetés à tort comme étant des Sras-CoV-2 ? Combien de séquences virales non pathogènes et non transmissibles du Sras-CoV-2 conduisent à un test PCR « positif » ?
Pour couronner le tout, le nombre de cycles d'amplification de la PCR pose un sérieux problème. Selon le CDC, il est pratiquement impossible de détecter un virus vivant au-delà d'un seuil de 33 cycles. Cependant, de nombreux États effectuent 40, 45 voire 50 cycles d'amplification. Par exemple, un test positif obtenu à 40 cycles a environ 43 pour cent de chances de ne plus être positif avec un seuil de 35, et 85 pour cent de chances avec un seuil de 30.
Le test antigène est encore pire que le test PCR, puisqu'il entraîne 63 pour cent de faux positifs en plus ! Ces tests sont si peu fiables que même l'OMS en déconseille l'utilisation.
3/ Interdiction des traitements efficaces
À Marseille, en France, où un diagnostic précoce est établi et suivi d'un traitement approprié, notamment l'hydroxychloroquine combinée à l'azythromycine, le taux brut de mortalité est de 0,01 pour cent. À environ 700 kilomètres de là, à Paris, où le diagnostic est tardif et où l'interdiction de ces deux médicaments est appliquée, le taux de mortalité global grimpe à 0,075 pour cent. Cela représente une augmentation d'un facteur de 7,5.
Comme à Marseille, le Belarus et l'Islande ont effectué un diagnostic précoce et/ont administré des soins appropriés et ils figurent parmi les pays où le nombre de décès par Covid-19 est le plus faible, avec respectivement 1 560 (taux de mortalité brut de 0,016 pour cent) et 29 (taux de mortalité brut de 0,008 pour cent) à la mi-janvier 2021. Dans la même veine, le Vietnam qui utilise le diagnostic précoce, l'hydroxichloroquine et n'a pas mis en place de confinement national, la mortalité brute due au Covid-19 est de 0,000036 pour cent (35 décès pour 96 millions d'habitants)
4/ Transfert du nombre de victimes de la grippe
L'hémisphère sud semble avoir purement et simplement échappé à la grippe saisonnière de l'hiver 2020, où les décès dus à la grippe ont diminué de 90 pour cent par rapport aux années précédentes. Selon les principaux médias, cette baisse des décès dus à la grippe est imputable au confinement. Si c'est le cas, comment expliquer que la France ait enregistré un nombre étonnamment bas de décès dus à la grippe pendant la saison 2019-2020 qui s'est terminée avant l'imposition du confinement le 17 mars ? En effet, seuls 3 680 décès dus à la grippe ont été enregistrés durant l'hiver 2019-2020. Cela représente une baisse de 70 pour cent par rapport à la moyenne des dix dernières années.
Un autre récit classique explique cette baisse brutale et inattendue du nombre de victimes de la grippe par le fait que le coronavirus empêche l'activité d'autres virus. Mais les virus n'ont aucune difficulté à cohabiter. Par exemple, rien qu'en Europe, pendant la saison de la grippe 2019/2020, au moins six souches actives de grippe ont été détectées : type A A(H1N1)pdm09, A(H3N2)) A(Inconnu), B/Victoria, B/Yamagata et B/Unknown, et nous savons que le Sras-CoV-2 était sur le continent depuis au moins le 2 décembre 2019.
Dans l'hémisphère nord, la France n'est pas le seul pays à avoir enregistré la disparition de la grippe saisonnière. Les États-Unis et le Royaume-Uni ont respectivement fait état d'une diminution stupéfiante de 98 pour cent et 90 pour cent des décès qui lui sont attribués.
En se basant sur le nombre hyper exagéré de décès par Covid de l'OMS, qui est de 1,7 million en janvier 2021, on peut déduire les chiffres suivants :
- Les décès faussement positifs, c'est-à-dire les patients qui n'ont même pas eu le Covid, représentent au moins 33 pour cent du nombre total de décès attribués
- au Covid-19. Cela représente 700 000 sur 1,7 million ;
- Les décès dus à des comorbidités représentent 30 pour cent du nombre total de
- décès attribués au Covid, soit 500 000 sur 1,7 million ;
- Environ 90 pour cent du nombre de décès dus généralement à la grippe a été
- imputé au Covid, soit 300 000 décès sur 1,7 million.
Cette fourchette ne tient même pas compte de la réduction par 7 de la mortalité liée à un diagnostic précoce approprié et à un traitement adéquat. En tenant compte de ce paramètre, la mortalité totale due au Covid-19 avec un diagnostic précoce et des soins appropriés diminuerait de 40 000 à 140 000 victimes dans le monde. Notez que les estimations ci-dessus sont très prudentes, nous sommes donc amenés à nous demander si le Sras-CoV-2 a véritablement causé de façon directe un nombre important de décès.
Quel type de pandémie provoque bien moins de décès que la grippe saisonnière ?
Excès de mortalité
La surmortalité comprend les décès attribués au Covid-19 ainsi que les nombreux décès dus au confinement. Comme nous le verrons, il est probable que ces derniers ont provoqué beaucoup plus de décès que le Covid-19 lui-même.
1/ Retards dans les traitements et les diagnostics
En Angleterre et au Pays de Galles, seul un tiers de la surmortalité observée dans les maisons de retraite médicalisées et les résidences privées peut s'expliquer par le Covid-19, les deux tiers restants sont dus à des citoyens âgés qui se sont vu refuser les soins primaires et « qui auraient pu vivre plus longtemps s'ils avaient pu se rendre à l'hôpital ». Ce problème est particulièrement vrai pour les patients atteints de cancer. Au Royaume-Uni, le fait d'en avoir empêché le diagnostic et le traitement médical pourrait entraîner la mort de 18 000 patients supplémentaires.
2/ Conditions psychiatriques
Une méta-analyse de la santé mentale de la population générale a été publiée en décembre 2020. Comme prévu, la « pandémie » a considérablement aggravé le problème :
« Des taux relativement élevés de symptômes d'anxiété (6,33 pour cent à 50,9 pour cent), de dépression (14,6 pour cent à 48,3 pour cent), de stress post-traumatique (7 pour cent à 53,8 pour cent), de détresse psychologique (34,43 pour cent à 38 pour cent) et de stress (8,1 pour cent à 81,9 pour cent) ont été signalés pendant la pandémie de Covid-19 au sein des populations en Chine, en Espagne, en Italie, en Iran, aux États-Unis, en Turquie, au Népal et au Danemark [...] La pandémie de Covid-19 est associée à des niveaux très élevés de détresse psychologique qui, dans de nombreux cas, atteindraient le seuil de gravité clinique. »Il convient de noter que l'espérance de vie des personnes souffrant de maladies mentales est inférieure d'environ 8 ans à celle de la population générale.
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3/ Suicide
Les chiffres définitifs concernant les décès en 2020 n'ont pas encore été compilés. Cependant, la tendance est déjà claire. Selon certaines études, le suicide a augmenté de 145 pour cent. En toute logique, les tendances suicidaires ont augmenté parallèlement aux suicides avérés, l'Inde, par exemple, enregistrant une hausse de 67,7 pour cent des signalements de comportements suicidaires pendant le confinement. De même, en Chine, l'apparition de très fréquentes pensées suicidaires a été constatée tandis qu'au Canada, on prévoit une augmentation de 500 pour cent des suicides.
4/ Alcoolisme et toxicomanie
L'abus d'alcool a fortement augmenté pendant la « pandémie ». Au Royaume-Uni, le nombre d'appels à la ligne d'assistance du British Liver Trust a augmenté de 500 pour cent depuis le début du confinement en mars. De même, Alcohol Change a pendant le confinement enregistré une augmentation de 242 pour cent des visites sur les pages de conseil et de soutien de son site Web. Les enquêtes sur la consommation d'alcool révèlent une situation similaire, avec 21 pour cent des personnes déclarant qu'elles buvaient plus souvent pendant le confinement. Les gros buveurs sont les plus touchés : 38 pour cent de ceux qui buvaient beaucoup avant le confinement ont déclaré qu'ils buvaient encore plus pendant le confinement. Aux États-Unis, une augmentation de 54 pour cent des ventes nationales d'alcool a été enregistrée pour la semaine se terminant le 21 mars 2020, par rapport à l'année précédente.
De même, les surdoses de drogues ont fortement augmenté en 2020. Par exemple, aux États-Unis, les surdoses ont tué le nombre stupéfiant de 81 000 personnes, soit une augmentation de 38 pour cent des surdoses mortelles par rapport à 2019.
5/ Pauvreté
Selon la Banque mondiale, la « pandémie » pourrait plonger environ 100 millions de personnes supplémentaires dans l'extrême pauvreté. La différence d'espérance de vie entre un individu en situation d'extrême pauvreté et un individu riche est d'au moins 20 ans. Il faut toutefois préciser que la plupart des décès provoqués par la montée de l'extrême pauvreté ne se produiront pas immédiatement mais dans les années, voire les décennies, qui suivront cette crise économique mondiale fabriquée de toutes pièces.
En dépit du nombre de décès dus au confinement et à ses conséquences plutôt qu'au Covid-19, de nombreux pays n'ont même pas enregistré d'augmentation de la surmortalité pendant la pandémie. C'est le cas de l'Allemagne où l'hydroxychloroquine a été utilisée et où de nombreux diagnostics précoces ont été effectués. Mieux que cela, l'Islande — qui a mis en œuvre l'une des approches de diagnostic précoce les plus efficaces au monde — affiche un taux de mortalité en 2020 inférieur à sa mortalité annuelle moyenne. Mais la cerise sur le gâteau est la Chine, où environ 55 tonnes d'hydroxychloroquine ont été consommées en 2020 et où aucun confinement national n'a été mis en place : en conséquence, la Chine n'a connu pratiquement aucun décès dû au Covid depuis avril 2020.