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10 mars 2022

GUERRE UKRAINE-RUSSIE ... PEUT-ÊTRE LA FIN DU CONFLIT ZELENSKY VEUT NEGOCIER LA PAIX AVEC LA RUSSIE ... MAIS QUI SAIT ?

Soutien à la rébellion du Donbass :

Alerte crime de guerre !

 

 

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Lorsque les mensonges des médias occidentaux sur la guerre en Ukraine refusent de montrer l’horreur du régime ethnocentré de Kiev massacrant des civils innocents, alors ils ne sont pas seulement les collabos abjects d’une propagande néo-nazie mais les complices condamnables de ses crimes de guerre.

Le traitement médiatique occidental du siège de Marioupol est révélateur de cette inversion accusatoire menée par les occidentaux depuis 8 ans concernant les événements tragiques qui se déroulent dans le Donbass.

Quelques rappels passés :

  • La ville de Marioupol tombe sous la botte des néo-nazis du bataillon spécial Azov (devenu régiment) le 9 mai 2014, lors d’un assaut blindé sur la foule commémorant la victoire de 1945 : plus de 100 morts et disparus et des centaines de blessés.
  • Depuis 2014 les élections dans cette ville très majoritairement pro-russe sont annulées ou les candidatures pro-russes invalidée.
  • Depuis 8 ans le régiment Azov qui a fait de Marioupol sa garnison et son bastion nationaliste exerce sur sa population russophone intimidations, répressions, politique signalée par le comité des droits de l’Homme.

Aujourd’hui cette ville qui est le bastion Sud des forces ukrainiennes dans le Donbass est encerclée par les forces russes et républicaines depuis le 4 mars 2022 avec dans ses murs une population civile encore importante (environ 400 000 personnes) et prise en otage par les combattants ukrainiens qui veulent l’utiliser comme bouclier humain.

Les banlieues Est de la ville assiégée de Marioupol

Les 5 et 6 mars les 2 tentatives d’évacuation vers Zaporodje ont été annulées à cause de provocations attribuées bien sûr aux forces russes ce qui est militairement une absurdité totale car tout assaillant qui cherche à les épargner a intérêt à voir les civils abandonner la ville qu’il assiége.

Pour faire immédiatement faire taire ceux qui m’accusent de rapporter ici des mensonges propagandistes concernant la prise d’otage de la population civile par les soudards ukrainiens, voici la vidéo d’une discussion entre une jeune femme de Marioupol et un soldat ukrainien :

La jeune femme : « Pourquoi l’évacuation a été annulée ? »
Le soldat ukrainien : « Soyez contente que vous ne soyez pas fusillés »

De plus 3 rapports inquiétants sont sortis de la ville depuis 48 heures confirmant que les civils de Marioupol sont les boucliers humains des forces ukrainiennes aux abois :

  • Plusieurs sources signalent que les forces ukrainiennes ont entièrement miné le périmètre urbain : abords mais aussi bâtiments, et le chiffre de 10 000 mines est évoqué
  • Le 5 mars, alors qu’il n’y a pas de tir d’artillerie dans le secteur, dans la ville un bâtiment a explosé. Il y aurait 200 civils sous les décombres.
  • Le 6 mars un informateur de la police de Marioupol signale au renseignement que dans l’usine d’Azovstal de Marioupol le Commandant du régiment « Azov » a fait venir et a bloqué des dizaines de civils dans des ateliers minés par ses soldats.
À quoi peut-on s’attendre ?

Alors que le forces russes appliquent, au risque de subir des pertes plus importantes, une stratégie de guerre de précision s’efforçant de ne viser que des objectifs militaires ukrainiens, on observe un délire hystérique de la propagande occidentale qui au contraire décrit de leur part des frappes aveugles et des destructions globales de villes et de villages.

Dans ce contexte médiatique et dans ceux de leur encerclement et défaite inévitable, les radicaux nationalistes retranchés au milieu de Marioupol pourrait être tentés de commettre un crime de guerre contre une population civile russophile qui leur est hostile et chercher avec l’appui de la propagande de guerre ukro-atlantiste à en attribuer la responsabilité aux forces russes bombardant leurs positions et installations militaires.

Voilà pourquoi il est vital de diffuser au maximum ces informations pour éventer un false flag monstrueux qui vraisemblablement se prépare dans la ville de Marioupol !

source : Alawata Rebellion

 

 

 

Des MIG-i-29 polonais pour l’Ukraine :
un passeport pour l’Apocalypse

 

 

Des MIG-29 polonais pour l’Ukraine. Veut-on l’Apocalypse ?

Lequel des deux est le plus fou, Poutine ou Biden ? Stop à l’escalade.

Le sort de l’armée ukrainienne est scellé. À quoi bon jouer avec le feu ? Poutine a gagné.

Car c’est une option éminemment suicidaire qui est à l’étude entre Américains, Polonais et Ukrainiens : livrer à l’Ukraine des chasseurs MIG-29 polonais, qui seraient pilotés par des aviateurs ukrainiens.

https://www.rfi.fr/fr/europe/20220307-guerre-en-ukraine-livrer-des-avions-de-chasse-%C3%A0-l-arm%C3%A9e-ukrainienne-pas-si-simple

Les Européens vont-ils se laisser manipuler par leurs bons alliés américains, qui semblent rêver d’un affrontement entre la Russie et l’Europe pour mieux anéantir durablement notre continent ?

Quand les Américains raisonnent à l’horizon du siècle prochain avec des critères stratégiques existentiels, les Européens, totalement divisés contrairement aux apparences, raisonnent au jour le jour avec leurs droits de l’homme.

En trente ans, les Européens ont liquidé leur outil de défense pour financer leur social, tandis que les Américains portaient leur budget militaire à 750 milliards de dollars. Nous sommes dirigés par des irresponsables qui ont la prétention de peser sur le monde.

Depuis la chute du mur de Berlin en 1989, Washington n’a eu qu’une seule politique des plus hypocrites : affaiblir l’Europe, diaboliser la Russie et attiser les braises en renforçant l’Otan, alors que le pacte de Varsovie n’existe plus depuis 30 ans. 

Réfugié en Pologne dans l’ambassade américaine, selon plusieurs sources concordantes, Zelensky, président d’un pays corrompu, avec des éléments néo-nazis dans son entourage, ne cesse d’attiser les braises et de pousser les Occidentaux à entrer en guerre contre les Russes, dénonçant les promesses non tenues des Occidentaux.

« Cela fait treize jours qu’on entend des promesses. Treize jours qu’on nous dit qu’on nous aidera dans le ciel, qu’il y aura des avions, qu’on nous les livrera. Mais la responsabilité pour cela repose aussi sur ceux qui n’ont pas été capables de prendre une décision en Occident depuis treize jours. Sur ceux qui n’ont pas sécurisé le ciel ukrainien des assassins russes. »
.
Washington lui ayant refusé de créer une zone d’exclusion aérienne au-dessus du territoire ukrainien, une mesure hostile qui engageait directement l’Otan contre Moscou, Zelensky réclame maintenant des avions de combat que les pilotes ukrainiens connaissent et que les pays européens de l’ex-URSS possèdent encore : des MIG-29 et des Sukhoï-27.
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La Pologne, la Slovaquie et la Bulgarie posséderaient au total une soixantaine de ces appareils d’origine russe.
.
« Si vous ne nous donnez pas au moins des avions pour que nous puissions nous protéger, on ne peut en tirer qu’une conclusion : vous aussi, vous voulez qu’on nous tue lentement ! »

Les postures dramatiques, Zelensky connaît. Mais là, ce n’est plus un film, c’est la paix en Europe qui est en jeu.

Cette idée lumineuse, qui devrait enchanter Poutine, a convaincu le chef de la diplomatie européenne, Joseph Borel, pour lequel les pilotes ukrainiens pourraient ainsi disputer aux Russes la maîtrise du ciel ! On peut rêver !

Que feront les MIG-29 face aux MIG-35 et Sukhoï 35 russes de dernière génération ? Le courage ne fait pas tout.

avion de combat russe

De plus, les bases aériennes et les infrastructures ukrainiennes ayant été détruites, ces MIG-29 ne pourraient décoller et atterrir que sur les terrains polonais ou européens voisins.

Ce qui signifie que la Pologne servirait de base arrière aux pilotes ukrainiens, devenant de facto un sanctuaire pour l’aviation de chasse ukrainienne. Une option qui, aux yeux de Poutine, fait de la Pologne un belligérant. 

Si Varsovie souhaite voir une de ses bases rasée par quelques missiles russes, il lui suffit de poursuivre dans cette  voie.

Que feront les Américains dans un tel cas de figure ? Pas du tout certain qu’ils volent au secours de la Pologne. Ce serait l’engrenage nucléaire.

Que fera la France, qui a des Rafale et des Mirage dans la zone ? Mystère.

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Mais si Macron, Parly et Le Drian souhaitent voir notre unique porte-avions Charles de Gaulle coulé par un missile hypersonique, totalement imparable, qu’ils continuent  d’attiser les braises et d’exaspérer l’ours russe.

Armer l’Ukraine, encenser Zelensky et vanter le courage du peuple ukrainien, c’est prolonger la guerre et c’est être responsable de milliers de morts supplémentaires.

Car Poutine ne reculera pas et va obtenir ce qu’il veut, soit par les négociations, soit par la force. Il l’a dit et il vaudrait mieux l’écouter, après l’avoir méprisé depuis des années.

Poutine exige la reconnaissance de la Crimée russe, l’indépendance des républiques du Donbass, l’éviction du gouvernement mafieux et corrompu en place à Kiev. Il veut enfin faire payer tous les crimes du régiment Azov commis dans le Donbass.

Après 30 années de mensonges et d’arrogance occidentale, ces exigences sécuritaires sont légitimes.

Dans les médias occidentaux, on ne cesse de faire vibrer la fibre émotionnelle et de pratiquer une suicidaire surenchère économique et militaire, sans mesurer l’ampleur du désastre qui s’annonce pour les Européens.

« Dites au monde de nous aider. Nous vous en supplions, il faut arrêter ça. Poutine tue des civils, des vieilles femmes, des enfants. Pourquoi le monde ne fait rien ? Fermez le ciel. Sauvez l’Ukraine. Les Russes sont des barbares. J’ai peur », dit une Ukrainienne désespérée.

Le genre de déclarations  émouvantes qui tournent en boucle dans les médias.

Mais on ne les a pas entendus quand les populations de Serbie encaissaient un déluge de bombes pendant 78 jours. Les Serbes aussi ont souffert, hommes, femmes et enfants, comme en Ukraine. Mais c’étaient des bombes américaines, donc frappées du sceau de la légitimité humanitaire.

On ne les a pas entendus non plus pour les 13 000 morts dans le Donbass, région pro-russe victime de la haine de Kiev. Pour Zelensky, les habitants pro-russes du Donbass sont des terroristes et traités comme tels.

https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/manifestations-en-ukraine/video-ukraine-la-haine-entre-habitants-pro-ukrainiens-et-pro-russes-de-donetsk_675453.html

Nos médias sont décidément bien pourris, virtuoses de la désinformation et des fake news.

Mais comment stopper cette guerre si les Occidentaux attisent les braises en armant l’Ukraine et si Zelensky, depuis son refuge en Pologne, continue de pousser son peuple à la résistance ?

Comme le dit Renaud Girard, les Ukrainiens ont gagné la sympathie et l’admiration du monde occidental, mais cela ne leur rendra pas leurs morts, ni leurs infrastructures détruites ».

Ne transformons pas ce conflit  localisé en guerre de l’Occident contre la Russie.

Les seules sanctions économiques vont laisser l’Europe exsangue alors que les Américains en ressortiront renforcés.

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oil de pétrole

 

Si Poutine coupe le robinet du pétrole et du gaz, ce sera l’effondrement de l’économie européenne, pas celui de l’Amérique, ni celui de la Russie, qui vendra ses ressources énergétiques et minières aux Chinois.

Un baril de brut à 200 dollars, le gaz à 400 euros le mégawattheure et c’est toute l’économie européenne qui se retrouve à genoux.

Sans parler de la tonne de blé à 500 euros qui va embraser le Maghreb et provoquer des émeutes de la faim aux conséquences inconnues.

Nous devons au peuple ukrainien une assistance humanitaire totale. Mais implorer la paix tout en armant l’Ukraine et tout en brandissant des sanctions économiques à double tranchant, c’est entretenir l’escalade, c’est semer les germes d’un conflit incontrôlable et c’est assurer notre ruine économique pour les dix ou vingt années qui viennent.

Il est temps que les illuminés qui nous dirigent redescendent sur Terre.

L’Occident avait gagné la guerre froide, mais les Américains ont tout fait pour tuer la paix en Europe.

C’est l’Otan qui est principalement responsable de cette tragédie, pas Poutine, que ni les Américains, ni les Européens n’ont écouté.

En promettant l’Otan aux Ukrainiens, ainsi que l’entrée dans l’UE, nous avons obtenu la guerre.

Les mensonges, la désinformation, la propagande antirusse et la diabolisation de Poutine, tout en faisant l’impasse sur  les turpitudes du pouvoir ukrainien, corrompu jusqu’à la moelle, en ignorant honteusement les souffrances des populations russes du Donbass, martyrisées par Kiev depuis huit ans, tout cela ne changera rien au dénouement de cette guerre.

Poutine obtiendra ce qu’il veut et l’Europe aura tout perdu en croyant sauver l’Ukraine.

Jacques Guillemain

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L’OTAN refuse d’envoyer des avions
de combat MIG-i-25 et SU-29 en Ukraine

 

 

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par Philippe Rosenthal.

Le 27 février dernier, l’UE a annoncé avoir l’intention d’envoyer des avions de chasse aux forces ukrainiennes. Les observateurs y voyaient un risque d’escalade certain face à l’opération russe en Ukraine. La Pologne, a répondu favorablement à cette demande, mais a décidé de donner la « patate chaude » aux États-Unis ne voulant pas se retrouver seule devant la Russie dans cette décision militaire.

Livraison d’armes de l’UE à l’Ukraine

« Pour la première fois, l’UE va financer l’achat et la livraison d’armements », a martelé la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. Cette décision de l’UE de livrer des armes à Kiev est une décision historique.

Le Monde précisait que « pour la première fois, les Vingt-Sept vont faciliter la délivrance d’armes létales, y compris des avions de combat, en débloquant 450 millions d’euros pour l’envoi d’une assistance militaire à Kiev ». Comme le quotidien français le relatait : Le haut représentant de l’Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, Josep Borrell « parlait même, dans la soirée, de la mise à la disposition de l’armée ukrainienne d’avions de chasse ». Pour les observateurs, l’escalade militaire semblait inévitable. « Le chef de la diplomatie ukrainienne, Dmytro Kouleba, a dit avoir besoin d’avions que les Ukrainiens peuvent piloter. Certains États membres disposent de ce genre d’avions et nous allons les fournir avec d’autres armements nécessaires à une guerre », a précisé Josep Borrell à l’issue d’une réunion en visio-conférence avec les ministres des Affaires étrangères de l’UE, précédé d’un entretien avec le ministre ukrainien.

« Nous avons besoin d’avions (…) si nos avions sont abattus par les Russes, la responsabilité des destructions au sol sera partagée entre les Russes et ceux qui ne nous ont pas aidés », a menacé Dmytro Kouleba dans un entretien à France 24, dénonçant la non-action de l’OTAN et des pays de l’UE pour défendre l’Ukraine. Zone Militaire rappelle que « la liste des pays européens susceptibles de fournir de tels appareils se réduit à la Pologne, la Bulgarie et la Slovaquie, leurs forces aériennes respectives étant dotées de MiG-29 « Fulcrum » hérités, en partie de la période soviétique ».

La Pologne a donné son feu vert

« Le MiG-i-29 polonais ira en Ukraine », a déclaré le ministère polonais des Affaires étrangères, comme, ZBiAM, le site polonais spécialisé dans l’analyse militaire, l’annonce en titre. Le gouvernement polonais répondait positivement à la demande de l’Ukraine et à la déclaration de l’UE le 8 mars :

« Les autorités de la République de Pologne, après consultation avec le Président et le Gouvernement de la République de Pologne, sont prêtes à transférer immédiatement tous leurs avions MIG-29 gratuitement à la base de Ramstein [Allemagne] et à les mettre à la disposition du gouvernement des États-Unis d’Amérique.

Dans le même temps, la Pologne demande aux États-Unis d’Amérique de lui fournir des avions d’occasion dotés de capacités opérationnelles similaires. La Pologne est prête à convenir immédiatement des conditions d’achat de ces machines. Le gouvernement polonais demande également aux autres pays de l’OTAN – propriétaires d’avions MIG-29 – d’agir de la même manière ».

Les avions polonais sont là

ZBiAM a rappelé que « les autorités ukrainiennes informent depuis plusieurs jours sur la possibilité de reprendre les avions de production de l’Est (MiG-29 et Su-25) situés dans les ressources des pays européens de l’OTAN. Outre la Pologne, il s’agit aussi de la Bulgarie et de la Slovaquie ». La Pologne possède environ 28 MiG-i-29 qui sont exploités dans deux bases aériennes (à Mińsk Mazowiecki et Malbork). Ces dernières années, quatre exemplaires ont été tirés du stock. En outre, les machines stationnées à Mińsk Mazowiecki ont subi le processus de modification de l’équipement de bord, qui, entre autres, comprend un nouveau système IFF et des appareils de communication fonctionnant selon la norme Have Quick. Dans les deux cas, ils devraient être démontés avant la livraison du côté ukrainien, explique ZBiAM. Selon les communiqués de presse (non confirmés) à ce jour, en échange du MiG-i-29, la Pologne pourrait recevoir un nombre indéterminé d’avions multi-rôles Lockheed Martin F-16 Fighting Falcon. Les détails de cet accord ne sont actuellement pas connus, déclare le site polonais.

Les États-Unis refusent subitement

Le 6 mars, Ouest-France écrivait dans ses colonnes : « Les États-Unis cherchent un accord avec la Pologne pour fournir des avions de guerre à l’Ukraine ». Europe 1 spécifiait : « Lors d’une visite en Moldavie, le secrétaire d’État américain, Antony Blinken, a affirmé que les États-Unis « travaillent activement » sur un accord avec la Pologne pour l’envoi d’avions de chasse à l’Ukraine ».

Zone Militaire rappelle que le Premier ministre polonais, Mateusz Morawiecki, a donné à Oslo des précisions lors d’une conférence de presse : « La Pologne n’est pas partie à cette guerre et l’OTAN n’est pas partie à cette guerre. C’est pourquoi toute décision de livrer des armes offensives doit être prise par l’OTAN tout entière, sur la base d’unanimité. C’est pourquoi nous sommes prêts à donner toute notre flotte d’avions de chasse à Ramstein, mais nous ne sommes pas prêts à faire quoi que ce soit tout seuls, parce que, comme je l’ai dit, nous ne sommes pas parties à cette guerre ».

John Kirby, porte-parole du Pentagone, explique le 8 mars, ensuite, qu’« en fait, la proposition de la Pologne ne montre que quelques-unes des complexités que présente cette question. La perspective de voir des avions de combat « à la disposition du gouvernement des États-Unis d’Amérique » partir d’une base américaine/OTAN en Allemagne pour voler dans l’espace aérien contesté avec la Russie au-dessus de l’Ukraine suscite de sérieuses inquiétudes pour l’ensemble de l’alliance de l’OTAN. Il n’est tout simplement pas clair pour nous qu’il existe une justification substantielle à cela. Nous continuerons à consulter la Pologne et nos autres alliés de l’OTAN sur cette question et les difficiles défis logistiques qu’elle présente, mais nous ne pensons pas que la proposition de la Pologne soit tenable ».

Reuters confirme le rejet des États-Unis concernant l’offre de la Pologne pour lui fournir des avions de combat de fabrication russe pour l’Ukraine car « l’OTAN a déclaré qu’elle ne voulait pas de conflit direct avec la Russie, une autre puissance nucléaire, et le président Joe Biden a exclu l’envoi de troupes américaines en Ukraine pour combattre. Le Pentagone a déclaré que cela s’appliquerait aux troupes au sol ou dans les airs pour les missions de vol ». Rapidement les États-Unis et l’OTAN ont dû refuser l’offre polonaise qui représente un danger d’escalade dans le conflit ukrainien. La Pologne et d’autres pays de l’OTAN situés à proximité de la Russie pourraient comprendre qu’ils n’auront pas le soutien de l’OTAN. Cela montre aussi les limites de l’OTAN. Finalement, l’Ukraine devra se passer d’un engagement plus direct de l’OTAN et certainement même de celui de l’UE car les membres de l’UE et de l’OTAN ne peuvent pas se permettre d’aller plus loin.

source : Observateur Continental

avion chasse d'ukraine

Ukraine : la crapule Zelensky
prête à jeter l’éponge

 

 

En tout cas, c’est ce qu’il semble se dire ce matin dans la presse majoritaire, après que les sites les mieux informés de la réinfosphère US l’aient annoncé depuis deux jours.

Zelensky serait prêt à négocier, entendre accepter sans conditions, toutes les exigences des Russes sur la Crimée, le Donbass, la neutralisation de l’Ukraine, la non-adhésion à l’OTAN. Bref tout.

Nous verrons bien ce qu’il en sera et si au point d’avancement où elle en est, la Russie ne relèvera pas le niveau de ses exigences ; en particulier sur les conquêtes territoriales autour de la Mer d’Azov et de la Mer Noire. Après tout, ce serait parfaitement légitime.

Voyons quels sont les enseignements que réaffirme dès à présent cet épisode historique.

La force précède le droit. Pas de droit sans la force. C’est un principe constant tout au long de l’Histoire qui se réaffirme sous nos yeux. Le droit international, la communauté internationale, le multilatéralisme ne sont que des fictions. Tout cela n’existe pas, si non pour servir d’habillage aux guerres voulues par les mondialistes et par l’Occident. Rien d’autre. Toujours et partout dans le monde, la force a précédé le droit et il n’existe aucun droit sans la force pour le faire respecter. Il n’y a qu’à voir ce qui se passe dans nos zones de non droit. Quand on n’est plus capable de se faire respecter chez soi, on ne vient pas donner de leçons aux autres.

Le rapport de force – ultima ratio – dernier ressort, en cas d’échec de la diplomatie. Là encore c’est une règle constante, quand rien ne va plus, il n’y a plus d’autre issue que d’établir un rapport de force avec la partie adverse afin de pouvoir retourner à la table des négociations. Quand on a tout essayé, quand on a épuisé toutes les voies de la négociation, quand on a longtemps prévenu, quand tous les signaux ont été inutiles, l’expression de la force reste le seul moyen de ramener les forcenés à la raison. Enfin, l’emploi de la force est légitime quand toutes les autres voies de recours ont été épuisées. Ce qui était précisément le cas en l’espèce.

Faire le droit des vaincus. On ne peut pas vivre éternellement en confit avec ses voisins. La contrepartie de la force, c’est l’obligation des vainqueurs de faire le droit des vaincus. C’est à dire de rétablir les conditions d’une paix durable. La sagesse recommande à la force de se retirer pour laisser la place au droit. On verra ce qu’il en sera et si Vladimir Poutine saura faire la part du feu.

Plus de place au doute quand la décision d’agir a été prise. Là encore c’est un principe intangible. Toute la réflexion et toute la purge du doute doivent être réservées à la phase qui précède la prise de décision. Un fois la décision prise, en l’occurrence une fois la guerre engagée, il n’y a plus aucune place pour le doute. Qui pouvait imaginer que Vladimir Poutine serait accessible au doute ou aux pressions ?

L’irresponsabilité criminelle des occidentaux. À partir du moment où les hostilités ont été lancées et après avoir proclamé qu’on n’interviendrait pas, compte tenu de la disproportion du rapport de force en Russes et Ukrainiens, il était totalement irresponsable de la part des Occidentaux de les exciter et de les encourager à tenir tête. Où sont les victimes et qui va payer le prix à la fin de ce qui de toute manière s’annonçait comme inéluctable. L’attitude de certains dirigeants occidentaux dans cette affaire a été parfaitement criminelle.

L’instrumentalisation criminelle des Ukrainiens, preuve d’un plan sous-jacent. Depuis le Maïdan, l’Ukraine a été instrumentalisée par les mondialistes pour tenter de déstabiliser la Russie. En dernier ressort, les Ukrainiens ont été poussés à provoquer les Russes sur la question de leur entrée dans l’Otan. En déclenchant cette guerre fratricide, les manipulateurs à l’initiatives de cette manœuvre imaginaient que l’opinion publique Russe se dresserait contre Vladimir Poutine et que ce pourrait être l’occasion d’une révolution de couleur instrumentalisée depuis Davos. C’était mal connaître le patriotisme des Russes. Les mondialistes en auront été pour leurs frais ; tant il est vrai que la notion de patriotisme leur est totalement étrangère. Au contraire de ce qu’avaient calculé les mondialistes, Vladimir Poutine sortira de cet épisode, largement conforté aux yeux de son peuple.

L’escroquerie démocratique en Ukraine. Il n’y a pas plus de démocratie en Ukraine qu’il n’y en a aux États-Unis où les élections ont été trichées de manière épouvantable, ou que chez nous où le coup d’état judiciaire et le casting des candidats faussent systématiquement le jeu. La soi-disant démocratie Ukrainienne s’est établie sur un coup d’état. Elle a été initiée par des massacres épouvantables et par une guerre civile qui dure depuis 8 ans. Enfin, lors des dernières élections, 4 millions d’électeurs du Donbass ont été exclus de la participation au scrutin. Parler de démocratie dans ces conditions est purement et simplement une escroquerie.

ale gueule du chef d'etat de l'ukraine

Zelensky une crapule liée à la pègre Ukrainienne. Manifestement, l’Ukraine est un pays où règne une corruption gigantesque. On se souviendra des basses combinaisons du fils Biden avec l’oligarque Zlochevsky et de l’intervention du père, alors vice-président des États-Unis, conditionnant l’octroi d’un prêt de 1 milliard de dollars à l’abandon des poursuites contre son fils.
Dans ce contexte, on se demande d’où sort la gigantesque fortune du saltimbanque Zelinsky et quelles ont été les contreparties d’un tel enrichissement ?

https://www.humanite.fr/monde/ukraine/ukraine-volodymyr-zelensky-piege-par-les-pandora-papers-723110

 

On comprend bien que comme partout, un tel contexte de corruption est le terreau sur lequel pensent prospérer les mondialistes de Davos. Partout, Davos et corruption ne font qu’un.

Le saltimbanque Zelensky prêt à sacrifier jusqu’au dernier Ukrainien pour satisfaire ses commanditaires. Qui pouvait croire qu’une fois les hostilités engagées et en l’absence d’engagement des occidentaux, Vladimir Poutine s’arrêterait en route ? Alors pourquoi ne pas mettre les pouces tout de suite, alors que l’issue ne pouvait être que la réalisation par la Russie de tous ses objectifs de guerre et un prix très lourd à payer par l’Ukraine ; aussi bien en vies humaines qu’en destructions.
Là encore l’entêtement criminel de Zelensky à pousser son peuple dans une résistance, certes héroïque, mais sans issue apparaît comme une des preuves du complot et de son asservissement aux commanditaires de Davos.

Sur la résistance héroïque du peuple Ukrainien et sur la retenue de Vladimir Poutine. À longueur d’émissions sur nos télévisions en continu on entend dire que l’avancée de l’armée Russe n’aurait pas été aussi rapide que prévu par l’état-major.
Ha bon, parce que le général qui conduit les opérations a communiqué son tableau de marche à BFMTV et aux autres ?
Sans dec ? Qu’est-ce qu’elle en sait toute cette volaille des plans de guerre des Russes ?

Il me semble comprendre qu’à l’inverse de celles que mènent les occidentaux, les Russes ont pris le parti d’une guerre lente au sol, plutôt que d’une guerre éclair aérienne avec d’emblée des bombardements massifs.
Il me semble comprendre qu’ils ont laissé le temps à leur armée d’exprimer sa puissance et aux Ukrainiens regroupés dans les villes de comprendre que la confrontation serait sans issue pour eux.

Même si les images sont bien entendu celles de la guerre, il me semble comprendre que Vladimir Poutine a fait preuve de retenue. Qu’il a essayé d’éviter le plus de souffrances possible à ce peuple frère, instrumentalisé et trompé par des dirigeants corrompus au dernier degré.

Il me semble que Vladimir Poutine par sa retenue a laissé ouverte la possibilité d’une réconciliation.

Espérons que la résistance héroïque de Ukrainiens leur vaudra le respect et la mansuétude du vainqueur. Espérons qu’il saura ne pas les humilier. Espérons qu’en retour les Ukrainiens chercheront à se réconcilier avec leurs voisin.

Sur ce qui me semble avoir ramené Zelensky à la raison. Franchement, j’ai l’impression que ces derniers jours il a dû voir de très près des fantômes rôder autour de lui, autour des lieux où lui et sa famille se tiennent et que cela l’a ramené à la raison.

En conclusion.


La force prime sur le droit.
L’instauration du rapport de force est l’ultima ratio quand tout a échoué pour résoudre les conflits.
Une fois la décision prise on ne doit plus se laisser aller au doute et conduire l’action sans fléchir.
Il existe une obligation des vainqueurs à l’endroit des vaincus, celle précisément de leur faire leur droit pour préserver la paix dans la durée.
Dans l’exercice de la puissance et quand on dispose d’une suprématie absolue, on a toujours intérêt à ménager son adversaire, surtout si on veut pouvoir se réconcilier avec lui.

Espérons que cette confrontation va se terminer là et que le deux peuples frères pourront se réconcilier.

Espérons que dans un dernier geste de folie, les mondialistes aux abois ne nous entraineront pas dans une confrontation de plus grande ampleur afin de tenter de résoudre, par la destruction, la crise globale qu’ils ont créée.

Martin Moisan

 

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