ET CE FUT LA CHIENLIT A PARIS CE 1ER MAI 2018 DE LA FETE DU TRAVAIL AVEC UNE POIGNEE DE CASSEURS-ANARCHOS
Ce 1er Mai marque la faillite totale de Gérard Collomb qui s’est montré au dessous de tout.
Un fiasco en matière de maintien de l’ordre, dans la lignée de celui de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, où 2500 gendarmes n’ont jamais reçu l’ordre d’expulser les hors-la-loi qui squattent les lieux depuis 10 ans !
Un 1er Mai marqué une nouvelle fois par la violence, un 1er Mai devenu la fête des casseurs avant d’être celle des travailleurs.
Un hold-up sur la manifestation des syndicats par la racaille d’extrême-gauche.
Une racaille que les syndicats accusent de briser le mouvement social.
Un McDo détruit, une agence Renault incendiée, des vitrines fracassées par des sauvages cagoulés, armés de battes de baseball et de cocktails Molotov.
1.200 Black Blocs ont pu se rassembler en tête du cortège et saccager tout sur leur passage en toute impunité, monopolisant l’attention des médias et focalisant l’œil des caméras.
En face, à 300 mètres d’eux, autant de policiers et gendarmes, 22 compagnies de CRS et 5 escadrons de gendarmerie mobile attendant l’ordre d’intervenir.
Alors plusieurs questions se posent :
A quoi bon avoir les meilleures forces de maintien de l’ordre au monde, avec nos CRS et nos gendarmes mobiles, dont la réputation n’est plus à faire et qui forment les forces de police de nombreux pays étrangers, à quoi bon un tel savoir-faire si aucune autorité ne leur donne l’ordre d’entrer en action ?
Le Centre National d’Entrainement des Forces de Gendarmerie (CNEFG) de Saint Astier, forme et entraîne les unités de police de 11 pays partenaires.
C’est l’école de l’excellence en matière de maintien de l’ordre.
Comment a t-on pu laisser 1.200 cagoulés se regrouper alors que le gouvernement savait par les réseaux sociaux que des centaines de Black Blocs allaient converger vers le lieu du défilé ?
Pourquoi n’ont-ils pas été interceptés en amont, dans les gares, les stations de métro, les bus, alors qu’ils sont connus et repérables avec leur sac à dos ?
Sac à dos des casseurs, indispensable pour transporter cocktails Molotov, masques et cagoules, marteaux, projectiles, etc.
Il est interdit de manifester cagoulé. Mais 1200 racailles ont pu saccager les vitrines sans la moindre restriction.
Pourquoi l’ordre de charger n’a-t-il pas été donné une heure plus tôt, avant les dégradations et les incendies ?
Il n’y a eu ni charge, ni dispersion, ni arrestation.
Les canons à eau ont servi uniquement à éteindre les incendies, mais n’ont pas été utilisés dès le début pour disperser les casseurs.
Le dispositif policier a-t-il été sous-dimensionné alors qu’on savait que des centaines de casseurs ralliaient le boulevard de l’Hôpital ?
On a protégé les facs, comme Tolbiac, très bien. Mais si les forces de l’ordre devaient se disperser sur tout le parcours, il fallait en mobiliser davantage.
Et il est tout de même consternant que les autorités aient été surprises par la stratégie des Black Blocs, qui ont fait bloc comme leur nom l’indique !
Par conséquent, Collomb devra répondre à toutes ces défaillances.
Mais notre ministre de l’Intérieur, qui n’a strictement rien anticipé, condamne !! On sent l’homme à poigne, les Black Blocs en ont les jambes qui flageolent.
Une « ferme » condamnation qui ravira certainement les propriétaires du McDo, de l’agence Renault et des voitures et commerces saccagés.
Gérard Collomb
@gerardcollomb
Je condamne avec fermeté les violences et dégradations commises en marge du défilé syndical du 1erMai à Paris.
Tout est mis en œuvre pour faire cesser ces graves troubles à l’ordre public et appréhender les auteurs de ces actes inqualifiables.
4:32 PM – May 1, 2018 · Paris, France
Quant à Emmanuel Macron, il a fui la grogne sociale aux antipodes.
En Australie et en Nouvelle-Calédonie, bien loin des cocktails Molotov.
Mais la droite monte au créneau et Eric Ciotti demande des comptes à Macron, “le Tigre de papier”.
Quant aux communistes, ils réclament une commission d’enquête parlementaire.
Il est vrai que voir des centaines de casseurs cagoulés détruire des boutiques devant les caméras du monde entier, et sans la moindre réaction des forces de police, ça fait désordre.
Belle image de marque pour la France, alors que notre président qui ne souffre aucune critique, est parti faire la roue au pays des kangourous.
Jacques Guillemain
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Même la personne la plus raisonnable, la moins encline à voir des complots partout, ne peut qu’être troublée.
Pendant une heure, 1.200 gauchistes de noir vêtus et bien équipés ont pu se réunir en amont du cortège de la CGT qui devait partir de la place de la Bastille. Ils ont pu détruire des magasins sans la moindre intervention policière. Les images filmées sans difficulté ont ainsi montré comment un McDo avait été consciencieusement explosé et incendié. D’autres commerces ont subi le même sort. Du mobilier urbain a été saccagé. Des feux ont été allumés, dont les flammes léchaient les étages des immeubles, c’est-à-dire les appartements qui se trouvent au-dessus des rez-de-chaussée commerciaux.
Les commentaires sur les chaînes d’information reprenaient en boucle trois phrases : la première, insistante, répétait que le message de la CGT allait être « brouillé » ; la seconde rappelait le slogan des vandales promettant l’enfer pour Macron et son monde ; la troisième évoquait les craintes de la préfecture, qui manifestement était bien informée de ce qui allait se passer. Même la personne la plus raisonnable, la moins encline à voir des complots partout, ne peut qu’être troublée.
Aujourd’hui, l’État de droit a été sciemment foulé aux pieds. La première mission d’un État est, effectivement, de faire respecter le droit, pas seulement celui des immigrés clandestins, si tant est qu’il existe, ni celui des islamistes fichés S, mais celui des citoyens, des commerçants, des propriétaires, des résidents. Les premiers doivent jouir du droit de manifester légalement, les seconds d’exercer leur activité, les troisièmes de voir leurs biens protégés et les derniers d’habiter paisiblement leur logement ou de le quitter pour aller où bon leur semble.
Pendant une heure, ces droits ont été suspendus par une autorité étonnamment défaillante. Le terrain a été abandonné aux exactions des casseurs. Or, le pouvoir ne peut bénéficier ni de l’excuse de la surprise, ni de celle du manque de moyens. Les appels lancés sur les réseaux sociaux avaient été perçus et avaient donc suscité les craintes de la police, qui a disposé du temps et des effectifs nécessaires pour prendre des mesures.
Les « forces de l’ordre », que j’ai vues beaucoup plus dissuasives lors des défilés de la Manif pour tous, avec des interpellations en amont, par exemple, ont laissé arriver sur place plus de mille énergumènes casqués et habillés de noir, munis de sacs à dos contenant le matériel de camouflage et de vandalisme, donc parfaitement repérables. Elles ne sont intervenues avec des moyens proportionnés qu’après les « débordements » et dans la fumée spectaculaire des incendies. Le McDo était nécessaire pour les images du soir, pour montrer que les mouvements sociaux génèrent la chienlit, et qu’il faut qu’ils cessent.
Le slogan qui cible Macron et son monde permet de globaliser le désordre et la manifestation, les Black Blocs et la CGT en un même tout. C’est contre « notre » Président que convergent les forces du désordre. Il est donc temps qu’il revienne du Pacifique pour rétablir le calme. Cela rappelle quelque chose… M. Macron pensait commémorer Mai 1968. Il le fait, en tentant de reproduire le scénario. La chienlit d’abord, pendant que le chef n’est pas là, puis le rassemblement derrière lui du bon peuple de droite. Sauf qu’en 1968, la contestation, pour absurde qu’elle fût, était spontanée et considérable au point de dépasser pendant un temps le gouvernement. Cette fois, il faut craindre que le pouvoir laisse monter la violence pour en tirer un bénéfice politique, en discréditant le mouvement syndical et en séduisant les partisans de l’ordre.
Christian VANNESTE
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VOUS AVEZ DIT ÉMEUTE, DÉBUT DE GUERRE CIVILE, ANARCHIE, CHIENLIT, CASSEURS "BLACK BLOCS", EXTRÊME-GAUCHE, GAUCHISTES, TERRORISTES ... CE N'EST QU'UN DÉBUT VOUS N'AVEZ ENCORE RIEN VU DE CE QUI VA CE PASSER DANS CE PAYS : SA MORT PROGRAMMÉE PAR TOUS NOS LAXISTES POLITIQUES !
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2 mai 2018, 17:26
* Gilets pare-balles, boucliers tactiques, cocktails à l'acide : l'association UPNI a confié à RT France ses craintes face aux organisations d'ultragauche qui passent les frontières et s'illustrent lors d'affrontements avec les forces de l'ordre.
* Après la flambée de violence qui a embrasé la manifestation du Premier mai à Paris, l'Union des policiers nationaux indépendants (UPNI) tire le signal d'alarme : «En pleine menace terroriste, on a 1 200 personnes cagoulées qui pénètrent dans la capitale française. Ils sont identifiés et repérés, mais on les laisse faire», alerte un membre du bureau de cette association de gardiens de la paix qui a répondu aux questions de RT France.
* RT France : Selon les déclarations du syndicat Unsa-Police, les ordres sont venus tardivement pour intervenir à l'encontre des casseurs du Premier mai. Le préfet de police de Paris Michel Delpuech réfute cette thèse et ajoute qu'il fallait protéger «un millier» de «badauds» et de «curieux» qui s'interposaient entre les belligérants et les forces de l'ordre. Accordez-vous du crédit à cette explication ?
* UPNI : Ce n'est pas du tout crédible. Par ailleurs, les services de renseignements savent très bien qui participe à ces manifestations. Ces individus dangereux laissent également des traces derrière eux. On a de la chance d'avoir si peu de blessés : des cocktails à l'acide ont été retrouvés après l'intervention.
* RT France : Les casseurs sont-ils mieux organisés qu'auparavant ?
* UPNI : C'est un problème d'ampleur européenne, avec des individus qui viennent notamment des Pays-Bas, de Belgique et d'Allemagne. Il y a une structure organisée qui ressemble plus à un groupe armé qu'à un groupuscule à ce stade. D'ailleurs, ce sont les mêmes qu'à Notre-Dame-des-Landes. On le sait parce qu'on reconnaît leurs modes opératoires et leur armement, notamment les systèmes de mise à feu des engins explosifs qui ne sont pas de simples cocktails Molotov, mais qui ressemblent de plus en plus à du matériel de type militaire.
* RT France : Leur armement a-t-il changé ?
* UPNI : Oui, leur matériel est de plus en plus sophistiqué. Ils ont des gilets pare-balles et des boucliers tactiques, notamment. Ce type de matériel est plutôt utilisé par le grand banditisme en général et laisse à penser que ces personnes peuvent éventuellement tirer à balles réelles, sinon pourquoi voudraient-ils se protéger de la sorte ? Pour information, lors d'une manifestation, on ne tire plus à balles réelles en France depuis plus de 50 ans.
* RT France : Dans les manifestations, l’ultragauche fait-elle plus de dégâts que l’ultradroite dorénavant ?
* UPNI : Bien sûr. On a plus de policiers blessés par les formations d'ultragauche depuis cinq ans, surtout que presque tous les groupes de l'ultradroite ont été dissous. On a parfois quelques problèmes avec les hooligans lors des événements de football, éventuellement. Mais dès qu'il y a une manifestation liée à l'ultragauche, on sait qu'il va y avoir du grabuge. Résultat : on a eu des collègues brûlés aux jambes et au visage, d'autres ont perdu une partie de leur audition, etc.
* C'est ce qui est incompréhensible pour nous : lorsque ces manifestations dégénèrent, l'Etat ne s'attaque pas aux organisateurs. C'est pourtant prévu par la loi : à chaque manifestation, leur parcours est planifié et les responsables s'engagent à assurer leur service d'ordre pour empêcher les débordements. Dans le cas contraire, ils devraient être comptables devant la loi et sanctionnés. Mais encore une fois, ce sont les contribuables qui paieront pour la casse !
NOTA : Les opinions, assertions et points de vue exprimés dans cette section sont le fait de leur auteur et ne peuvent en aucun cas être imputés à RT.
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