AVANT PREMIERE EXPO FRED FOREST CENTRE POMPIDOU PARIS INVITATION AGENCEMENT DU CALENDRIER FRED FOREST AU CENTRE POMPIDOU OU EXPOSITION A TIROIRS EN AVANT PREMIERE DE SA RETROSPECTIVE PREVUE AU CENTRE POMPIDOU POUR JUIN 2017 FRED FOREST ANNONCE A SON INITIATIVE PERSONNELLE UNE EXPOSITION PREPARATOIRE ET ANTICIPATRICE DONT LE VERNISSAGE EST PREVUE LE DIMANCHE 1er NOVEMBRE A 16:00 au 4 ème étage du Musée prévoir 30 minutes avant à cause de la queue ce jour là. (Entrée libre) Il s’agit pour l’artiste d’une mise en perspective opérationnelle des expositions telles qu’elles pourraient se dérouler en ces lieux à la fin du 3 eme millénaire. C’est à dire par la libre occupation de l'espace par les artistes eux-mêmes, sans agents de la conservation, sans commissaires et surtout sans fonctionnaires ou représentants de l’Etat. Il y présentera lui-même lors d’un tour operator commenté: « L’OSI OU L’ŒUVRE-SYSTEME INVISIBLE » Un pré-vernissage, hors norme, programmé dans les Galeries contemporaines au 4 eme étage du Musée Une oeuvre participative en expansion appelée à se multiplier sur les murs, en s'appropriant l'espace total du musée, avant de se fondre dans l'invisibilité du cyberespace et de retrouver enfin toute sa visibilité participative à distance sur l'écran de votre ordinateur... http://participationforest.com Pour manifester votre intention de présence participationforest@gmail.com
On le disait fâché à mort en 2015 avec le Président du Centre Alain Seban ... Cette nouvelle aura de quoi surprendre mais la photo ci-jointe démentira ceux qui l’affirmaient à l’époque haut et fort. Ce retournement de situation à 360° relève de la compréhension complice entre deux individus faisant preuve d’intelligence et de sens pragmatique. Deux êtres qui, au-delà du pré carré répondant à leurs prérogatives et exigences respectives, ont décidé, d’un commun accord, de signer la paix des braves. Cette perspective d'exposition a été contresignée depuis par Serge Lasvignes, le nouveau Président du Centre et Bernard Blisténe, le Directeur du MNAM, pour une exposition rétrspective programmée pour juin 2017. Avec toute liberté et la légitimité qu’il détient en sa qualité d’artiste ce dernier a décidé d’une programmation originale qui se fera en deux temps 1- Une expo/performance préparatoire à sa seule initiative 2- Une expo officielle avec un commissaire responsable nommé par le Centre
On peut regretter du côté de l’artiste l’abandon d’une position contestataire aussi exemplaire qu’était la sienne, mettant depuis plus d’une quarantaine d’années l’institution et le marché en cause… et, d’autre part, celle des responsables de l’Institution, prêts à récupérer à bon compte un artiste frondeur. Frondeur certes, mais pragmatique, qui ayant pris la mesure de la veulerie généralisée du milieu de l’art et de ses compromissions, a décidé, en toute innocence, de garder ses distances sans en perdre le bénéfice pour son image Et pour preuve de sa totale liberté d’action l’annonce faite par le présent communiqué. On avait un peu oublié (et l’institution la première…) le profil hors norme de ce pionnier tout azimut pour ne retenir de son image que le côté revendicatif et agressif. Il n’est pas bon dans ce milieu de dire tout haut ce que tout le monde pense tout bas... L’occasion était trop belle pour lui avec l’OSI (L’œuvre-système invisible) de la corriger en prouvant, une fois de plus, les vertus de sa verve créatrice. Et cela même au sein de l’écrin, caisse de résonance exceptionnelle, que lui offre certes aujourd’hui le Centre Pompidou sur un plateau mais... à sa propre initiative. Cette initiative cet artiste entend la conserver. Il fallait le faire et, il l’a fait ! Confirmant de la sorte sa stature internationale, et une belle carrière, qui après être passée successivement pour parfaire cette reconnaissance par le Brésil, l’Argentine, l’URSS, les USA, les Indes, Israel, Le Liban, le... Zimbamwe… et pas mal de pays Européens, viendra mettre un point d'orgue à sa carrière dans son pays, la France au Centre Pompidou, par une rétrospective occupant la totalité du Grand Foyer en Juin 2017. L’exposition préparatoire qu’il propose aujourd’hui au 4 éme étage du Musée illustre un essai qu’il a publié à l’Harmattan en 2006 sous le titre « L’œuvre-système invisible », prolongement historique dans l’ordre de l’Art sociologique (1974), de l’Esthétique de la communication (1983) et de l’Esthétique relationnelle (2001) soit 18 ans plus tard... » L'histoire de l'art reconnaîtra un jour les siens ! Il y développe l’idée selon laquelle une nouvelle culture est en train d’émerger dans un contexte où les interfaces se multiplient donnant accès à d’autres niveaux multiples de réalité. Cette culture, selon lui, est celle de l’invisibilité et de l’immatériel qu’il avait déjà mis en œuvre dès 1972 avec sa série des space-media et à la documenta 8 de Kassel en 1987. Un art conçu et mis en œuvre au-delà de ce qui se donne à voir... Et voilà ce qu’il prétend nous donner à voir justement dans son vernissage le Dimanche 1er novembre à 16h00 précises dans les Galeries d’art contemporain au 4 ème étage du Musée National d’Art Moderne dans les Galeries dévolues à l'art contemporain, démonstration à l’appui. cap 2 Seban + Fred copie-1.jpg
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