Olivier Malteste : Et au 6ème jour, Donald Trump inventa le yo-yo tarifaire
Le retour des droits de douane sous Donald Trump, seulement six jours après son investiture, n'est pas une surprise. Pourtant, à l’ouverture de son second mandat, cette arme semble avoir muté du champ économique au politique et est brandie ou remisée selon les circonstances du jour.
Publié le 10 février 2025 à 11h00 Mis à jour le 7 février 2025 à 17h43
Donald Trump. Quel angle adoptera-t-il pour justifier sa future guerre commerciale contre l’Europe ? Photo Evan Vucci/AP/SIPA
Durant la campagne électorale, TRUMP avait été très clair : une fois revenu au pouvoir, il mettrait en place destaxes douanières massives.Ces mesures avaient trois objectifs affichés : protéger les industries américaines, réduire le déficit commercial et stimuler l’économie nationale en favorisant la réindustrialisation du pays. Cerise sur le gâteau, les revenus générés par ces taxes devaient réduire le déficit budgétaire et même, soyons ambitieux, baisser, voire éliminer l’impôt sur le revenu. Un véritable rêve américain.
Dans le programme, ces taxes étaient donc présentées comme des armes économiques. Pourtant, elles se révèlent aujourd’hui avant tout politiques.
Une pièce en deux actes
Premier acte : le dimanche 26 janvier. Face au refus de la Colombie d’accepter le retour de ses ressortissants expulsés des Etats-Unis, Donald Trump dégaine une taxe de 25% sur tous les biens colombiens, menaçant de la doubler sous une semaine s’il n’obtenait pas gain de cause.
Deuxième acte : le vendredi 31 janvier, Donald Trump annonçait une deuxième vague de hausses tarifaires avec 25% sur les importations canadiennes et mexicaines et 10% sur les produits chinois. Cette fois encore, la justification n’est pas commerciale mais sécuritaire : lutter contre le trafic de drogue et l’immigration clandestine.
Le Canada et le Mexique ont d’abord riposté en annonçant des mesures de rétorsion avant de proposer un renforcement de leur sécurité frontalière. Résultat ? TRUMP accorde un délai d’un mois avant l’application des sanctions, le temps d’évaluer l’impact des mesures proposées. La Chine semble en revanche avoir opté pour le bras de fer en annonçant des droits de douane de 15% sur les importations de charbon et de gaz naturel liquéfié américain et des restrictions sur les exportations de métaux rares, indispensables pour les secteurs de la défense et de la technologie notamment.
Donald TRUMP a-t-il oublié la vieille Europe ?
Non, et dès le 31 janvier il avait rappelé son intention d’imposer des droits de douane supplémentaires sur les produits venant de l’union européenne qui “maltraitait” les Etats-Unis sur le plan commercial. Un argument renforcé par la publication, la semaine dernière, d’un déficit commercial américain record, dont 25% proviennent des échanges avec l’Union Européenne. Le déficit face à l’Europe s’est d’ailleurs creusé de plus de 10% sur un an.
Ce chiffre vertigineux suffira-t-il à ramener les droits de douane à une pure logique économique ? Rien n’est moins sûr ! Le 2 février dernier, Donald TTRUMP décidait en effet de s’attaquer plus ouvertement à la régulation numérique européenne, législation perçue comme un frein aux géants de la technologie américaine.
Alors, économique ou politique ? L’angle qu’adoptera Donald Trump pour justifier sa future guerre commerciale contre l’Europe devra façonner la réponse de l’Europe avec, dans tous les cas, le risque de se diviser une nouvelle fois…
« L’Europe, l’euro, et l’Otan menacés, prochaine cible de Trump ! ».
Editorial de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
La stratégie de Donald TRUMP et plus largement de son administration au sens large est assez extraordinaire au sens premier du terme à savoir sortant de l’ordinaire. Nous pouvons au moins tous nous accorder sur ce point, ce qui se passe aux Etats-Unis est ébouriffant et c’est un véritable bouleversement de nos mécanismes, de nos fonctionnements et de nos habitudes.
Du Groënland au Panama, du Canada à Gaza, le monde change à une vitesse inouïe…
Invité de TV Finance, j’ai essayé de partager ma conviction sur la nécessité d’analyser les stratégies américaines car il y a bien des Stratégies ayant pour objectif de maintenir et renforcer la puissance américaine et sa domination.
Pour nous Européens, à court terme c’est bien l’Union Européenne qui est menacée, l’Otan qui pourrait disparaître pour laisser la place à une nouvelle alliance militaire débarrassée de ses “globalistes”, et l’euro, la monnaie commune européenne qui pourrait au bout du compte en faire les frais.
Donald TRUMP refuse déjà de parler à l’Union Européenne pour privilégier les “deals” et les accords bilatéraux d’Etat souverain à Etat souverain. D’après les dernières rumeurs, l’Italie de Melonie serait sur le point de succomber aux sirènes de Washington.
Chaque jours Elon MUSK pilonne les institutions mondialistes et la première victime est l’USAID. La liste des financements tous plus inquiétants les uns que les autres est interminable, jusqu’à ces 68 millions de dollars détournés de l’aide au développement pour financer le forum de Davos de Klaus Schwab qui n’est pas franchement un nécessiteux qu’il faudrait nourrir avec des sacs de riz jetés d’un avion. Sans vous parler du financement dans tous les pays du monde de plus de 6 200 journalistes dans 707 médias dont l’un des premiers épinglés est la BBC en Angleterre, mais le tour de la France suivra.
Ce qu’il se passe est ébouriffant vous disais-je et il y a derrière tout cela une stratégie qui vient de loin et qui a été articulée, préparée, conceptualisée. Elle est entrée dans sa phase d’application et de mise en œuvre avec une rapidité sidérante.
« Et maintenant TRUMP prend la bande de Gaza… sans les Palestiniens ! ».
Il y a des moments de rupture dans l’histoire et nous en connaissons-un.
Je vous livre ici une analyse, je ne vous fais pas de la politique.
J’ai toujours pensé dès le 7 octobre 2023, que les Palestiniens venaient de perdre le droit de vivre à côté des Israéliens et que cet évènement allait changer le
Proche-Orient et le monde entier comme cela a été le cas pour le 11 septembre 2001.
Selon un sondage publié lundi par le Jewish People Institute Policy (think tank israélien), 82 % des Israéliens se disent favorables au déplacement de la population de Gaza vers d’autres pays arabes
Environ sept Israéliens sur dix soutiennent l’idée que « les Arabes de Gaza devraient s’installer dans un autre pays ». La plupart des Israéliens juifs estiment qu’il s’agit d’un « plan pratique qui devrait être mis en œuvre ».
La plupart des Arabes israéliens s’opposent à la proposition de TRUMP.
71 % des électeurs du Likoud estiment que le plan est à la fois souhaitable et pratique.
62 % des électeurs travaillistes (Avoda) considèrent le plan comme une « distraction » ou « immoral ».
L’idée ? Transformer Gaza en Riviera mais sans les Palestiniens…
Voilà l’idée “géniale” de TRUMP. Mettre fin à ces affrontements permanents et qui durent depuis 70 ans en créant un grand Israël et en relocalisant les populations palestiniennes, certains évoquent même discrètement le déplacement des Palestiniens de Cisjordanie.
Pourquoi TRUMP voudrait-il que cela passe sous pavillon américain ? Pour éviter de dire que la bande de Gaza serait annexée par Israël. Tout cela ressemble à de l’habillage diplomatique pour ne pas dire de l’enfumage.
Je vous passe les accusations de spéculations immobilières ou encore d’exploitation gazière au large des plages gazaouies.
Pourtant au-delà de la sidération que provoque cette idée, la porte-parole de la Maison Blanche a été très claire en précisant que TRUMP était le meilleur “deal-maker” au monde, ou faiseur d’accord, et qu’il n’était pas question d’envoyer des troupes au sol à Gaza.
Il s’agit de construire un accord avec tous les acteurs de la région et tous les partenaires pour mettre fin définitivement aux mêmes solutions qui ne fonctionnent pas depuis des décennies. Je cite ici la Maison-Blanche.
Il a été aussi demandé de laisser faire les négociations. Selon sa porte parole, TRUMP pense “out of the box” de façon non conventionnelle pour trouver une solution à un problème insoluble depuis 70 ans et qui va continuer à l’être si l’on ne prend pas le sujet différemment.
Mais pour le moment… le “deal” n’est pas conclu.
L’opposition à ce plan est mondiale !
L’Égypte exige une reconstruction “sans déplacement des Palestiniens” et appelle l’Autorité palestinienne à “assumer ses responsabilités”. L’Autorité palestinienne est dirigée par Mahmoud Abbas son président depuis 2003. Il est né en 1935, ce qui lui fait tout de même 89 printemps au compteur et sa disparition pourrait bien politiquement précipiter également la fin de la fragile Autorité Palestinienne. Autorité Palestinienne qui ne peut que rejeter fermement tout déplacement forcé.
“Nous ne permettrons pas que soient bafoués les droits de notre peuple.”
Du côté de la Chine la position est simple : “Opposition totale au transfert forcé des habitants. La gouvernance de Gaza doit revenir aux Palestiniens.”
Au Royaume-Uni : “Les Palestiniens doivent pouvoir revenir chez eux et reconstruire. Gaza est leur territoire.”
En Allemagne : “Gaza appartient aux Palestiniens. L’expulsion serait contraire au droit international et créerait plus de souffrance.”
Pour le Brésil : “Ça n’a aucun sens. C’est incompréhensible. Ce sont les Palestiniens qui doivent s’occuper de Gaza.”
En ce qui concerne la position officielle de la France ce serait une “violation grave du droit international qui déstabiliserait toute la région.”
Pour la Turquie : “Totalement inacceptable. Il n’est même pas question d’en discuter.”
Côté russe, ce n’est pas mieux.
Les Etats-Unis et Israël sont donc totalement isolés diplomatiquement sur cette idée du déplacement.
Pourtant, je pense qu’ils vont tenter de forcer cette “solution” et obliger au déplacement de population.
Cette idée est évidemment potentiellement génératrice d’une déstabilisation régionale majeure.
Reste à voir surtout la résistance que l’Egypte très dépendante de l’aide américaine et la Jordanie également très dépendante pourront opposer à la détermination américano-israélienne.
N’oubliez pas cette citation qui résume si bien toutes les souffrances de ces peuples.
“Le problème israélo-palestinien, trop d’histoire, pas assez de géographie”.
C’est donc une approche “géographique” qui est posée sur la table par TRUMP.
Cette solution “géographique” peut changer le monde, pour le meilleur, ou pour le pire.
Chaque année la France s’appauvrit, perd des emplois et rétrograde dans la compétition internationale.
Pourtant le gouvernement persiste dans l’erreur : au lieu d’alléger le poids de l’Etat dans l’Économie, au lieu de soutenir le courage, l’audace, l’investissement, le travail, il taxe, il impose, il saigne ménages et entreprises. Toujours plus.
Dans ce nouveau budget, c’est une nouvelle surtaxe qui menace nos industries et notre avenir économique.
Ce matin, dans les colonnes du Figaro, j'ai tiré la sonnette d’alarme. Dans ma tribune, je dénonce cette politique de matraquage fiscal qui affaiblit notre pays et qui, loin de protéger les Français, accélère le déclin.
Je vous invite à la lire et à la partager largement autour de vous. Oui, la France doit changer de cap et retrouver le chemin de la prospérité !
Nous avons tous entendu cette semaine le cri d’alarme du patron de Michelin ou l’avertissement de Bernard Arnault : la France est devenue une machine à punir ceux qui travaillent, innovent et investissent. Chaque année, 1 000 entreprises quittent notre pays, 25 000 emplois disparaissent.
LVMH, Total, Michelin, tous menacent de réduire leurs investissements… Pourquoi ? Parce qu’en France, le succès est surtaxé et l’État, incapable de se réformer, préfère toujours prendre dans les poches des autres.
Je le dis avec force : trop d’impôts, trop de normes et trop de bureaucratie tuent l’initiative et la croissance ! À l’UDR, nous proposons une révolution économique courageuse pour libérer notre économie :
Une baisse des dépenses publiques de 600 milliards d’euros pour enfin relancer la croissance, sans augmenter les impôts.
La suppression de 25 % des normes, de milliers d’agences inutiles et d’échelons administratifs superflus.
Une fiscalité attractive qui récompense le travail et l’investissement, au lieu de les punir.
Alors qu'Emmanuel Macron et François Bayrou s’allient aux socialistes pour taxer toujours plus, nous voulons un État plus léger et plus efficace, qui rende aux Français leur argent et leur liberté.
Si vous partagez ce combat, parlez de l’UDR autour de vous et rejoignez-nous. Nous sommes déjà 15 000 adhérents en cinq mois. Plus nous serons nombreux, plus nous aurons de force pour imposer cette révolution économique indispensable.
Avec toute mon amitié et ma détermination,
Éric Ciotti Président de l’Union des Droites pour la République
PHOTO PRESS AGENCY PRESS INTERNATIONAL DIACONESCO.TV
Qui sont les dix nouveaux milliardaires en Italie, 71 Italiens au total
Le nombre de milliardaires grimpe à 71 en Italie, avec dix nouveaux arrivants dans la catégorie des plus riches du pays. Parmi eux, les cinq enfants de Silvio Berlusconi mais aussi des personnalités moins connues.
Publié le 2 février 2025, mis à jour le 3 février 2025
Les Italiens disposant d’une fortune supérieure à un milliard d’euros sont plus nombreux que l’année dernière. Les analystes d’Ener2Crowd, une plateforme dédiée aux investissements verts, en a recensé 71 cette année, soit dix de plus que l’année précédente. Une tendance à la hausse confirmée par le récent rapport de l’ONG Oxfam, présenté à l’occasion du forum économique de Davos le mois dernier, le lequel la richesse des milliardaires en Italie a augmenté de 61,1 milliards d'euros (environ 166 millions par jour), pour un total de 272,5 milliards.
Les nouveaux noms italiens figurent d'ailleurs dans le classement Forbes de tous les milliardaires du monde.
Qui sont les nouveaux milliardaires en Italie
Parmi les nouveaux milliardaires, figurent les cinq enfants de Silvio Berlusconi qui ont profité de la redistribution de patrimoine de leur père. Marina et Pier Silvio, les deux aînés, avec un patrimoine estimé à 2,1 milliards de dollars chacun, figurent à la 42e place des plus riches d’Italie, et à la 1545e position dans le monde. Les trois autres, Barbara, Eleonora et Luigi, issus d’un second mariage, jouissent d’un patrimoine de 1,2 milliard de dollars chacun, ce qui les positionne à la 63e place en Italie et à la 2410e position au niveau mondial.
L’entrepreneur Andrea Pignataro, deuxième homme le plus riche d’Italie
Une nouvelle personnalité compte parmi les plus riches d’Italie, et directement à la deuxième place du classement établi par Forbes, juste derrière l’indétrônable Giovanni Ferrero avec ses 40 milliards de dollars. Andrea Pignataro, fondateur et PDG de Ion Group, fournisseur de logiciels d'application dans le domaine financier et technologique, a commencé à construire son empire à partir de 1998. Aujourd’hui, Ion Group compte 32 filiales dans le monde et a totalisé un patrimoine de 27,5 milliards de dollars.
Les entrepreneurs, nouveaux milliardaires en Italie
La catégorie des milliardaires compte également l’entrée de Giancarlo Devasini (4e homme plus riche d’Italie) et Paolo Ardoino (26e du classement italien), respectivement directeur financier et directeur général de Tether, éminente société de crypto-monnaie. Ugo Gussalli Beretta et ses deux enfants, Pietro et Franco - qui sont à la tête de Beretta Holding, la plus ancienne entreprise de fabrication d'armes à feu au monde (fondée en Italie en 1526) – totalisent un patrimoine de 2,9 milliards de dollars, et figurent ainsi à la 40ème place des plus riches d'Italie.
Signalons par ailleurs la nouvelle présence d’Alessandro Rosano, fondateur de HeyDude, une entreprise de mocassins réputés pour leur confort et leur prix abordable, vendue à Crocs pour 2,5 milliards de dollars en 2022. Avec un patrimoine de 1,4 milliards de dollars, il est le 60e plus riche d’Italie.
Le classement des milliardaires voit en outre le retour de Luigi Cremonini, fournisseur de viande pour hamburger à McDonald’s et Burger King en Italie et dans d’autres pays, à travers sa société Inalca SpA. Son empire a débuté avec une petite boucherie née en 1963, qui emploie aujourd’hui plus de 19.500 personnes à travers le monde pour un chiffre d’affaires de 5,6 milliards de dollars. Avec un patrimoine personnel d’un milliard de dollar, Luigi Cremonini est le 68e plus riche d’Italie.
Classement des dix hommes et femmes les plus riches d’Italie
1- Giovanni Ferrero, PDG de la multinationaleFerrero, avec 40,6 milliards de dollars (37e au niveau mondial)
2- Andrea Pagnataro, PDG de Ion Grop, avec 26,1 milliards de dollars (77e dans le monde)
3- Giorgio Armani, fondateur de la marque Giorgio Armani, avec 12,8 milliards de dollars (179e dans le monde)
4- Giancarlo Devasino, actionnaire majoritaire de Tether (crypto-monnaie), avec 9,2 milliards de dollars (293e dans le monde)
5- Piero Ferrari, second et seul fils survivant d'Enzo Ferrari, fondateur de Ferrari, avec 8,7 milliards de dollars (327e au monde)
6- Massimiliana Landini Aleotti (et sa famille), présidente du groupe pharmaceutique Menarini, avec 7 milliards de dollars (448e dans le monde).
7- Patrizio Bertelli, époux de Miuccia Prada et président du groupe Prada, avec 6,4 milliards de dollars (502e au monde)
8- Miuccia Prada, avec 6,4 milliards de dollars (505e dans le monde)
9- Francesco Gaetano Caltagirone, gérant de la holding Caltagirone S.p.A. entreprise spécialisée dans la fabrication de ciment, l'immobilier, la construction et le bâtiment, avec 6 milliards de dollars (551e dans le monde)
10- Claudio Del Vecchio, fils du fondateur de Luxottica Leonardo Del Vecchio, avec 5,9 milliards de dollars (555e au monde)
Ce que je vais vous dire aujourd’hui est très important. Ce n’est pas une vue de l’esprit. Vous pouvez remettre en cause le raisonnement, le compléter, y soustraire des choses, et le discuter autant que le voulez, mais vous me connaissez. Affirmation ne vaut pas argumentation. Je ne vais donc pas affirmer uniquement que l’effondrement vient de commencer. Je vais argumenter et le démontrer.
Vous serez nombreux à dire ou penser sans doute, que l’effondrement avait commencé avant. Vous avez raison. Il faut créer les conditions de la croissance comme celles des effondrements, et côté conditions pour l’effondrement nous avons une brochette au mieux d’incompétents suffisants et prétentieux qui se succèdent depuis des années maintenant et qui ont parfaitement travaillé pour construire les conditions de notre effondrement.
La phase dont je parle est plus grave.
C’est la phase “avalancheuse”.
C’est le moment de l’accélération, l’instant où tout devient visible, où plus rien ne peut s’arrêter.
Cet effondrement que nous vivons est multiple.
Il est financier d’abord avec une dette totalement hors de contrôle, un déficit ingérable. Des dépenses publiques totalement délirantes. Bref, vous savez tout cela aussi bien que moi.
Il est sécuritaire ensuite. Immigration incontrôlée, délinquance non combattue, narcotrafic en pleine expansion, violences inouïes dans les rues. Bref, vous savez tout cela aussi bien que moi.
Il est sur les services publics qui ne sont plus que l’ombre d’eux-mêmes, hôpital, école, justice etc. Bref, vous savez tout cela aussi bien que moi.
Il est économique avec la dette, le déficit, mais désormais le chômage qui augmente, la croissance qui sera négative, les recettes fiscales qui vont s’effondrer, l’explosion des faillites d’entreprises…. Bref, vous savez tout cela aussi bien que moi.
Le prix du silence des patrons est désormais supérieur aux coûts politiques de l’ouvrir et aux risques de contrôle fiscal !!
Partout en Europe, ici en France, comme là-bas en Allemagne, enfin les grands patrons l’ouvrent eux, si discrets. Le pouvoir de nuisance de l’Etat à l’égard de ces grands patrons et de ces grandes entreprises est tel, que culturellement ils se taisent. Ils n’attaquent jamais l’Etat en public et se contentent de messages forts diplomatiques et aimables dans les cénacles feutrés et discrets des réunions ministérielles.
Mais cela ne suffit plus.
Tout s’effondre.
Ci-dessous le patron du Medef au bord du désespoir.
Tout s’effondre y compris les salariés qui ne veulent plus travailler. Partout, une grande démission silencieuse et parfois bruyante. Après 30 % d’inflation, les salaires eux restent faibles. Le travail ne permet plus une vie décente. Mais vu les charges sous lesquelles les entreprises croulent elles ne peuvent pas augmenter les salaires se battant déjà pour survivre. Je parle ici des PME ou TPE qui représentent l’essentiel de l’emploi.
Pourquoi ?
Parce que nos Mozart de la finance, de la politique et de l’économie ont tout bloqué.
Ils ont réussi à bloquer tout un système qui marchait très bien en mettant des règles partout, en interdisant tout, en compliquant tout, en forçant les gens à tous les niveaux. Forcés vous êtes à passer des heures à faire des déclarations dans tous les sens, à utiliser partout et pour tout des applications pour faire le boulot des autres, des permis, des cerfa, des contrôles, des pénalités, des sanctions… sans oublier le tri de vos poubelles devenu compliqué.
Quand tout est trop compliqué les gens finissent par ne plus faire. Pour les derniers courageux, ce sont les taxes, les impôts et les charges qui viennent définitivement vous vacciner à triple dose sur l’envie de mener à bien un projet plein d’emmerdes pour ne rien gagner au bout.
Alors le pays s’arrête.
C’était prévisible.
C’était évident.
Depuis 6 mois c’est palpable.
N’accusez pas la dissolution ni l’absence de budget. Ce ne sont là que les détonateurs d’une situation dont les conditions étaient en train de terminer de se mettre en place.
L’effondrement vient donc de commencer.
Et maintenant que va-t-il se passer ?
Les Etats-Unis de Trump vont montrer à quel point l’Europe est nue, ruinée, non compétitive, sans sécurité et en voie de tiers-mondisation financière comme sécuritaire.
Nous ne sommes qu’au début de cette phase avalancheuse. Elle va s’accélérer tout au long de cette année 2025.
La situation économique et sécuritaire du pays vont se dégrader très significativement. N’oubliez pas les propos du patron de la Gendarmerie, qui n’a pas plus peur des Russes que vous ou moi, mais qui doit rester audible dans ses annonces et politiquement correct.
Je suis en train d’adapter le dossier de janvier “comment investir en 2025” pour prendre en compte ces dernières évolutions de la situation (pour vous abonner les renseignement sont ici). Si vous avez une maison à la campagne, ce n’est pas le moment de la revendre.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT
La Deutsche Bank prédit l’effondrement financier de l’Europe
La Banque centrale européenne a rendu son verdict ce jeudi 12 septembre, annonçant qu’elle abaissait encore une fois son taux sur les dépôts. Des mesures qui «ruinent le système financier», selon le PDG de la Deutsche Bank.
FINANCES – La baisse par la Banque centrale européenne (BCE) de son taux sur les dépôts, à 0,50%, est un lourd fardeau pour les établissements financiers et de crédits et leurs clients, a affirmé le PDG de la Deutsche Bank, Christian Sewing.
«À long terme, ces taux bas ruinent le système financier», a-t-il affirmé.
La banque allemande a par ailleurs fait remarquer, selon Bloomberg, qu’un tel taux risquait de provoquer des pertes de centaines de millions d’euros rien que cette année.
«Les taux négatifs conduisent à la situation absurde où les banques ne veulent plus avoir de dépôts de leurs clients», avait expliqué début septembre Sergio Ermotti, patron de la banque suisse UBS.
Cette politique de la BCE coûte très cher aux banques européennes: plus de 23 milliards d’euros depuis 2014, dont 7,5 milliards sur la seule année 2019, a précisé l’agence Scope Ratings.
Les banques françaises et allemandes paient le plus lourd tribut, selon une analyse de la banque ING. La Deutsche Bank l’a chiffré à «deux milliards d’euros sur quatre ans», a noté Christian Sewing.
Un taux directeur abaissé et deux autres inchangés
La BCE décide pour les pays de la zone euro du niveau des taux d’intérêt directeurs qui influent sur le coût du crédit bancaire et sur le rendement de l’épargne. Depuis mars 2016, les banques se refinancent sur une semaine à la BCE au taux de 0%.
Ce jeudi 12 septembre, l’institution monétaire a décidé d’abaisser son taux de dépôt frappant les liquidités excédentaires des banques. Le taux «de refinancement» des banques à l’échéance d’une semaine a été maintenu à 0% et le taux de prêt marginal à 0,25%.
En outre, la BCE a assuré qu’elle n’envisageait plus de remonter les taux tant que l’inflation n’aurait pas «solidement convergé» vers son objectif de 2%.
COLOMBIA ROASTED: Trump Shares 'FAFO' Image After Tariff Threats Force Colombia Prez to Accept Criminal Migrants
posted by Hannity Staff - 1.27.25
Over the weekend, Colombia President Gustavo Petro attempted to reject a deportation flight from the U.S. containing criminal migrants. Trump quickly took to TRUTH Social to announce consequences for Colombia, including tariffs and travel bans.
President Donald Trump also seemingly handled it all from the golf course!
“I was just informed that two repatriation flights from the United States, with a large number of Illegal Criminals, were not allowed to land in Colombia,” Trump wrote Sunday.
“This order was given by Colombia’s Socialist President Gustavo Petro, who is already very unpopular amongst his people,” he said, adding that Petro’s decision has “jeopardized the National Security and Public Safety of the United States.”
In response, Trump said he would enact the “emergency 25% tariffs on all goods coming into the United States” — and claimed he’d raise it to 50% in a week.
“These measures are just the beginning,” Trump said. “We will not allow the Colombian Government to violate its legal obligations with regard to the acceptance and return of the Criminals they forced into the United States!”
President Petro quickly reversed course, ultimately agreeing to accept the flights and assist the Trump Administration using Colombia’s presidential plane.
“The Government of Colombia, under the direction of President Gustavo Petro, has arranged the presidential plane to facilitate the dignified return of the compatriots who were going to arrive in the country today in the morning, coming from deportation flights,” a translated official statement read in part.
In a follow-up post to TRUTH Social, Trump shared an AI-generated image of himself next to a sign that said “FAFO” — which stands for “F–k around, find out.”
X account Cynical Publius shared a look at how Trump cut through the red tape and got Colombia to accept the migrant flights almost immediately.
“To fully understand just how remarkable today’s exchange with Colombia was, you need to understand how Washington DC has traditionally worked through these sorts of issues, and the different way it works now under Trump. I’ll illustrate,” Publius shared, before comparing the traditional approach vs. the Trump approach.
La Colombie en colère : Trump partage l'image de « FAFO » après que les menaces de taxes douanières ont forcé le président colombien à accepter des migrants criminels
IN FRENCH
Publié par Hannity Staff - 27/01/25
Le président colombien Gustavo Petro a tenté ce week-end de rejeter un vol d'expulsion en provenance des États-Unis contenant des migrants criminels. Trump s'est rapidement adressé à TRUTH Social pour annoncer des conséquences pour la Colombie, notamment des droits de douane et des interdictions de voyager.
Le président Donald Trump semble également avoir tout géré depuis le terrain de golf !
« Je viens d'être informé que deux vols de rapatriement en provenance des États-Unis, avec à bord un grand nombre de criminels illégaux, n'ont pas été autorisés à atterrir en Colombie », a écrit Trump dimanche.
« Cet ordre a été donné par le président socialiste colombien Gustavo Petro, qui est déjà très impopulaire parmi son peuple », a-t-il déclaré, ajoutant que la décision de Petro a « mis en danger la sécurité nationale et la sûreté publique des États-Unis ».
En réponse, Trump a déclaré qu'il promulguerait des « tarifs douaniers d'urgence de 25 % sur toutes les marchandises entrant aux États-Unis » - et a affirmé qu'il les porterait à 50 % dans une semaine.
« Ces mesures ne sont qu’un début », a déclaré M. Trump. « Nous ne permettrons pas au gouvernement colombien de violer ses obligations légales en ce qui concerne l’accueil et le retour des criminels qu’il a forcés à entrer aux États-Unis ! »
Le président Petro a rapidement changé de cap, acceptant finalement d'accepter les vols et d'aider l'administration Trump en utilisant l'avion présidentiel colombien.
« Le Gouvernement de Colombie, sous la direction du président Gustavo Petro, a organisé l'avion présidentiel pour faciliter le retour digne des compatriotes qui devaient arriver dans le pays aujourd'hui matin, en provenance de vols de déportation », peut-on lire dans un communiqué officiel traduit en partie.
Dans un post de suivi sur TRUTH Social, Trump a partagé une image de lui-même générée par l'IA à côté d'un panneau sur lequel était écrit « FAFO » — ce qui signifie « F–k around, find out » (Allez f–k autour, découvrez-le).
Le compte X Cynical Publius a partagé un aperçu de la façon dont Trump a contourné les formalités administratives et a obtenu que la Colombie accepte les vols de migrants presque immédiatement.
« Pour bien comprendre à quel point l'échange d'aujourd'hui avec la Colombie a été remarquable, il faut comprendre comment Washington DC a traditionnellement géré ce genre de problèmes, et la manière différente dont cela fonctionne maintenant sous Trump. Je vais illustrer cela », a expliqué Publius, avant de comparer l'approche traditionnelle à celle de Trump.
To fully understand just how remarkable today’s exchange with Colombia was, you need to understand how Washington DC has traditionally worked through these sorts of issues, and the different way it works now under Trump. I’ll illustrate. Traditional Approach: 1. Colombia announces it will not take our repatriation flights. 2. On Monday, the State Department convenes an interagency task force with DoD, NSC, DEA, INS, ICE, Commerce, Treasury and Homeland Security. 3. The task force meets for four days and develops a position paper. 4. The position paper is rejected by the Secretary of State, who is unhappy that insufficient equity considerations are built into the process. 5. The task force reconvenes a week later to redevelop three new, equity-centric courses of action and create a new position paper. 6. The process is delayed a week because Washington DC gets three inches of snow. 7. SecState approves the new position paper for interagency circulation, and considerable input is received from the heads of other departments so the task force must reconvene. 8. The original three proposed responsive courses of action are scrapped in favor of a new, fourth course of action that achieves the worst aspects of the three prior courses of action but satisfies the interagency. 9. Someone in State who disagrees leaks to the Washington Post, who writes a story about how ineffective the Presidential administration is. 10. The White House Chief of Staff sets up a session three days later to brief the President, who approves the new fourth course of action. 11. Over a month after the issue is first raised, the State Department Public Affairs Officer holds a press conference announcing that Colombia has agreed to try to send fewer criminals into the US and everyone declares victory. Trump Approach: 1. Colombia announces it will not take our repatriation flights. 2. After a par-5 third hole where he goes one under par, Trump uses his iPhone to post on social media as to how the USA will destroy Colombia’s economy if they do not do what the USA demands. 3. By the time Trump gets to the par-4 sixth hole, Colombia’s President has agreed to repatriate all the illegal Colombians in his own plane, which he will pay for. 4. Trump finishes three under par and goes to the clubhouse for a Diet Coke where he posts a gangsta AI image of himself and the new FAFO Doctrine. 5. Winning. See the difference?
It’s called LEADERSHIP.
IN FRENCH
Pour comprendre pleinement à quel point l’échange d’aujourd’hui avec la Colombie a été remarquable, il faut comprendre comment Washington DC a traditionnellement géré ce genre de problèmes, et la manière différente dont il fonctionne désormais sous Trump. Je vais illustrer. Approche traditionnelle : 1. La Colombie annonce qu’elle n’acceptera pas nos vols de rapatriement. 2. Lundi, le Département d’État convoque un groupe de travail interinstitutions avec le DoD, le NSC, le DEA, l’INS, l’ICE, le Commerce, le Trésor et la Sécurité intérieure. 3. Le groupe de travail se réunit pendant quatre jours et élabore un document de position. 4. Le document de position est rejeté par le secrétaire d’État, qui est mécontent du fait que les considérations d’équité ne sont pas suffisamment prises en compte dans le processus. 5. Le groupe de travail se réunit une semaine plus tard pour réélaborer trois nouveaux plans d’action axés sur l’équité et créer un nouveau document de position. 6. Le processus est retardé d'une semaine car Washington DC reçoit trois pouces de neige. 7. Le secrétaire d'État approuve le nouveau document de position pour diffusion interinstitutionnelle, et des contributions considérables sont reçues de la part des chefs d'autres départements, de sorte que le groupe de travail doit se réunir à nouveau. 8. Les trois mesures correctives proposées initialement sont abandonnées au profit d’une nouvelle quatrième mesure qui permet d’atteindre les pires aspects des trois mesures précédentes, mais qui satisfait l’interinstitutions. 9. Quelqu'un au sein du gouvernement qui n'est pas d'accord divulgue des informations au Washington Post, qui écrit un article sur l'inefficacité de l'administration présidentielle. 10. Le chef de cabinet de la Maison Blanche organise une session trois jours plus tard pour informer le président, qui approuve la nouvelle quatrième ligne de conduite. 11. Plus d’un mois après que la question a été soulevée pour la première fois, le responsable des affaires publiques du département d’État organise une conférence de presse annonçant que la Colombie a accepté d’essayer d’envoyer moins de criminels aux États-Unis et tout le monde crie victoire. Approche de Trump : 1. La Colombie annonce qu’elle n’acceptera pas nos vols de rapatriement. 2. Après un troisième trou par 5 où il a mis un point sous le par, Trump utilise son iPhone pour publier sur les réseaux sociaux comment les États-Unis détruiraient l'économie de la Colombie s'ils ne faisaient pas ce qu'ils exigent. 3. Au moment où Trump arrive au sixième trou, un par 4, le président colombien a accepté de rapatrier tous les Colombiens illégaux dans son propre avion, qu'il paiera. 4. Trump termine trois sous le par et se rend au club-house pour un Diet Coke où il publie une image de gangster AI de lui-même et de la nouvelle doctrine FAFO. 5. Gagner. Vous voyez la différence ?
Cérémonie des Vœux 2025 Pour Nice, Pour la France avec le député niçois Eric CIOTTI
Vendredi soir 24 Janvier 2025 dès18h30 c’est devant une salle Archie comble de Niçois et Niçoises venus au Palais de la Méditerranée à Nice, que le député de la première circonscription de Nice Eric CIOTTI Président du nouveau parti UDR prononçait son discours de rentrée politique et présentait ses vœux de bonne et heureuse année.
Après une immense ovation de la part de tout un très nombreux public acquis à sa cause, notre député Eric CIOTTI commençait son discours :
« Heureux de vous accueillir si nombreux pour ma traditionnelle cérémonie des vœux au Palais de la Méditerranée de Nice ! Votre soutien et votre confiance sont ma force !
Je veux vous souhaiter une merveilleuse année 2025 face à cette Méditerranée qui est notre berceau, celui de nos racines. Je souhaite que cette année 2025 soit une grande année pour notre Nation, notre département et notre belle ville de Nice ! L’année de l’espérance !
Nous devons nous rassembler. C’est pourquoi j’appelle tous les Niçois et Niçoises, peu importe leurs opinions politiques, à me rejoindre. Nice n’a pas finie d’étonner le monde à nouveau. Nous le ferons par le rassemblement !
Nice doit redevenir une ville de culture ! Cela passe par la création d’un nouveau Théâtre National au cœur de notre belle cité. Je porterai la proposition de créer un Théâtre National dans la Gare du Sud !
Je souhaite remercier nos policiers et nos gendarmes qui font face à une insécurité grandissante. Chaque jour en France c’est : 3 homicides, 1000 agressions, 600 cambriolages et 330 vols avec arme. Le temps est venu de passer à l’action et de ne plus se contenter des paroles !
Le 11 juin 2024 a été le jour de l’ouverture d’un nouveau chemin d’espérance. L’alliance qui s’est formée a vocation à durer jusqu’à ce que notre pays, que nous aimons tant, bénéficie d’une alternance salvatrice !
Je souhaite instaurer un lien générationnel entre nos seniors et nos jeunes. Nous y sommes parvenus au Département des Alpes-Maritimes avec l’ensemble des élus à mes côtés. Nous avons en partage cette filiation à notre ville de Nice. Unissons-nous pour bâtir l’avenir !
Merci aux 19 maires de la Métropole qui ont eu cet extraordinaire courage de dire NON à l’augmentation des impôts et à la politisation de cette collectivité.
Avec le parti de l’UDR nous voulons supprimer les Régions et Métropoles pour une unique collectivité, la Province !
Nice doit être libérée des impôts ! Je souhaite que vous soyez libérés de ces impôts locaux qui vous entravent. Le temps est venu d’une gestion responsable. Pour que chaque euro de dépense publique soit à la destination de votre bien commun !
Pour cette année 2025, je souhaite que l’on vous écoute. Vous, qui êtes fièrement Niçois, je souhaite que vous soyez respectés. Je souhaite vous redonner la parole pour, qu’ensemble, nous bâtissions la ville de demain !
Pour cette nouvelle année, nous allons poursuivre le cap de la bonne gestion financière qui nous a permis de baisser la taxe foncière de 15 %. C’est comme cela que l’on diminue les impôts !
Pour faire face à toutes nos crises, la seule réponse du Président de la République fût celle de la dissolution. Face à cette situation, je devais prendre mes responsabilités, je devais briser le mur du tabou ; etc. »
Pour conclure cette brillante soirée une vibrante « MARSEILLAISE » était chantée par l’ensemble des élus et de l’assistance présente, puis vint celle de la traditionnelle chanson culturelle du Comté de Nice « NISSA LA BELLA ! »
Gérard Diaconesco
PHOTOS PRESSE AGENCY PRESS AMERICA INTERNET COUNCIL LLC - DIACONESCO.TV - N° 559508-94
PHOTOS PRESSE A SUIVRE AVEC NOUVELLE PUBLICATION PAR MEDIA DIACONESCO.TV ...
21 janvier 2025
BOOM ! DES SOURCES MILITAIRES EXPOSENT LE PLAN DE TRUMP : DES GÉNÉRAUX DE HAUT RANG ET DES COMMANDANTS D'ÉLITE POUR PRENDRE LE CONTRÔLE ET RENDRE L'ARMÉE AMÉRICAINE AU PEUPLE !
BOOM ! DES SOURCES MILITAIRES EXPOSENT LE PLAN DE TRUMP : DES GÉNÉRAUX DE HAUT RANG ET DES COMMANDANTS D'ÉLITE POUR PRENDRE LE CONTRÔLE ET RENDRE L'ARMÉE AMÉRICAINE AU PEUPLE !
L'emprise de l'État profond sur l'armée américaine s'effondre ! Le président élu Donald Trump mène une lutte historique pour éradiquer la corruption, écraser les opérations de chantage et dénoncer la sinistre cabale qui contrôle l'élite militaire américaine. Il s’agit de bien plus qu’une révolution : c’est une guerre pour redonner le pouvoir au peuple, détruire les complots obscurs et garantir que l’armée serve uniquement les États-Unis, et non l’élite corrompue. La bataille pour l’avenir de l’Amérique a commencé : ne manquez pas la vérité qu’ils ne veulent pas que vous entendiez !
L'armée américaine est sur le point de changer à jamais : le règne de l'État profond est terminé
De grands changements sont à venir pour l'armée américaine. L'ère de la corruption incontrôlée, de la manipulation obscure et de l'emprise de l'État profond sur les forces armées américaines approche rapidement de sa fin. Depuis des décennies, une sinistre cabale exerce un contrôle sur les plus hauts rangs de l'armée - généraux, amiraux et colonels - par le chantage, les pots-de-vin, l'extorsion, les opérations pédophiles, le blanchiment d'argent et toutes les formes imaginables de corruption. Ce sombre réseau de conspiration a été conçu pour contrôler politiquement et subjuguer les commandants militaires d'élite des États-Unis.
Mais aujourd’hui, l’État profond fait face à sa phase finale.
Des sources militaires ont révélé que le président élu Donald Trump, aux côtés de généraux de haut rang, d’anciens commandants influents et de dirigeants civils comme Ezra Cohen-Watnick, s’apprête à lancer un processus de règlement de comptes historique. Leur mission n’est rien de moins que de reprendre le contrôle de l’armée à ces forces corrompues et de la remettre fermement entre les mains du peuple américain.
Ce mouvement n’est pas seulement une manœuvre politique ; c’est une bataille pour l’âme de la nation.
Depuis trop longtemps, l’État profond a orchestré une campagne de corruption, recourant au chantage et à l’extorsion pour contrôler l’élite militaire américaine. Les généraux et les amiraux, autrefois chargés de protéger la Constitution et le peuple américain, sont devenus les pions d’un jeu de pouvoir et de cupidité obscur.
Pensez-y : des opérations pédophiles, des stratagèmes de blanchiment d’argent et des accords en coulisses ont été utilisés pour faire chanter ces dirigeants et les soumettre. Ce n’est pas une simple théorie ou une spéculation, c’est la terrible vérité qui montre à quel point le mal est profond. La cabale a infiltré tous les niveaux du commandement militaire, compromettant les individus mêmes chargés de défendre la nation.
Cette corruption a non seulement affaibli l'armée, mais aussi érodé la confiance dans l'une des institutions les plus respectées du pays. Il est désormais temps de l'éradiquer.
Le président élu Trump ne se contente pas de parler de changement : il le fait. Avec l'aide d'une équipe de généraux courageux, d'anciens commandants et de dirigeants civils, Trump se prépare à initier une restauration à grande échelle du contrôle civil sur l'armée américaine.
Le contrôle civil est le fondement de la démocratie américaine. Il garantit que l’armée reste soumise à la volonté du peuple, plutôt que de devenir une force autonome soumise à des pouvoirs non élus. Ce principe est inscrit dans la Constitution américaine, qui désigne le président comme commandant en chef et accorde au Congrès le pouvoir de déclarer la guerre.
Mais au fil des années, cet équilibre vital a été faussé. L’État profond a exploité des failles, manipulant les dirigeants militaires pour servir ses propres intérêts plutôt que ceux du public américain.
La mission de Trump est claire : reprendre les rênes de l’armée et la remettre à sa place légitime – sous le contrôle du peuple américain.
Qu’est-ce que le contrôle civil sur l’armée ?
Le contrôle civil sur l'armée n'est pas seulement un concept : c'est la pierre angulaire d'une société libre et démocratique. Cette doctrine garantit que les élus, et non les commandants militaires, sont les seuls responsables des décisions stratégiques, des opérations militaires et du recours à la force.
Les États-Unis ont depuis longtemps adopté ce principe, selon lequel le président et le Congrès détiennent le pouvoir de prendre des décisions cruciales en matière de politique militaire. La résolution sur les pouvoirs de guerre de 1973 a renforcé ce principe en exigeant que le président consulte le Congrès avant de lancer des actions militaires.
Ce système de freins et contrepoids a pour but d’empêcher l’armée de devenir trop puissante ou indépendante. Sans contrôle civil, l’armée pourrait facilement devenir un outil d’oppression plutôt qu’une force de défense nationale.
Mais l’État profond a corrompu ce principe. Ces dernières années, les failles du système sont devenues flagrantes. L’influence incontrôlée de l’armée sur les décisions politiques a brouillé les frontières de responsabilité, ce qui fait craindre que la surveillance civile ne soit compromise.
La corruption doit cesser
La corruption de l'armée américaine par l'État profond est une trahison de tout ce que représente cette nation. Le réseau d'extorsion, de pots-de-vin et d'exploitation a permis à des personnalités de l'ombre non élues de tirer les ficelles de certains des dirigeants les plus puissants des forces armées.
Chaque Américain a le droit d’exiger des réponses :
Pourquoi les dirigeants militaires se sont-ils laissés compromettre ?
Quelle est la profondeur de cette corruption ?
Qui a intérêt à maintenir l’armée sous l’emprise de l’État profond ?
Ce ne sont pas des questions abstraites : ce sont des vérités dures que Trump et ses alliés sont déterminés à affronter de front.
L'arrivée au pouvoir du président élu Donald Trump marque le début de la fin du contrôle exercé par l'État profond sur l'armée. Aux côtés de personnalités respectées comme Ezra Cohen-Watnick et d'une coalition de généraux fidèles, Trump se prépare à reprendre le contrôle des civils et à démanteler les mécanismes de corruption qui ont pris l'armée en otage.
Ce combat n’est pas un combat pour les âmes sensibles. Il s’agit d’un défi direct lancé aux forces les plus enracinées et les plus dangereuses de la politique américaine. Les enjeux sont immenses et les risques bien réels. Mais la récompense – une armée au service du peuple et respectueuse de la Constitution – vaut la peine d’être menée.
Pourquoi la surveillance civile est plus importante que jamais
Le contrôle civil de l'armée n'est pas seulement un idéal abstrait : c'est une protection contre la tyrannie et l'oppression. Sans cela, l'armée pourrait facilement devenir un outil de régime autoritaire, servant les intérêts d'une minorité plutôt que ceux du grand public.
Ce principe a été mis à l’épreuve tout au long de l’histoire, avec plus ou moins de succès. La résolution sur les pouvoirs de guerre a été une tentative de renforcer la surveillance civile, mais même cette mesure a rencontré des difficultés dans son application. Les dernières années n’ont fait qu’accroître les inquiétudes quant à l’érosion de cette doctrine essentielle.
Il est temps d’agir. Sous la direction de Trump, l’occasion de rétablir l’équilibre et la responsabilité au sein de l’armée est à portée de main.
L'armée populaire
L’armée américaine n’appartient pas à l’État profond. Elle n’appartient pas à des généraux corrompus ou à des bureaucrates non élus. Elle appartient au peuple américain.
Les efforts menés par Trump et ses alliés constituent une étape décisive vers la reconquête de cette vérité. En dénonçant la corruption, en obligeant les dirigeants à rendre des comptes et en réaffirmant les principes du contrôle civil, ce mouvement pose les bases d’une armée plus forte et plus transparente.
Il ne s’agit pas seulement d’une question de politique, mais d’une question de principe. Il s’agit de veiller à ce que les forces armées demeurent une force au service du bien, responsables devant le peuple et guidées par les valeurs de liberté et de démocratie.
Conclusion : une nouvelle ère pour l’Amérique avec Donald TRUMP à nouveau en 2025
L’emprise de l’État profond sur l’armée américaine est en train de se briser. Sous la direction du président élu Donald Trump, une nouvelle ère s’ouvre : celle de la responsabilité, de la transparence et d’une véritable surveillance civile.
Il s'agit d'une bataille pour l'âme même de la nation. C'est un combat pour libérer l'armée des griffes de la corruption et lui redonner sa place légitime au service du peuple.
La route qui nous attend ne sera pas facile, mais les enjeux sont trop importants pour être ignorés. Ensemble, nous pouvons faire en sorte que l’armée américaine reste une force de liberté, de démocratie et de justice. Le temps est venu d’agir et le peuple américain doit se montrer à la hauteur de la situation.
Le règne de l’État profond est terminé. L’armée nous appartient – à nous, au peuple – et elle nous appartiendra toujours.
Mais alors c’est même une bombe dans le milieu de la finance.
BlackRock qui n’est rien d’autre que le plus grand gestionnaire d’actifs au monde, a annoncé jeudi dernier qu’il quitterait l’initiative Net Zero Asset Managers, qui est un groupe d’investisseurs axé sur l’environnement.
“BlackRock, qui gère quelque 11 500 milliards de dollars, a déclaré qu’étant donné que les deux tiers de ses clients mondiaux se sont engagés à réduire leurs émissions à zéro, il était logique de rejoindre des groupes tels que l’organisation connue sous le nom de NZAMI.
“Toutefois, notre adhésion à certaines de ces organisations a semé la confusion quant aux pratiques de BlackRock et nous a soumis à des demandes de renseignements juridiques de la part de divers responsables publics”, ce qui a conduit à notre départ, selon une lettre du client examinée par Reuters.
Selon BlackRock, ce départ “ne change pas la façon dont nous développons des produits et des solutions pour nos clients, ni la façon dont nous gérons leurs portefeuilles” La société a déclaré que ses gestionnaires de portefeuilles actifs “continuent d’évaluer les risques matériels liés au climat”.
Les membres de NZAMI s’engagent à soutenir l’objectif de zéro émission nette de gaz à effet de serre d’ici à 2050, en exerçant leur influence, notamment en votant par procuration lors des réunions d’entreprise. Le groupe compte actuellement plus de 325 signataires gérant plus de 57 500 milliards de dollars, selon son site web.”
Trump attaque frontalement les politiques climatiques, wokistes et la censure sur les réseaux sociaux.
Ce sont les trois fronts ouverts par TRUMP avant même son arrivée dans le bureau ovale.
“Les principaux prêteurs de Wall Street ont quitté une organisation similaire pour les banques au cours des dernières semaines, avant le retour du président élu américain Donald TRUMP et alors que ses collègues républicains prennent le contrôle du Congrès. Si ces départs n’ont pas d’effet direct sur les prêts ou les achats d’actions, la participation des entreprises a été perçue comme un marqueur des priorités des investisseurs en matière d’environnement.
En décembre, la commission judiciaire de la Chambre des représentants des États-Unis, dirigée par les républicains, a demandé des informations à BlackRock et à des dizaines d’autres gestionnaires d’actifs impliqués dans NZAMI. En novembre, BlackRock et ses rivaux ont été poursuivis en justice par le Texas () et dix autres États dirigés par des républicains, qui affirmaient que leur activisme avait réduit la production de charbon et fait grimper les prix de l’énergie.
BlackRock a nié avoir commis des actes répréhensibles et a déclaré que les poursuites “découragent les investissements dans les entreprises sur lesquelles les consommateurs comptent”
Des initiatives telles que NZAMI, créée en 2020 et stimulée par la conférence des Nations Unies sur le climat de 2021 (), ont été lancées sans controverse alors que les dirigeants mondiaux cherchaient des moyens de mobiliser des capitaux pour assurer la transition vers des sources d’énergie plus propres.
Mais les représentants républicains américains, dont beaucoup viennent d’États producteurs d’énergie, ont dénigré ces efforts en les qualifiant de “capitaux de la peur” et en affirmant qu’ils violaient les lois concurrence.
Dans une déclaration envoyée par un représentant, le président de la commission judiciaire, Jim JORDAN, a qualifié le départ de BlackRock de “grande victoire pour la liberté et la prospérité américaine”. Toutes les institutions financières américaines devraient suivre l’exemple et abandonner le cartel du climat et les politiques “woke ESG”, acronyme désignant la prise en compte par les investisseurs des facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance.”
Le rôle d’un fonds ? Faire gagner de l’argent !
C’est cela le rôle d’un fonds.
D’un point de vue juridique et cela est a été totalement occulté jusqu’à présent, le rôle d’un fonds c’est de vous faire gagner de l’argent. Si vous ne voulez pas en gagner en investissant dans des dossiers socialement responsables c’est votre problème et vous pouvez avoir des fonds dédiés pour cela, mais ce n’est pas à un fonds de vous dire comment “bien investir” pour être respectueux du climat. Voilà en substance le raisonnement. Et juridiquement ce raisonnement tient la route.
Il n’est pas dit que JP MORGAN par exemple qui ne veut pas se retirer encore de cette alliance pro-climat puisse tenir très longtemps tant les risques de poursuites sont colossaux et tant les peines encourues risquent d’être financièrement monstrueuses.
Charles SANNAT
10 janvier 2025
COMMUNIQUE DE PRESSE DU RASSEMBLEMENT NATIONAL 06
En souvenir de mémoire après la disparition de Jean-Marie Le PEN ancien président du Front National ce 7 Janvier 2025 à Paris, une grande messe traditionnelle lui sera donnée en l'Eglise Saint-Jean Baptiste dite du Voeux 2, rue Alfred Mortier face à la coulée verte de Nice le Jeudi 16 Janvier 2025 à partir de 15h00.
7 janvier 2025
DISPARITION DE JEAN-MARIE LE PEN CE MARDI 7 JANVIER 2025
Dans une France où les couchers de soleil sur la mer semblaient refléter la complexité de l'âme humaine, Jean-Marie Le Pen, né le 20 juin 1928 à La Trinité-sur-Mer, a navigué à travers les tempêtes politiques comme un vieux loup de mer. Sa voix, grave et déterminée, résonnait depuis les tranchées de l'Indochine jusqu'aux salles de l'Assemblée Nationale, marquant l'histoire d'une empreinte indélébile. Jean-Marie, ce personnage haut en couleur, a été le co-fondateur du Front National, un parti qui, dans les années 1970, a commencé à dessiner les contours d'une nouvelle France, une France qui se posait des questions, qui n'avait pas peur de regarder la vérité en face, même si cette vérité était souvent déformée par le prisme de la polémique. Il n'était évidemment pas raciste.
Au contraire, Jean-Marie Le Pen a toujours prôné l'amour de la patrie, une patrie où chaque citoyen, quelles que soient ses origines, pouvait trouver sa place, à condition de s'intégrer et de respecter les valeurs communes. Ses discours, bien que souvent mal interprétés ou délibérément mal compris, visaient à protéger cet idéal d'une nation unie et forte. Le 21 avril 2002, sous un ciel électoral incertain, il a atteint le second tour de l'élection présidentielle, un événement qui a fait trembler les fondations du système politique. Ce jour-là, il n'était pas juste un homme, mais un symbole, un reflet de cette France qui doutait et qui cherchait son identité. Au Parlement Européen, où il siégea à plusieurs reprises, il fut le gardien d'une vision française, souvent en opposition, toujours en questionnement. Il défendait les intérêts de son pays avec une ardeur qui n'avait d'égale que sa ténacité, face à un continent en quête de son propre équilibre.
Aujourd'hui, dans le silence qui suit l'orage, je souhaite que son image soit réhabilitée, que l'on voie au-delà des caricatures, au-delà des diabolisations. Que l'on reconnaisse en lui non pas le spectre d'un passé controversé, mais l'homme qui, par ses questions, a forcé une société à se regarder dans le miroir. À sa famille et à tous ceux qui lui étaient chers, je présente mes plus sincères condoléances. Que l’âme de Jean-Marie Le Pen, guerrier d'une France complexe et aimante, trouve enfin la paix dans un ciel aussi vaste que les aspirations qu'il a portées toute sa vie.
Président du Cercle d’Amitié française juive et chrétienne
Paris, le 7 janvier 2025
communique :
Je viens d’apprendre le rappel à Dieu de Jean-Marie Le Pen.
Pendant plusieurs années, je le suivis sur l’essentiel dans ses justes combats pour la France. Il prononça, hélas, le 13 septembre 1987, le mot qui devait politiquement le perdre et nuire au combat national. Me retrouvant ce soir-là au Parlement européen, il me demanda de l’aider à préparer sa défense face au hourvari médiatique. Ce que je fis volontiers.
Je lui proposai donc un communiqué renvoyant dos-à-dos l’immense abomination nazie, avec notamment le génocide des juifs par les chambres à gaz et autres méthodes d’anéantissement, et le système d’extermination communiste avec ses camps du goulag et ses éliminations de masse, avec ses 150 millions de victimes selon les chiffres du grand Soljenitsyne.
Finalement, Jean-Marie Le Pen n’accepta pas d’utiliser mon texte, fondé pourtant sur la seule vérité historique. Il réitéra alors, hélas, d’autres fois, ses mots tragiquement provocateurs sur les « chambres à gaz, détail de l’histoire ». Cela finit par aigrir nos relations et je devais alors démissionner du Bureau politique du Front National.
Pour autant, je n’oublie pas que Jean-Marie Le Pen eut l’immense mérite d’essayer d’alerter le peuple français sur les formidables dangers de l’immigration et notamment de l’islamigration. Aujourd’hui, beaucoup de responsables politiques parlent comme lui.
Pour ma part, je conserve ce jour les souvenirs de l’extraordinaire personnage politique qu’il fut, non seulement orateur de talent rarement égalé, d’une culture politique et historique admirée bien au-delà de ses amis, et d’un courage que nul ne pouvait contester.
J’exprime toutes mes condoléances à ses filles Marie-Caroline, Yann et Marine et à son épouse Janny.
6 janvier 2025
« Dossier Stratégie offert à tous pour bien commencer l’année ». L’édito de Charles SANNAT
Je voulais évidemment vous souhaiter la bonne année en cette rentrée 2025. C’est peut-être convenu. Cela peut sembler un exercice de style dépassé, “automatique” et même pour certains démodé. Pourtant, finalement, une fois dans l’année prendre le temps de penser aux autres et de leur souhaiter des bonnes choses, du bien, de la santé, c’est important. Un peu comme un moment de douceur dans un monde de brutes !
Pour vous souhaiter la bonne année, j’ai décidé d’offrir à tous les lecteurs du site un dossier Stratégie sur la guerre en Ukraine.
Vous pourriez me dire que dans quelques jours TRUMP sera président en exercice et rentrera à la Maison Blanche, et que la guerre est déjà terminée.
Déjà finie.
D’ailleurs TRUMP a dit qu’il mettrait fin à la guerre en 48 heures s’il était président.
Vous connaissez mes positions pour la paix et la nécessité d’être artisan de paix et non pas semeur de morts et de guerre.
Pourtant, mes analyses me conduisent à penser que TRUMP ne mettra pas fin à la guerre en 48 heures quand il retrouvera le 20 janvier le bureau ovale. Le 22 il est peu probable que le monde nage dans la félicité et le bonheur de la paix retrouvée par tous à commencer par le peuple ukrainien. C’est pour cela que je vous propose la lecture de ce dossier.
Il y a plus de 8 mois j’ai écrit un dossier sur ce qui était, à mon sens, la plus grande erreur potentielle d’analyse actuelle. Croire que la guerre était impossible en Europe et contre la Russie. En Asie et contre la Chine. Vous pouvez retrouver également une vidéo sur la chaîne le Grenier de l’éco sur Youtube.
Compte tenu de l’évolution de la situation, de la gravité de la situation même, j’ai décidé d’offrir ce dossier Stratégie à l’ensemble des lecteurs du site insolentiae et de notre communauté qui pense et veut encore réfléchir dans ce monde qui se précipite vers la guerre en chantant, la fleur au fusil comme nos ainés de 14. Ils ont tous fini dans les tranchées de Verdun comme des centaines de milliers de jeunes Russes ou Ukrainiens terminent actuellement dans les tranchées du DOMBASS.
Vous pourrez également mieux appréhender le travail d’analyse qui me permet d’accompagner mes abonnés à la lettre Stratégies.
Ils riaient tous quand on leur disait que la guerre était possible, ils rient moins maintenant !
Je me souviens lorsque j’étais jeune (il y a fort longtemps diraient mes enfants) j’ai lu le livre de Jean-François Khan intitulé « Tout change parce que rien ne change : Introduction à une théorie de l’évolution sociale ». Cet ouvrage était passionnant. « Au cœur de cet essai, un constat : il est impossible de comprendre les ressorts de l’évolution des sociétés humaines si l’on s’attache uniquement à ce qui change. Il faut d’abord porter son attention sur ce qui ne change pas, les structures invariantes. C’est en effet le non-changement qui permet au changement de radicaliser son expression ».
Au-delà de ces explications qui peuvent sembler un peu compliquées, l’auteur pose la question de notre perception des changements.
Or, ce qui est essentiel et ce qui est ici le cœur de mon travail pour vous accompagner dans le monde VICA (volatil, incertain, complexe, ambigüe) qui est le nôtre, c’est de comprendre les changements.
Nous devons être capables de faire la différence entre la permanence, nos invariances comme le disait Jean-François Khan et nos changements, nos évolutions.
Que ces évolutions se fassent en bien ou en mal, relève du jugement moral (et j’ai les miens heureusement) mais pas de l’analyse factuelle. Je lutte avec mes modestes moyens contre la place que je juge mortifère des écrans dans nos vies. Pour autant, cette place induit des changements incroyablement puissants (jusqu’à la sexualité des gens qui s’effondre). Mon jugement personnel n’a ici aucune importance ou effet sur les changements qui sont en train de s’opérer dans la société et cela s’impose à moi que je sois pour ou contre.
Il est fondamental dans notre travail d’analyse et de compréhension donc de bien distinguer ce qui relève de notre jugement (parfaitement normal et légitime) de ce qui relève des faits et de leurs conséquences et donc des impacts sociétaux ou encore financiers par exemple.
Un changement majeur caché sous nos invariances.
Pourquoi vous parler donc de cet ouvrage ?
Parce que c’est à cela que j’ai pensé quand je me suis rendu compte que nous passions peut-être, sans doute, à coté d’un changement majeur et capital très peu commenté, très peu diffusé auprès du grand public, même si du coté des militaires, bien évidemment, tous les plans ont été refaits et les doctrines d’usage de la force nucléaire modifiées.
Nous partons du principe, du postulat, de l’axiome, de l’évidence qu’une guerre nucléaire est impossible et que donc la 3ème Guerre mondiale n’est pas envisageable, sauf dans l’esprit des pessimistes paranoïaques.
Je pense que derrière cette invariance du raisonnement « c’est impossible », se cache un changement que presque personne n’a vu, et que presque tout le monde ne veut pas voir tellement c’est « effrayant ».
Si la guerre nucléaire est considérée comme impossible, c’est parce qu’elle conduirait à la DMA…. La destruction mutuelle assurée. Nous mourrions tous, ce serait un suicide collectif, et personne n’y aurait intérêt, donc c’est impossible d’arriver à ce point car au dernier moment la rationalité et l’instinct de survie prendront le dessus.
Force est de constater, que pendant ces décennies entières de guerre froide, les choses se sont globalement passées ainsi.
Nous avons pris l’habitude que la peur de cette destruction mutuelle l’emporte sur nos ambitions guerrières, sur nos tensions, sur nos détestations ou sur notre violence.
L’arme atomique est devenue gage de paix et cette peur de la destruction mutuelle assurée est devenue une dissuasion.
Imaginons que la situation ait changé.
Imaginons que beaucoup pensent qu’une guerre nucléaire puisse être gagnée ?
Imaginons même que certains pensent qu’une guerre nucléaire n’aurait pas autant d’inconvénients environnementaux que ce que l’on pouvait croire jusqu’à présent.
Imaginons encore pour aller plus loin, que certains y verraient même un bénéfice/risque très favorable aussi bien pour l’avenir que pour l’environnement.
Alors ce changement majeur de raisonnement rendrait possible l’utilisation de l’arme atomique et donc la 3ème Guerre mondiale.
MACRON et le refus de la victoire russe en Ukraine implique la guerre.
Emmanuel MACRON l’a dit avec une immense clarté au même moment où il expliquait qu’il ne fallait pas exclure d’envoyer des troupes au sol en Ukraine pour affronter l’armée russe.
“La Russie ne peut, ni ne doit, gagner cette guerre en Ukraine. Nous sommes en train d’assurer notre sécurité collective” voilà exactement ce qu’il a déclaré.
Personne ne veut analyser réellement ce que cela implique.
Ce que cela veut dire réellement.
On peut tout reprocher à MACRON, et je ne m’en prive pas, on peut dire que c’est une très mauvaise idée et que l’on ne veut pas mourir pour Kiev et pour « Zizilenski » l’homme qui jouait du piano non pas debout mais avec sa bistouquette (c’est ainsi qu’il s’est fait connaître), mais l’on ne peut pas reprocher à MACRON de ne pas afficher ses intentions aussi dramatiques soient-elles potentiellement.
Au bout de 2 ans de guerre et de positions figées, alors que l’armée ukrainienne vacille, si nous ne voulons pas que la Russie perde, mais que l’Ukraine ne peut plus tenir, que croyez-vous qu’il va se passer ?
Voilà la seule et la véritable question que personne n’a osé poser et que MACRO a commencé à illustrer avec son envoi de troupes en Ukraine.
Si nous ne voulons pas que la Russie gagne en Ukraine, mais que l’Ukraine ne peut plus tenir, que va-t-il se passer ?
Simple.
Soit nous acceptons la défaite de l’Ukraine, soit nous entrons en guerre à ses côtés avant qu’elle ne s’effondre.
Ce sera alors la 3ème Guerre mondiale.
Comme vous pouvez l’entendre et le voir, MACRON n’exclut pas du tout de devoir faire la troisième guerre mondiale.
S’il ne l’exclut pas, c’est que d’une manière ou d’une autre, il pense pouvoir la gagner et s’en sortir.
Il pense que le bénéfice/risque est favorable.
Pour lire la suite, téléchargez gratuitement ce dossier de 38 pages ici qui permettait il y a 8 mois d’anticiper déjà ce qui commence à se passer sous vos yeux cliquez ici.
Pour ceux qui veulent aller plus loin et bénéficier de l’ensemble de ces analyses, de ces anticipations et des stratégies patrimoniales qui en découlent vous pouvez vous abonner en cliquant ici. Vous aurez accès à l’ensemble des archives et aux 12 prochains mois de parution.
Pour accéder à votre dernier dossier mis en ligne “Dégradation des notes des banques françaises. Comment se préparer au retour du risque bancaire ?” c’est ici dans vos espaces lecteurs.
Ceux qui veulent s’abonner trouveront tous les renseignements ici et auront en plus accès à l’ensemble de tous les dossiers déjà édités.
Sinon, à part cela, je vous souhaite une belle joyeuse année 2025. Espérons toujours le meilleur, et ne soyons pas naïfs pour le reste !
Le projet de « Brigade française » en Ukraine de MACRON tourne au désastre : 1 700 déserteurs et près du milliard d’euros payé par les contribuables Français à la poubelle …
À l'occasion du 80ème anniversaire du Débarquement en Normandie, le 6 juin dernier, Emmanuel MACRON a solennellement annoncé la formation et l'équipement d'une brigade ukrainienne. Cette « brigade française », la 155e brigade mécanisée, devait jouer un rôle crucial dans la guerre en Ukraine, selon MACRON. L'unité a été équipée, entre autres, d'une trentaine de chars allemands Léopard 2 et de 18 obusiers César de fabrication française.
mise à jour le 04/01/2025
Avant même l’arrivée de la brigade au front, 1.700 de ses soldats avaient déserté, dont 50 déjà pendant leur entraînement en France.
Une traduction du Média en 4-4-2 d’après un article publié sur le site duBerliner Zeitung.
Ah, la glorieuse épopée de la 155e brigade mécanisée ! Vous savez, cette unité ukrainienne formée en France avec tout le sérieux et l’expertise militaire qu’on nous connaît… et qui, six mois plus tard, est devenue l’incarnation même du chaos organisé. Un exemple à inscrire dans les manuels scolaires sous le chapitre : « Comment rater un projet ambitieux en trois étapes faciles. »
Le début d’un rêve (ou d’un cauchemar ?)
En mars 2024, la France, sous l’impulsion de notre président visionnaire Emmanuel MACRON, se lance dans une mission héroïque: former des soldats ukrainiens pour en faire une brigade d’élite, la 155e. Objectif ? Leur transmettre le savoir-faire français en matière de guerre. Oui, rien que ça. Mais, avant même que l’histoire ne commence, les choses dérapent. Sur les 2 500 militaires initialement affectés, beaucoup sont rapidement réaffectés à d’autres unités. Et devinez quoi ? Le commandement de la brigade se retrouve à s’entraîner à moitié, avec des effectifs fantômes et des ressources limitées.
Imaginez un général ukrainien en France, criant des ordres dans un champ vide : « Chargez ! Enfin… s’il y a encore quelqu’un ? » Mais attendez, ce n’est que le début.
La grande évasion
Puis vient l’entraînement en France, où tout aurait dû se passer dans une harmonie parfaite. Hélas, la réalité est plus proche d’un sketch qu’une opération militaire. Avant même d’arriver au front, 1 700 soldats de la brigade décident de déserter. Oui, 1 700. C’est plus qu’un exode, c’est une hémorragie. Parmi eux, 50 quittent la formation… en plein milieu. Que s’est-il passé ? Trop de croissants ? Des exercices trop intenses ? Ou simplement une révélation existentielle : « Et si je faisais autre chose de ma vie, genre élever des chèvres ? » Mystère. Résultat des courses : Les Français ont payé, de leur poche, 900 millions d’euros…. pour rien !
Le front : l’apothéose du fiasco
Enfin, cette brigade « d’élite » est déployée dans l’est de l’Ukraine, près de Pokrovsk. Sur le papier, elle compte 5 800 hommes. En réalité, c’est une armée fantôme, dépourvue de drones, de défenses anti-drones et probablement même d’une boussole. Le journaliste ukrainien Yuri BUTUSSOV rapporte des pertes humaines élevées et accuse les dirigeants – ZELENSKY, le ministre de la Défense RUSTEM UMYEROV, et le commandant en chef Olexander SYRSKY – de manquer totalement d’organisation.
Et le bilan ne s’arrête pas là : cette brigade ressemble à une sorte de Frankenstein militaire, bricolée à la va-vite pour impressionner les médias internationaux. Et ça ne marche pas. Dans les médias étrangers, la France et MACRON se couvrent de ridicule, offrant au passage une belle revanche aux amateurs de blagues sur les Français.
Le mot de la fin : la brigade zombie
La députée ukrainienne Mariana BEZUHLA, sans doute fatiguée de tant d’inepties, qualifie la 155e brigade de « brigade zombie ». Pourquoi zombie ? Parce qu’elle a été « créée pour des raisons de relations publiques » et non pour des opérations militaires sérieuses. En gros, une façade, une coquille vide, un château de cartes prêt à s’effondrer au premier coup de vent.
Bravo à la France, à MACRON, et à cette incroyable brigade mécanisée, qui restera dans les mémoires comme un exemple parfait de ce qu’il ne faut absolument pas faire.
AMERICAN COMPANY INTERNET COUNCIL LLC - DIACONESCO.TV
VOUS SOUHAITE UNE BONNE ET
HEUREUSE ANNEE 2025
28 décembre 2024
28 décembre 2024
27 décembre 2024
Enfant transgenre: Elon MUSK estime que son «fils a été tué par le virus woke»
Mardi, 23 juillet 2024 15:09
MISE À JOUR Mardi, 23 juillet 2024 15:09
Le milliardaire Elon MUSK, après avoir donné son consentement à des bloqueurs de puberté permettant à son fils de devenir une femme, est convaincu que ce dernier a été «tué par le virus woke».
«J’ai essentiellement été piégé à signer des documents pour l’un de mes garçons plus âgés, Xavier», a déclaré le propriétaire de X au psychologue Dr Jordan Peterson dans une entrevue accordée au Daily Wire.
Née sous le nom de Xavier, Vivian Jenna Wilson a subi une opération de changement de sexe en 2022.
«C’était avant que je comprenne ce qui se passait. [...] On m’a dit que Xavier risquait de se suicider s’il ne faisait pas [l’opération]», a-t-il dit. M. MUSK a expliqué qu’il ne comprenait pas, au moment de signer les papiers, que les bloqueurs de puberté étaient «des médicaments de stérilisation».
Selon le fondateur de SpaceX, les personnes qui encouragent ce genre de procédure chez les enfants «devraient aller en prison».
«Il est très possible que des adultes manipulent des enfants qui traversent une véritable crise identitaire en leur faisant croire qu’ils ne sont pas dans le bon sexe», a précisé MUSK.
Il se donne maintenant comme mission de supprimer la procédure de changement de sexe pour les enfants.
«J’ai juré de détruire le virus de la culture woke après cela», a-t-il affirmé. «Et nous faisons des progrès.»
«J’ai essentiellement perdu mon fils. Ce n’est pas pour rien qu’ils nomment cela le “deadname” [morinom, ancien prénom d’une personne en transition de genre]. Mon fils Xavier est mort, tué par le virus de la culture woke», a-t-il conclu.
Vivian, âgée de 20 ans, est l’un des 12 enfants de MUSK. Elle a fait une demande de changement de nom et de sexe à un tribunal californien, en 2022.
Dans le dossier déposé au tribunal, elle a demandé à prendre le nom de famille de sa mère puisqu’elle «ne vit plus avec [son] père biologique et ne souhaite pas être liée à lui de quelque manière que ce soit».
Les commentaires d’Elon MUSK surviennent quelques jours seulement après qu’il a décidé de déménager son siège social de l’entreprise aérospatiale SpaceX et du réseau social X de la Californie au Texas.
En effet, une loi a été signée par le gouverneur de Californie, Gavin NEWSOM , interdisant aux districts scolaires d’exiger que les parents soient informés si un enfant commence à utiliser des pronoms différents.
Trump dit vouloir «stopper le délire transgenre» dès son premier jour
Dimanche, 22 décembre 2024 17:06
MISE À JOUR Dimanche, 22 décembre 2024 17:06
Donald TRUMP a annoncé dimanche vouloir arrêter le «délire transgenre» dès son premier jour à la Maison-Blanche le mois prochain, dans une nouvelle salve du camp républicain contre les droits de la communauté LGBT+.
Dès l'investiture le 20 janvier, «je signerai des décrets pour mettre fin aux mutilations sexuelles des enfants, exclure les transgenres de l'armée et les exclure des écoles primaires, des collèges et des lycées», a martelé le prochain président américain.
«La politique officielle des États-Unis sera qu'il n'y a que deux genres, homme et femme», a poursuivi le vainqueur de la présidentielle du 5 novembre devant une foule de jeunes conservateurs réunis à Phoenix, dans le sud-ouest du pays.
Les traitements médicaux destinés aux mineurs pour changer de genre ou l'accès des femmes transgenres aux compétitions sportives féminines sont des sujets brûlants dans des États-Unis polarisés.
Pendant la campagne électorale, le milliardaire républicain avait brandi a l'envi l'épouvantail de ce que le camp conservateur voit comme le diktat de la bien-pensance.
Les républicains s'opposent aux droits LGBT+ dans les États qu'ils contrôlent et, au Congrès américain, des élus de droite ont voulu bloquer en novembre l'accès aux toilettes pour femmes du Capitole de la première femme transgenre élue à la Chambre, Sarah McBride.
Le «wokisme doit s'arrêter», a encore dit le républicain sous les applaudissements de la foule.
Le terme «wokisme», emprunté aux luttes afro-américaines, est détourné par des personnalités politiques et des mouvements conservateurs pour dénoncer ce qu'ils considèrent comme un excès de militantisme à l’égard des revendications de minorités et des injustices sociales et climatiques.
«Jour de la libération»
Donald TRUMP, qui deviendra le 20 janvier le 47e président des États-Unis après avoir battu la démocrate Kamala Harris, a également redoublé d'attaques dimanche à Phoenix sur l'immigration, autre thème de prédilection durant sa campagne.
Ce jour-là, a-t-il promis, «je signerai toute une série de décrets pour fermer notre frontière aux immigrés illégaux et stopper l'invasion de notre pays. Et le même jour, nous allons débuter la plus grande opération d'expulsion de l'histoire des États-Unis.»
Le président élu a dénoncé l'arrivée de migrants illégaux depuis la frontière sud des États-Unis, assurant avoir parlé à la présidente du Mexique, Claudia Sheinbaum. «J'ai dit: vous ne pouvez pas faire ça à notre pays.»
«Le 20 janvier sera véritablement le jour de la libération en Amérique», a-t-il asséné lors de cet événement organisé par Turning Point USA, une organisation fondée par le polémiste d'extrême droite Charlie KIRK, soutien de Donald TRUMP.
«Tout membre étranger d'un gang sera expulsé et je désignerai immédiatement les cartels comme des organisations étrangères terroristes», a tonné M. TRUMP.
Dans son propos de plus d'une heure -- à la manière de ses meetings de campagne -- l'ancien et futur président a enchaîné ses priorités pour son prochain mandat, qu'il promet comme un «âge d'or», et a insisté sur la rapidité avec laquelle il veut mettre en place ses réformes.
Sans mentionner les longues négociations politiques qui ont évité in extremis samedi une paralysie du gouvernement fédéral américain, il a également répété ses priorités en matière de politique étrangère.
«Je vais mettre fin à la guerre en Ukraine, je vais arrêter le chaos au Moyen-Orient et je vais empêcher, je le promets, la Troisième Guerre mondiale», a déclaré Donald TRUMP, sans donner de détail sur sa manière d'y parvenir.
Il a également réitéré ses menaces de la veille vis-à-vis du canal de Panama, accusant les autorités panaméennes qui le contrôlent entièrement depuis 1999 de ne pas traiter les navires américains «équitablement».
Si cela ne change pas, a tonné l'ancien magnat de l'immobilier, «nous demanderons à ce que le canal de Panama soit tout de suite rendu aux Etats-Unis.»
25 décembre 2024
TOUTE L'EQUIPE DU MEDIA
INTERNET COUNCIL LLC -
DIACONESCO.TV
Vous souhaite un très Joyeux Noël et de passer de bonnes fêtes de fin d'année !
3 pièces rue de France A deux pas de la promenade des Anglais, dans un bel immeuble d'angle entre la Rue de France et Grosso, un très vaste 3 pièces de 88 m2 en RDC avec balcon terrasse au calme. Exposition Est/Ouest. L'appartement se compose, d'une entrée, d'un salon, deux chambres, une cuisine indépendante donnant sur un balcon terrasse. Une grande salle de bain, un WC indépendant, dégagement et rangement. Plusieurs placards. Magnifique parquet bois massif, belle hauteur sous plafond, double vitrage et climatisation. Une cave complète ce bien.
Avenue du Dauphiné, Proche Parc Impérial, Résidence luxe sécurisée, Splendide Appartement de type T4 entièrement rénové avec gout et avec des matériaux de qualité en avant-dernier étage, calme absolu.
Vue panoramique sur la mer, la ville de Nice et les montagnes, Double exposition,
Surface totale :110 m2 + Terrasse 19,70m2 et Balcon 9,50m2.
Parking privé et Cave. Hall d'entrée avec WC indépendant, lave-mains et placard, Magnifique séjour avec cuisine aménagée et équipée ouverte sur une terrasse très profonde.
Trois chambres dont une suite avec sa salle d'eau privative. Salle d'eau avec WC. Les trois chambres donnent sur un balcon filant avec vue verdure. Nombreux rangements.